Les Petits Bourgeois

indication pour chaque personnage nommé. Ainsi, nous avons connaissance du lien familial qui unit Justin et Homais, tout comme le rôle qu’il exerce chez celui-ci. Une abondance de descriptions que nous trouvons également dans le portrait qu’il dresse des « petits Homais ». Flaubert en utilisant de nombreuses expansions du nom pour décrire les enfants Homais rend le portrait de ceux-ci plus pointu, plus vraisemblable, en somme plus précis. Toute cette précision est également rendue possible par l’utilisation

Lyon et «Le Dépit amoureux» en 1656. En 1658, il est de retour à Paris et obtient la protection du roi: sa troupe prend le nom de «Troupe de Monsieur» et représente surtout des tragédies de Corneille «Nicomède» en 1658. Il obtient le théâtre du « Petit-Bourbon » avec des comédien Italiens. Il a un immense succès avec «Les Précieuses Ridicules» en 1659.En 1660, il obtient le théâtre du « Palais-Royal » et il y reste jusqu'à sa mort. En 1662, il se marie avec Armande Béjart (fille de Madeleine Béjart)

pierre, se baignait dans cette onde douteuse. Quelques personnes, assises sur les bancs du petit jardin rond qui contourne le portail, regardaient cette bête avec envie. » L'appartement de Georges Duroy. « Il revint à grand pas, gagna le boulevard extérieur, et le suivit jusqu'à la rue Boursault qu'il habitait. Sa maison, haute de six étages, était peuplée par vingt petits ménages ouvriers et bourgeois, et il éprouva en montant l'escalier, dont il éclairait avec des allumettes-bougies les marches

natal. L'artiste est assis sur une chaise, de profil. Il porte un pantalon à carreaux et un veston à col rayé. Courbet, dans cette composition joue donc le rôle de médiateur, de régulateur. À ses pieds se trouve un chat blanc. Devant la toile, un petit berger comtois, pieds nus dans ses sabots, avec les cheveux en bataille, regarde la toile. Il est le symbole de l'innocence et de la vie. À droite du peintre se trouve une femme nue, son modèle qui regarde le peintre travailler ; elle est de profil

L'opposition de deux mondes A.Monde bourgeois B.Monde poète 2 – Des philosophies que tout oppose A.Bourgeois B.Poètes 3 – Satire de la bourgeoisie A.Habitudes, refus de l'imprévu B.Caractéristiques bourgeoises | Par quels procédés l'auteur réussit-il à critiquer la bourgeoisie tout en faisant l'éloge de poètes ? 1 – Une description réaliste & allégorique A.Opposition détaillée de 2 mondes (Bas/Haut) B.Opposition de 2 classes sociales (bourgeois/poètes) 2 – Satire de la bourgeoisie

Maupassant nous explique dans son extrait que même si l’intention est bonne et qu’on n’a le cœur sur la main que cela n’efface pas le mépris des autres. Propos : Boule de Suif, dans toute sa naïveté, donne pratiquement toute sa nourriture à ces bourgeois qui dévorent tout et ce, sans appréciation et avec mépris. Plan détaillé du commentaire composé portant sur l’extrait de Boule de Suif. Introduction Sujet amené Nom de l’auteur : Guy de Maupassant Titre de l’oeuvre : Boule de Suif Titre de

jour, une voiture vient et sortent deux bourgeois, les Henri d'Hubières. Ils s'adressent aux parents de la première chaumière et leur demandent s'il peuvent acheter le plus jeune des enfants. La mère et le père Tuvache refusent même si les bourgeois proposent une grosse somme d'argent tous les mois, la possibilité de voir le fils n'importe, une bonne éducation pour le fils, et beaucoup d'autres avantages. Mais les Tuvache refusent obstinément. Les bourgeois vont donc à la chaumière voisine et demandent

distingue plus des animaux: «Dans lafréquentation des animaux, elle avait pris leur mutisme et leur placidité. » Mais si Flaubert accuse ainsi les traits (exagération probable de la réalité), c'est afin de mieux faire ressortir le contraste avec les «bourgeois ». III. portée satirique de l'extrait: Flaubert brosse ce portrait pathétique dans une intention satirique . . Il en fait un portrait pathétique: souligne sa vulnérabilité, sa faiblesse, son usure; il recourt à des expressions témoignant de la

Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet : on y chante et on y danse. Mais ce qui était un amusement au XVIIe siècle n’en est plus vraiment un ! Prend-on encore du plaisir à regarder ces figures "se tourner, s’escarter, se mesler à l’entour" ? Je ne crois pas. Et cependant, régulièrement, Le Bourgeois gentilhomme est remis en scène. C’est pour les collégiens auxquels on fait étudier la pièce, me dira-t-on, ces pauvres collégiens à qui l’on explique que monsieur Jourdain est un bourgeois ridicule

aux côtés de ceux qui croient à la spécificité de l'histoire des mentalités, et qui le montrent. En un mot : nos paysans de Baudinard votaient comme Ledru-Rollin et Victor Hugo ; l'opinion publique est ce qu'ils avaient en commun avec ces grands bourgeois de haute culture, la mentalité politique est au contraire ce qu'ils avaient de distinctif : un monde ! ». La République au village est un livre passionnant. Savant certes, puisque élément d’une thèse de doctorat, mais au service de la compréhension