Les Petites Canailles

sommes ; vertu d'autant plus universelle et d'autant plus utile à l'homme qu'elle précède en lui l'usage de toute réflexion, et si naturelle que les bêtes mêmes en donnent quelquefois des signes sensibles. Sans parler de la tendresse des mères pour leurs petits, et des périls qu'elles bravent pour les en garantir, on observe tous les jours la répugnance qu'ont les chevaux à fouler aux pieds un corps vivant ; un animal ne passe point sans inquiétude auprès d'un animal mort de son espèce ; il y en a même qui

suivie n°6 - Période 3 : Janvier - Février Le Petit Chaperon rouge Conte de Grimm Il était une fois une charmante petite fille que tout le monde aimait au premier regard. Sa grand-mère qui l’adorait plus que tout lui avait donné un petit chaperon de velours rouge. Comme il était joli ! Comme il lui allait bien ! La fillette ne voulut plus porter autre chose et on l’appela désormais le Petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère lui dit : - Tiens, Petit Chaperon rouge, voici un morceau de galette et une

tue, point de quartier. Donnons. Ferme. Poussons. Bon pied, bon œil. Ah! coquins, ah! canaille, vous en voulez par là; je vous en ferai tâter votre soûl. Soutenez, marauds, soutenez. Allons. à cette botte. à cette autre. à celle-ci. à celle-là Texte n°3 : On ne badine pas avec l'amour, MUSSET, acte III scène 3 CAMILLE, lisant Perdican me demande de lui dire adieu, avant de partir, près de la petite fontaine ou je l'ai fait venir hier. Que peut-il avoir à me dire ? Voilà justement la fontaine

Bibliographie : Boule de suif (1880), Mademoiselle Fifi (1881), La maison Tellier (recueil, 1881), Une vie (roman, 1883), Contes de la Bécasse (recueil, 1883), Toine (1885), Contes du jour et de la nuit (recueil, 1885), Bel-Ami (roman, 1885), La Petite Roque (1886), Le Horla (1887), Pierre et Jean (roman, 1888), Notre Cœur (roman, 1890). Liens: Maupassant par les textes Biographie détaillée et illustrée de Guy de Maupassant Guy de Maupassant : L'oeuvre intégrale en livres

de Lacédémoniens, or, il est expulsé de l'enceinte sur-le-champ. À son tour Dicéopolis, le héros de la pièce, prend la parole pour dénoncer cette expulsion car lui aussi désire que l'on débatte de la paix mais les prytanes s'y refusent. Dans cette petite scène, Aristophane nous apprend qu'il y avait donc des sujets interdits. Au comble du tabou athénien, Dicéopolis décide de décréter une paix personnelle, or en ceci il se désolidarise de la communauté. Il n'y a guère que Diogène le Cynique pour rejeter

ceux-là, murmurait, bourdonnait, et harcelait tout l’attelage ; mouche de l’immense Coche révolutionnaire. Le mouvement perpétuel était dans ses petits bras et la clameur perpétuelle dans ses petits poumons : - Hardi ! encore des pavés ! encore des tonneaux ! encore des machins ! où y en a-t-il ? Une hottée2 de plâtras pour me boucher ce trou-là. C’est tout petit votre barricade. Il faut que ça monte. Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. Une barricade, c’est le thé de la mère

laquelle on avait ajoute un petit lit et une table de chevet, elle était si encombrée qu’il n’y avait pas du tout d’espace même pas pour qu’une petite souris puisse s’y cache. Jeanne furieuse la chercha dans la bibliothèque car Samantha aimait beaucoup lire et se glisser entre les pages des livres et vivre les aventures imaginaires, fantastiques, romantiques, héroïques que les livres pouvaient lui offrir. Cherchant partout et ne laissant rien au hasard même pas un petit placard minuscule, Jeanne

Tréhot : Pierre né à Ville d'Avray, le 14 septembre 1868 et Jeanne, née à Paris Xe, le 21 juillet 1870. Le séjour que Renoir fit avec Monet à la Grenouillère (établissement de bains sur l'île de Croissy-sur-Seine, lieu très populaire et un peu « canaille » selon les guides de l'époque) est décisif dans sa carrière. Il peint véritablement en plein-air, ce qui change sa palette, et fragmente sa touche (Monet va beaucoup plus loin dans ce domaine). Il apprend à rendre les effets de la lumière, et à

grande ouverte aux gredins sans scrupules. La condamnation de Dantès n'est pas le résultat d'une erreur judiciaire, mais le résultat d'un complot conduit par des canailles qui gravissent peu à peu les plus hautes positions sociales. De la fuite à Bruxelles (il échappe aussi à ses créanciers, il faut bien le signaler) quand Napoléon le Petit prend le pouvoir, jusqu'à l'aide apportée au révolutionnaire italien Garibaldi, Dumas sera du côté des généreux6 . Guy Astic a choisi ces textes pour nous donner

murmurait, bourdonnait, et harcelait tout l’attelage ; mouche de l’immense Coche révolutionnaire. Le mouvement perpétuel était dans ses petits bras et la clameur perpétuelle dans ses petits poumons : - Hardi ! encore des pavés ! encore des tonneaux ! encore des machins ! où y en a-t-il ? 15 Une hottée2 de plâtras pour me boucher ce trou-là. C’est tout petit votre barricade. Il faut que ça montre. Mettez-y tout, flanquez-y tout, fichez-y tout. Cassez la maison. Une barricade, c’est le thé de