Les Sentiers de la gloire

Comédie dramatique - Durée : 187minutes Introduction Barry Lyndon est un film réalisé en 1975 par Stanley Kubrick. Ce dernier est un cinéaste qui a abordé plusieurs genres : les films noirs (L’Ultime Razzia), les films de guerre(Les sentiers de la gloire, Full Metal Jacket, Docteur Folamour), la science fiction (2001 L’Odyssée de l’espace) entre autres. L’extrait proposé présente un jeune homme, Barry, qui part faire laguerre en Europe. Dans une première partie de notre devoir, nous aborderons

nécessaires, tel que le désir sexuel à condition qu'il ne devienne pas un "appétit violent des plaisirs sexuels assortis de fureur et de tourment" _ Les désirs ni naturels ni nécessaires qu'il faut refouler si l'on veut connaître la sérénité ( désir de gloire, de richesse, d'immortalité, ambition...) . Ces désirs sont des vaines options qui trouve leur origines dans la crainte de la mort. Epicure nous invite donc à mettre fin à tous les plaisrs non naturels et non nécessaires qui occasionnent le plus souvent

L’œuvre que je vais vous présenter est: «PATHS OF GLORY (sentier de la gloire) » C’est une peinture réalisée par C.R.W.Nevinson qui a vécu 1889-1946L’œuvre de Nevinson est de 1917. L’artiste, Nevinson est né le 13 aout 1889 à Londres et mort enoctobre 1946. Il a commencé sa vie avec une tendance à la révolte contre l'injustice, la cruauté. Son père était un journaliste engagé et sa mère militait pour les droits des femmes. Il a étudié àl’école des beaux arts. C’était un peintre de paysage

vécut » - survivre + « lui tenait lieu » - survie, il se débrouille comme il peut Evocation réaliste, assez violente pour choquer/scandaliser le lecteur Souligne l’aspect monstrueux et inhumain de ce massacre « restait encore assez de vie pour sentir la mort » - antithèse entre vie et mort – omniprésence de la mort dans le peu de vie qui reste B. Mise en scène de la mort (théâtralisation) « fatale » - annonce, dramatisation de la boucherie qui va suivre « Des files de carcasses alignées

l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime ! Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie, Le soleil déchirer mon sein ; Et le printemps et la verdure Ont tant humilié mon coeur, Que j'ai puni sur une fleur L'insolence de la Nature. Ainsi je voudrais, une nuit, Quand l'heure des voluptés sonne, Vers

Eh bien ! mais c'est au mieux ! Tu l'aimes ? Dis-le-lui ! Tu t'es couvert de gloire à ses yeux aujourd'hui ! CYRANO Regarde-moi, mon cher, et dis quelle espérance Pourrait bien me laisser cette protubérance ! Oh ! je ne me fais pas d'illusions ! -Parbleu, Oui, quelquefois, je m'attendris, dans le soir bleu ; J'entre en quelque jardin où l'heure se parfume ; Avec mon pauvre grand diable de nez je hume L'avril, -je suis des yeux, sous un rayon d'argent, Au bras d'un cavalier, quelque femme

emailShare on googleMore Sharing Services Seigneur, change ma guerre en ta paix. Sonnet. Seigneur, change ma guerre en ta paix éternelle,  Échauffe les glaçons de mon cœur endurci,  Et fais qu'à l'avenir je n'aie autre souci  Qu'à suivre le sentier où ta bonté m'appelle. Dompte les passions de mon âme rebelle  Et lave mon esprit de péché tout noirci,  Dispense ta lumière à mon œil obscurci  Et m'apprends les secrets qu'aux élus tu révèles. Sur toi tant seulement mon espoir j'ai fondé

Semblait fourbi, clair, irisé ; Le liquide enchâssait sa gloire Dans le rayon cristallisé. Nul astre d'ailleurs, nuls vestiges De soleil, même au bas du ciel, Pour illuminer ces prodiges, Qui brillaient d'un feu personnel ! Et sur ces mouvantes merveilles Planait (terrible nouveauté ! Tout pour l'œil, rien pour les oreilles !) Un silence d'éternité. En rouvrant mes yeux pleins de flamme J'ai vu l'horreur de mon taudis, Et senti, rentrant dans mon âme, La pointe des soucis maudits ;

par cette luminosité j’ai pensé à ma rencontre avec ma tendre Celine qui se blottissait de peur dans mes bras lors du dernier feu d’artifice de la fête du village. D’un seul coup un obus explosa à quelques pas de moi tel un tremblement de terre, je sentis le sol se dérober et du ciel une masse s’éclata sur mon corps. Un flot de liquide dégoulina le long de ma face, l’horreur ! C’était le caporal Paul mon meilleur ami qui trépassa dans mes bras. Je vous missionne la responsabilité d’en informer sa famille

conscience. Elle a compris qu'il faut « glisser » sur « ces pensées » (Bien que "ces pensées ne soient pas explicites", on peut y sentir l'affirmation du je t'aime)-> Madame de Sévigné nous dit qu'il ne faut pas y penser. Il faut savoir se détacher. Puis rapprochement avec le lecteur avec l'emploi du pronom « on » répété qui amplifie le caractère universel, ensuite elle avoue sans gloire « c'est-à-dire moi », c'est en fait chacun de nous. Elle joue sur cette ambiguïté. 2°/ Le mal L'amour s'accompagne souvent