Les Petits Bourgeois

Manifeste du Parti communiste IIIIIIBourgeois et prolétaires Prolétaires et communistes Littérature socialiste et communiste 1. Le socialisme réactionnaire a) Le socialisme féodal b) Le socialisme petit-bourgeois c) Le socialisme allemand ou socialisme « vrai » 2. Le socialisme conservateur ou bourgeois 3. Le socialisme et le communisme critique-utopiques IVPréfaces Préface Préface Préface Préface Préface Préface à à à à à à l’édition l’édition l’édition l’édition l’édition l’édition de 1872, de Karl

différentes personnes à propos de la vie bourgeoise au XIXème siècle. Le document 1 est de BERIDA, extrait de « la société anglaise » qui décrit la « middle class » rassemblant toute la bourgeoisie de la plus grande à la plus petite. Le document 2 est une déclaration de L. MOTTE (petit entrepreneur) expliquant que même ceux qui vivent avec les revenus gagnés par leurs ancêtres, leurs enfants devront tout de même travailler. Le document 3 est un commentaire de Victor BERARD, extrait de

industrielle et qui permettra d’élaborer des principes propres à leur parti. Cette recension visera à dresser le portrait des principales idées émises par Marx et Engels dans Le Manifeste du Parti communiste, soit le passage du système féodal au système bourgeois, la bourgeoisie et la naissance de la classe des prolétaires, les principes du communiste versus celle de la bourgeoisie, ses manifestations au sein de la littérature ainsi que sa position à l’égard des différents partis d’opposition. Tout d’abord

Introduction : Femme hors-pair Louise Bourgeois est née en 1911 à Choisy le Roi, en France. Elle traverse des périodes à forte tension sociale, comme la première et la deuxième guerre mondiales, la guerre froide et les multiples révolutions qui ont marqué les plus grands courants artistiques. Elle en traverse plusieurs tels : le surréalisme ,l’expressionnisme abstrait ,l’hyper réalisme et l’art conceptuel. Malgré son implication dans plusieurs courants comme le féminisme, elle ne se

recueil en introduisant le mot « bourgeois » , définissant ainsi brièvement ce groupe culturel et par ailleurs , nous montrant l’évolution du sens et de la place de celui-ci dans la société et dans l’Histoire. Sa définition s’appuie notamment sur des pratiques, des apparences et des modes de vie observés : le bourgeois se lit à travers sa manière de vivre, son attitude intellectuelle et son instruction reçue. Elle distingue également plusieurs formes de bourgeoisie ( petite, moyenne ou haute bourgeoisie

Situer et présenter le passage : la grève des mineurs dans le but d'obtenir de meilleurs salaires devient une révolte de la faim et du désespoir. Zola peint ici la ruée des grévistes emportés dans la rage de détruire. Cette scène est vue par les bourgeois, à la fois fascinés et terrifiés. La mise en scène utilise des cadrages originaux et fait varier les distances focales, alternant effets de masse et détails symboliques. -Problématique : description épique d'un peuple révolté qui aboutit à une vision

LES CLASSES SOCIALES DURANT LA BELLE EPOQUE On distingue trois classes sociales en France durant la Belle Epoque : -La classe Bourgeoise, C’est la plus élevée mais aussi la moins représentée en effet le nombre de bourgeois est très faible. On distingue à l’intérieur de cette même classe sociale la haute bourgeoisie (banquiers, industriels) et la moyenne bourgeoisie (avocats, médecins, notaires…). L’aristocratie diminue au profit de la bourgeoisie car la position sociale ne se définie plus par

ces exemptions fiscales mais elle défendra sa position dominante dans la société.  Il en est de même pour la noblesse de robe qui, si elle est ouverte et favorable aux idées du siècle, est furieusement attachée à la défense de ses prérogatives. La petite noblesse rurale, constituée par les gentilshommes de province, s'indigne de sa pauvreté dans cet enrichissement universel. Elle cherche par tous les moyens à renforcer ses privilèges et à réviser ses droits. La Noblesse, que le roi de France va épauler

l'ont suivie, en France comme dans le monde. b- Les conséquences de Février : l’Illusion lyrique ? Le gouvernement provisoire qui voit le jour est une tentative de compromis de classe. Il comprend des petits bourgeois républicains comme Lamartine, les bourgeois du "National", un journal d’opposition, l’opposition dynastique, qui veut rendre le pouvoir aux Bourbons, et 2 représentants du prolétariat, Louis Blanc et l’ouvrier Albert. Ce gouvernement est à la traîne du point de vue

immorale et cette obsession du corps coïncident avec les critiques qu’on adressera à Molière : ainsi on lui reprochera telle allusion obscène dans l’Ecole des femmes (voir la querelle plus bas) et un usage scatologique du langage à la turc de son Bourgeois (voir la série des cacaracamouchen, IV, 3 p. 174). On dénoncera à plusieurs reprises cette scurrilité (bouffonnerie) de Molière ( de Donneau de Visé à Boileau, dans son Art poétique). Le cas de Tartuffe est exemplaire de cette réappropriation par