Les Règles De La Versification

Ex: RONSARD « Aimez-moi donc » Lorsque la poésie recherche la clarté de la démonstration, les qualités de la prose( cohérence), lorsque triomphe l'idéologie du naturel (=ton de la conversation), il y a un dérapage. Seule distinction : les règles de versification. II FONCTIONS DU POETE Qu'est-ce que l'état poétique? VALERY: Un certain état à la fois réceptif et productif. Pacte entre le poète et le lecteur. Le poète est autre, étranger. Soit il est redouté au point d'être rejeté par la cité

XVIIe siècle  Classicisme (1660-1680) • Ordre • Équilibre • Codifications esthétiques : règles de versification, vraisemblance, bienséance (ne pas choquer le lecteur ou le spectateur), trois unités • Imitation des Anciens (antiquité gréco-latine) • L’Académie française, fondée en 1635, réglemente la création littéraire • Codifications morales • Trois ordres : noblesse, clergé (4%); tiers état (96%) • Louis XIV XVIIIe siècle Le siècle des lumières • À la mort de Louis XIV

siècle en France, en Italie et en Espagne. En France, pays de culture et de tradition gréco-latines la littérature était classique depuis la Renaissance et l'on appelle romantiques les écrivains qui au début du XIX éme siècle n'ont plus respecté les règles de pensée, en opposition au classicisme et au réalisme des philosophes du XVIII éme siècle . On a donné le nom de romantisme au courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et qui s'est poursuivi jusqu'aux alentours de 1850. Ce nom désigne

Versification 1-Genres poétiques a-la poésie lyrique : elle exprime les sentiments personnels, notamment les émois du cœur, et cherche à éveiller des résonances profondes. Exemple : les contemplations, Hugo. b-la poésie didactique : elle enseigne les règles d’un art, d’une science et même d’une morale. Exemple : L’art poétique, Boileau. L’art poétique, Gautier

recherchent le vague et l’indéfini : les mots et les vers doivent suggérer à travers la musicalité des sensations auditives, visuelles, incantatoires. 4. Du point de vue de la forme, les symbolistes préfèrent une versification libre à la technique rigoureuse du Parnasse : ils refusent les règles de la poétique traditionnelle, choisissent la liberté totale. Le vers devient libre, la rime est abolie en faveur de l’assonance et de l’allitération. Les mots suggèrent des émotions mais peuvent aussi être difficiles

deux poètes. En outre ces deux auteurs sont en marge du courant littéraire dans lequel ils ont vécu. En effet ils se détachent de leurs contemporains. La Fontaine malgré sont appartenance au courant classique, celui-ci ne se soumet aucunement aux règles instauré alors telles que la vraisemblance. Ce décalage est surtout marqué dans ses fables où il m’est en scène des animaux. De plus Supervielle aussi se détache de son courant qui lui est le surréalisme. En effet Supervielle était désireux de proposer

l'emploi de la contrainte, pour servir, à la fois la création littéraire et l'analyse profonde d'oeuvres littéraires. * Contraintes du vocabulaire et de la grammaire, contraintes des règles du roman (division en chapitres, etc.) ou de la tragédie classique (règles des trois unités), contraintes de la versification générale, contraintes des formes fixes (comme dans le cas du rondeau ou du sonnet), etc… 3) b/ Principaux écrivains de l’OULIPO Les principaux écrivains de L’OULIPO sont : Italo

deux quatrains et de deux tercets, obligent les poètes à respecter certaines contraintes et ce, depuis le XVIè siècle. On peut par exemple, penser à « Comme on passe en été... » de Du Bellay. Plus largement, on s'aperçoit que la versification en elle-même est un refus des règles ordinaires de l'expression quotidienne. Le poète s'oblige à écrire en vers et en rimes, par exemple en alexandrins ainsi qu'en rimes suivies, croisées ou embrassées. Le poète apparaît donc comme un « technicien », jouant à

Objet d’étude : la poésie Éléments pour aider à mieux comprendre ces quatre textes. On resituera les quatre textes dans un genre littéraire qui n’a pas été souvent défini. Les arts poétiques sont des ouvrages en vers ou en prose enseignant les règles de composition des poèmes. L’étymologie renvoie à ars, qui désignait le savoir-faire dont on fait preuve dans un métier, et à poièsis, création ou fabrication d’un objet, en particulier d’un objet littéraire. Les premiers arts poétiques apparaissent

un recul par rapport à la pièce permettant de réfléchir soi-même. Prenons Phèdre, une autre pièce écrit par un grand dramaturge du classicisme en 1676 : Jean Racine. La construction tragique, la profondeur des personnages et la richesse de la versification, nous permettent d’en tirer notre propre morale qui en découle ; on peut prendre son temps à comprendre l’intrigue, à analyser certains vers devenus des classiques par leur musicalité, comme un que l’on trouve dans la scène 3 de l’acte I : «Tout