Les Regrets Sonnet 9 Joachim Du Bellay

XVIII) 4ème année Programme de littérature française III 4ème année Guide pour le contrôle de connaissances 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite

.................26   Aragon, « Front rouge » (1931), extraits .........................................................27   Aragon, « Complainte de Robert le Diable » ..................................................28   Joachim du Bellay, Les Regrets (1558)...........................................................29   Charles d’Orléans (1394-1465), Ballade VIII .................................................30   1 e H. BISMUTH — Littérature française XX siècle

auteurs (comme par exemple A. Dumas qui collabore souvent avec d’autres auteurs). On va donc les classer par genres littéraires. La littérature compte trois grandes catégories à l’intérieur desquelles il y a des genres littéraires : • La poésie ( le sonnet, la ballade, le rondeau. • La prose ( le roman, l’essai, la nouvelle, le conte. • Le théâtre ( la tragédie, la comédie, le drame. Il faut savoir que le premier texte français a été réalisé en 842, ce sont les Serments de Strasbourg. La première

  +  , -&  /50  6  742*  + , -3&   80 )     ; *  1 1    : #   5 (  : P          : O    : : N 9    (  : N 85       )    : ;; %   +  "  ,   -#     $ 1 #% #V 4:; ) <  : 4:;:; =     +  (   ) : : #V 4:;:#  + P6   +  ) 

à ton fou de Catulle de baisers de ta bouche pour en avoir assez et plus qu'assez. Ah ! puisse leur nombre échapper au calcul des curieux et aux charmes de la méchante langue ! CATULLE, Carmina 7. … et la poétesse du XVIe siècle, Louise Labé –Sonnets XVIII (édités en1555) XVIII Baise m'encor, rebaise moy et baise : Donne m'en un de tes plus savoureus, Donne m'en un de tes plus amoureus : Je t'en rendray quatre plus chaus que braise. Las, te pleins tu ? ça que ce mal j'apaise, En t'en donnant

 Les quatorze vers qui composent ce sonnet sont répartis en quatre ensembles séparés par des blancs : deux quatrains à rimes embrassées (abba/ abba) sont suivis par deux tercets que réunissent des rimes répondant à un ordre ccd/eed. Les vers s’ouvrent par le pronom personnel « je », qui précède un verbe conjugué au présent de l’indicatif ou au passé composé. Dans le dernier vers, l’interrogation a pour effet d’inverser l’ordre sujet-verbe. B  Chaque vers de ce sonnet comporte un exemple des tourments

tardif est marqué par la remise en cause du pouvoir et de la justice de l'Empereur, qui apparaît désormais sous des traits assez sombres : les héros sont désormais ceux qui se révoltent contre lui. |      I- NAISSANCE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE 9- La Chanson de Roland La Chanson de Roland est célèbre dès le Moyen-Âge : il en existe plusieurs versions, ainsi que des remaniements datant de diverses époques. Elle est également le modèle de nombreuses chansons plus tardives. La première édition

2 Extrait de L’Infra-ordinaire de Georges Perec, Le Seuil, 1989 21-FRGEME1C Page 4/23  Description d’un regret. L’aménagement décrit dans le premier paragraphe n’est jamais envisagé par les personnages. Le texte s’ouvre sur un conditionnel passé qui réfute la potentialité du projet en la plaçant d’emblée dans le temps du regret. Le subjonctif passé, associé aux modalisateurs « sans doute » et « incontestablement », laisse entendre la voix d’un narrateur qui juge

978-2-212-54364-3 Sommaire Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 Avant le XVIe siècle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 XVIe siècle XVIIe siècle XVIIIe siècle XIXe siècle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

« mal », « mauvais chemin » ; – les sentiments tour à tour exprimés dans le monologue. Se succèdent chez Tristan le désespoir et l’apitoiement sur soi de la plainte initiale, le remord suggéré par la reconnaissance du tort causé au roi Marc, le regret de la vie qui aurait pu être la sienne, la culpabilité éprouvée à l’égard de la reine et finalement l’espoir, perceptible dans la prière. 2. Le discours de Tristan à son oncle On s’assurera que les élèves resituent la relation du vassal à son seigneur