Les Representations D Apollinaire En Peinture

production immense privilégiant tel ou tel aspect d’un récit polymorphe. Des traces de ce mythe apparaissent à toute époque : - au Moyen-Âge, avec les cathédrales qui reprennent le thème du Dédale, en en modifiant le sens ; - aujourd’hui, avec la peinture, la sculpture et les jeux qui exploitent le thème du minotaure et du labyrinthe. Il est essentiel que l’étude de ce mythe et de ce motif débouche sur une production d’élèves, par exemple la construction de labyrinthes où les mathématiques trouveront

œuvres figuratives sont construites d’une manière abstraite. Dans ce rapport entre le visible et le non visible, on peut s’accorder à dire que l’abstraction est moins une époque (environ 1910/1960) qu’une forme d’esprit, un mode de pensée et de représentation. 1) L’art figuratif 1-1) La figuration pure La figuration relève de la tradition. Elle a pour fonction de raconter, de décrire, de créer l’illusion, de refléter, voire de transformer, la réalité. Elle peut avoir aussi des fonctions historiques

qu’il découvre le potentiel émotionnel des peintures en camaïeu bleu. À partir de 1904, il s’installe définitivement en France et emménage tout d’abord dans un misérable atelier de Montmartre, au « Bateau-Lavoir », C’est devant cet atelier que Picasso rencontre en 1905 Fernande Olivier. Avec elle, il fréquente des artistes, des écrivains des poètes, notamment Guillaume Apollinaire. Cette époque heureuse marque le début de sa période rose avec ses peintures de saltimbanques, aux couleurs adoucies

(joie/tristesse) qu’on nommera « persona » ; Sens contemporain - image comme phénomène lumineux, perceptible par les yeux (reflet miroir, estampe, carte,…) - image comme reproduction d’une chose ou d’un être - image comme représentation mentale, produit de l’imagination, représentation sociale, image de marque, image de soi c) SEMIOLOGIE - du grec « semeion », signe et « logos », discours ; terme ancien se rapportant à la médecine, symptômes d’une maladie, auj. symptomatologie - 1910 Ferdinand

Renforcement Littéraire Le 17/03/2010 « Symphonie en gris » in Rythmes Pittoresques section « Mirage », Marie Krysinska Introduction En cette fin de XIX° siècle, que ce soit en peinture avec l’impressionnisme, en musique avec les rythmes dissonants de Debussy ou en poésie avec l’avènement du vers libre, l’univers statique et ordonné érigé par les naturalistes et les réalistes se métamorphose en un monde insaisissable, confus, mobil et dérangeant. Les notions de temps et d’espace

fruit d’une collaboration étroite entre plusieurs grands noms de « l’Esprit Nouveau » qui souffle sur le monde artistique, à Paris, dans les années 1920. L’expression « Esprit Nouveau » est employée pour la première fois par le poète Guillaume APOLLINAIRE (1880/1918), en 1917, année de la création de Parade au théâtre du Châtelet, à Paris. L’initiative de la composition de Parade revient à l’écrivain Jean COCTEAU (1889/1963). Il en écrit l’argument et s’entoure du compositeur Erik SATIE (1865/1925)

des facultés »), Marquis de Sade (« surréaliste dans le sadisme), Lewis Carroll (« surréaliste dans le nonsense »), Lautréamont (premier à avoir fait acte de « surréalisme absolu »), Edgar Allan Poe (« surréaliste dans l’aventure »), Guillaume Apollinaire (inventeur de l’adjectif « surréaliste » dans la préface Les Mamelles de Tirésias), Alfred Jarry (« surréaliste dans l’absinthe »), Jacques Vaché (« surréaliste en moi »)... Tous, dans leur particularisme, ont apporté des éléments pour la création

l’École des Beaux-Arts dans l’atelier du sculpteur Antonin Mercié en 1905. En 1907 Brancusi se met à pratiquer la taille directe. En 1910 il participe pour la première fois au Salon des Indépendants. Il fréquente Fernand Léger, Amedeo Modigliani, Apollinaire, Marinetti et Picasso. L'exposition de l'Armory Show à New York le révèle aux États Unis en 1913. L'année suivante se déroule sa première exposition solo à New York, à la Photo-Secession Gallery d’Alfred Stieglitz. En 1916 a lieu la deuxième exposition

soi, d'ailleurs le mot d'esprit de l'humoriste Marc Escayrol nous le rappelle : « Si vous nagez dans le bonheur, soyez prudent, restez là où vous avez pied ! ». La littérature d'idées nous apprend à regarder plus loin et donc à modifier nos représentations mentales, notre manière d'appréhender le monde qui nous entoure. B La remise en cause des codes sociaux et des modèles de pensée : la littérature d'idées, un art de la provocation. [alinéa de présentation de la seconde sous-partie]

portrait par le clair-obscur, accentue de fait les mystères d'une oeuvre : "plonger les choses dans la lumière, c'est les plonger dans l'infini". A ce sujet, il est important tout de même de rappeler à quel point la question du réalisme de la représentation du modèle est liée à l'identité de ce modèle. Et, à ce jour, nous ne savons toujours pas si Léonard de Vinci a représenté avec fidélité un modèle existant, s'il a idéalisé un portrait de femme de son entourage ou s'il a entièrement imaginé un