Les Relations Interétatiques

s’impose depuis plusieurs décennies sur la scène internationale. Ce travail propose une étude du concept de multilatéralisme à la lumière des théories des relations internationales. Cette analyse du multilatéralisme sera menée selon un plan en trois parties. Dans une première partie, la généalogie du concept de multilatéralisme dans les relations internationales et sa définition progressive seront présentées. Dans une seconde partie, les débats théoriques sur le multilatéralisme seront exposés. A

propos de M. Koffi Annan? Quand et comment se décide une telle opération ? Comment se déroule-t-elle et qui en sont les acteurs ? A qui doit elle profiter et avec quels effets sur la paix entre les individus, les peuples, les Etats et la sécurité des relations internationales ? De quelles ressources disposent les responsables de l’opération et par quels moyens juge-t-on du succès ou de l’échec de l’opération ? Pendant le mois de janvier 2000, le Conseil de Sécurité a organisé une série de réunions

dislocation de l'URSS s'achèvent avec la démission de Mikhaïl Gorbatchev de son poste de secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique, le 25 décembre 1991. Dès lors, un double espoir naît à travers le monde : celui de l’apaisement des relations internationales et celui de la paix durable entre les nations. Dans ce contexte, les États-Unis, seule superpuissance ayant survécu à la Guerre froide, se posent en « gendarmes du monde », aux côtés de l'Organisation des Nations Unies, pour maintenir

de reconnaissance à l’échelle internationale 1) Non intégration par les grandes institutions La Palestine souffre d’une absence de reconnaissance à l’échelle internationale. Ainsi, ses nombreuses tentatives d’adhésion à certains organismes interétatiques tels que l’Organisation des Nations Unies ont échoué. La Palestine est privée d’appartenir à cette importante organisation intergouvernementale du fait du refus de son adhésion de la part de plusieurs pays membres et décideurs. Des états tels

débat très important sur la forme de l’État. C’est une des formes d’organisation territoriale, des États dits composés. On distingue deux types d’états composés : État fédéral et confédération. La confédération s’analyse moins dans une logique interétatique, qu’étatique. Raisons d’ordre historique : préexistait des entités, et la création d’un État n’a pu se faire qu’en gardant ses entités. Le fédéralisme est une forme étatique qui peut avoir de multiples explications :  résultat d’un processus

face, les tensions montent et mènent à ce que l’on appelle en 1947 «  la guerre froide ». Les 2 Grands s’affrontent par pays interposés. Comment les deux Grands établissent-ils leur domination? Comment la logique des blocs organisent-elle les relations internationales? Comment la guerre froide est-elle le résultat entre les deux modèles? I) Un monde qui devient bipolaire Comment la rupture entre les deux Grands se produit-t-elle et conduit à la division du monde en 2 blocs ? 

aucune considération aux frontière interétatique est presque impossible sans mettre l’accent sur une organisation à travers laquelle un groupe de personne dont l’intérêt est commun, procède à des opérations illicites ; c’est ce qu’on appelle le crime organisé, définit par la conférence mondiale sur le crime organisé de Naples du 21 au 23 novembre 1994 ainsi: « organisation de groupes aux fins d’activités criminelles, présence de liens hiérarchiques ou de relations personnelles permettant à certains

l’arme nucléaire ? Sans prétendre répondre immédiatement et de manière techniquement exhaustive aux préoccupations fondamentales ci-haut soulevées, quelques réponses peuvent être supposées au préalable. Il est certain que les rapports interétatiques, depuis la nuit des temps, ont toujours été ceux d’intérêts, lesquels sont à la base de bien de crise que connaît l’Organisation des Nations Unies à cause de la divergence y relative. Cependant la paix et la sécurité internationales devraient

de la paix 1. Faire la paix par les traités : les traités de Westphalie Au XVIIe siècle, les Traités de Westphalie (1648) mettent fin à la Guerre de Trente Ans (1618-48) et placent les relations internationales sous le régime de l’équilibre des puissances. L’ordre westphalien devient le cadre des relations internationales entre États souverains jusqu’en 1914. Au XXe siècle, c’est l’idée de sécurité collective qui tente d’organiser la diplomatie mondiale et de proposer un idéal de paix et de

manière dont quelques moralistes américains ont condamné la power politics ». Pourtant, peu de concepts sont aussi couramment employés et aussi équivoques que celui de puissance et il est impossible de réfléchir aux relations internationales sans être confronté à ce thème. Les relations internationales ont en effet longtemps été l’étude des puissances et de leurs conflits. Pourtant, aujourd’hui, le concept de puissance semble traverser une crise : après la guerre froide qui a marqué la surenchère