Les Règles De La Versification

QUELQUES PETITES NOTIONS DE POESIE A L'origine, les poèmes étaient des chansons. Comme dans une partition musicale, le vers est mesuré. Son unité de mesure est la syllabe. 1- REGLES DE VERSIFICATION Le /ers C'est une ligne qui commence en général par une majuscule. Les principaux mètres sont : § L'alexandrin (12 pieds ou 12 syllabes) § Le décasyllabe (10 pieds) § L'octosyllabe (8 pieds). Les vers plus courts servent surtout à créer des effets de contraste. Pour l'alexandrin, on peut le diviser en

temps, les deux premières seraient tout aussi valables. Dans le contexte suivant, l’auteur fait référence à deux types de livres, et par conséquent, on ne connaît pas la nature des livres. Poésie Genre littéraire associé à la versification et soumis à des règles prosodiques particulières, variables selon les cultures et les époques, mais tendant toujours à mettre en valeur le rythme, l'harmonie et les images. Chacune des espèces du genre traditionnellement distinguées d'après

par le rythme particulier de l’alexandrin. L'alternance des rimes masculines et féminines est aussi présente jusque dans le dernier tercet où Du Bellay pousse le jeu jusqu'à obtenir trois rimes en "i" chargées de mélancolie, sans pourtant violer les règles du quatrain. Les deux quatrains sont le fruit des interrogations posées par le poète envers sa personne et son inspiration. Le premier quatrain représente un état des lieux, un bilan décevant. Il y accumule les interrogations oratoires « Las, ou est

Il reprend dans cette poésie la tradition antique du poète inspiré par les dieux qui a pour ambition de guider les hommes. On constate que, tout comme Victor Hugo, Léo Ferré utilise une forme poétique fixe, c'est-à-dire qu’il doit respecter des règles strictes sans aucune liberté. Tout au contraire, Eugène Guillevic dans « Inclus » emploi des vers libres. Dans cette forme, le vers se libère des contraintes classiques, les mètres varient, la strophe régulière et les rimes sont abandonnées, la ponctuation

figure de style ne l’était pas forcément à certaines époques, baroque et même classique, où les règles de coordination étaient plus souples ou d’avantage soumises aux impératifs de la versification. […]C’est surtout, dit encore Brunot, par des grammairiens de second ordre que ces constructions ont été attaquées. […]De toute évidence, comme le fait encore remarquer Brunot, malgré « l’étroitesse de certaines règles inspirées d’une passion excessive pour la symétrie » (p.360), les écrivains ne se sont pas

seule intrigue. De cette façon, la pièce de théâtre attire l’attention du spectateur afin qu’il ne s’égard pas. -Christian Schiaretti : J’admire le drame romantique car contrairement au théâtre classique, les auteurs ne se limitent pas à quelques règles qui étouffent le génie de l’œuvre ! -Monsieur Leblanc : Je ne partage pas votre point de vu ! Le dramaturge ne peut pas montrer de scènes choquantes aux spectateurs afin que les événements violents comme les meurtres ou les batailles existent mais

Roteiro 1) Montrez, à partir d’exemples tirés de la pièce Phèdre, comment Racine respecte les règles classiques de la tragédie. a)La trajédie doit met en scène des personnages illustres et de rang : Phèdre etáit une reine et les autres personages de cette tragédie sont personnes ilustres aussi. Comme Thésée(roi d’Athènes), Hippolyte(prince) et Aricie ( princesse). b)Les personnages tragiques doivent preuver leur heroïsme dans un combat contre la fatalité : Hippolyte est un homme honoré

de plusieurs courants. Dans le „Croquis parisien” nous reconnaissons Verlaine, le parnassien : c’est prouvé par l’impassibilité du poète, par les noms exotiques de l’Antiquité: Platon, Phidias, Salamine et Marathon et par les règles strictes de la versification (trois strophes à 4 vers). Dans les métaphores lyriques nous voyons l’influence du Romantisme. Et le poème porte des marques symbolistes du Verlain, le „Décedent” aussi: la recherche d’un art nouveau, les images mystérieux, les allusions

créer une versification plus rigoureuse, faire plus de travail sue les mots comme les sonorités. Le sens doit être plus concentré et plus synthétique et symbolique. → LE SONNET Le poète Aragon (1954) le définit comme une machine à penser car c'est une forme très courte avec un sens très dense. Le sonnet est un poème court, dense, considéré comme un concentré de sens. Chaque mot est pesé, travaillé. Forme : la forme est fixe → c'est une forme qui propose des contraintes, des règles bien précises

particulier le sujet => Observer les sonorités (aliteration / assonance) => Observer le rythme: * pour les proses * rythme croissant ou décroissant * pour la poésie , rythme croissant ou décroissant , la forme du poème et la versification (alexandrin, décasyllabe) L'ELABORATION DU PLAN => Introduction: * situer dans un contexte de thème de mouvement et de genre * donner les références de l'oeuvre (auteur / oeuvre) et ses principales caractéristiques * posé