Les Petits Bourgeois

constitue un des deux sous-aspects complémentaires mentionnés dans l'idée principale, sous-aspects que l'on doit reprendre dans l'ordre où on les a mentionnés dans l'iP. Abréviations : iS1 et iS2 Exemples : (iS1) La décoration révèle un univers bourgeois hideux, indice d'un pragmatisme qui confine à l'avarice chez Mme Vauquer. Les deux sous-aspects choisis sont les suivants : la laideur de l'environnement et l'avarice de Mme Vauquer. (iS2) La malpropreté ambiante trahit également la négligence et

L’histoire montre toute société a été dans le cas d’une lutte des classes, que ce soit en Antiquité avec la relation entre l’Homme libre et l’esclave, ou bien au temps de la société féodale entre le seigneur propriétaire de la terre et les serfs, petits paysans ruraux constituant la classe productrice. Cela montre que l’on avait déjà affaire à des oppositions entre oppresseurs et oppressés , à un conflit, à une lutte — que Marx qualifie de « lutte de classes ». La classe est déterminée par des

Commentaire : Le Bourgeois Gentilhomme, acte I scène 2 Ce texte est un extrait de la pièce théâtrale Le Bourgeois Gentilhomme de Molière (1622-1673) Il s’agit plus précisément de l’Acte I, scène 2. Le Bourgeois Gentilhomme est une comédie-ballet de cinq actes écrite au XVIIe siècle durant le règne de Louis XIV. Cette pièce s’inscrit dans le mouvement littéraire le classicisme, elle a été jouée pour la première fois au château de Chambord en présence de Louis XIV, elle expose sur scène les vices

une sorte de drame sanglant très expressif : il inclut sur scène des scènes atroces qui contrastent avec les règles de bienséance qui prévalaient au XVIIème (par exemple, dans une des pièces, un père boit le sang de son fils.) Le genre s'oriente petit à petit vers une tonalité dramatique. Voltaire écrit environ une vingtaine de tragédies dont les plus connues sont Zaïre et Mérope. Pour sa part, il est beaucoup plus respectueux des règles du XVIIème. S'il est admirateur du classicisme et de la simplicité

 « assourdissante », « acclamait », « s’écria ». Il y a manifestement un désir d’ostentation (d’étalage de la joie) « applaudissement ». La joie tourne à la cacophonie « vacarme ». Zola condamne la grossièreté et la médiocrité des petits bourgeois. C’est une petite victoire de provinces. ← Zola théâtralise l’épilogue et condamne l’arrivisme médiocre et barbare des Rougon (la fin justifie les moyens) II. Un épilogue théâtralisé Zola emploie le mot « spectacle » pour parler

d’Anzin, un évènement important de cette époque. Il intitulera son roman, Germinal, qu’il publiera en 1885. Dans son livre, Zola retrace sur une durée d’un an (1866-1867), dans la région de Montsou (Nord de la France), la vie des mineurs, celle des bourgeois, et surtout la révolte de ces ouvriers contre le patronat. Pour le titre de son œuvre, il avait d’abord pensé à différentes allusions politiques ou à des métaphores sur le feu (Le feu souterrain, Le feu qui couve, Le sol qui brûle), ou encore sur

Smith = vide de la conversation- Travail de déconstruction → absurde Cible du comique , théâtre de boulevard, stéréotype bourgeois et des bourgeois. Visé faire la satyre des lieux, des stéréotype commun des bourgeois et faire la parodie du théâtre boulevard ( en augmentant, pousse à l’excès ce qui est déjà présent) Certaines répliques sont familière, discordance entre le cadre bourgeois et les propos « Cela me fais aller au cabinet »Théâtre de boulevard de genre qui met en scène des scènes quotidiennes

V39= action disproportionnée pour un lièvre Champs lexical de la chasse : chasse à cour, chevaux et valet. V53 = Chasse divertissante pour le Prince, mais à travers c’est mots nous pouvons dire que c’est La Fontaine qui s’exprime à travers le bourgeois. V54 = Rien ne peut stopper le Prince. Indicateur de temps : V55 = Prince qui agit sans réfléchir Rythme rapide au vers 18 Ainsi, la deuxième partie du récit, qui montre les chasseurs aux prises avec le Lièvre, fait deviner aisément comment celui-ci

romain, les villes avaient perdu beaucoup de leur importance. Elles trouvent une nouvelle vigueur à partir des XIe et XIIe siècles, grâce aux activités commerciales et artisanales. Les villes, plus denses et plus actives, sont gouvernées par des bourgeois qui affirment leurs libertés vis-à-vis de leur seigneur. 1- Des villes plus peuplées et plus nombreuses, insalubres et animées. L’essor de la production et de la population des campagnes favorise le développement des villes dont la principale

Le XVIIe siècle, c'est le siècle classique, le siècle de Louis XIV, mais c'est aussi le siècle de Molière, dramaturge au nom à jamais uni à la langue française comme celui de Shakespeare à l'anglaise. Dans le Bourgeois gentilhomme, Molière s'exprime sur l'idéal de la société de son temps : l'honnête homme, idéal différent de ceux d'aujourd'hui, peut-être, mais servant à mettre en lumière des défauts fort communs. De manière comique, il décrit deux hommes se prenant pour ce qu’ils ne sont pas, c'est-à-dire