Les Personnages Les Fausses Confidences

définition du registre pathétique : il utilise les mêmes procédés d’écriture dans le but d’exprimer une émotion douloureuse. Mais les situations exposées sont en général plus humaines, moins soumises à la détermination d’une force supérieure. Les personnages sont plus proches du lecteur ce qui permet de faire partager plus aisément les émotions. Cette définition s’applique aussi au texte car le condamné est soumis à une décision de la justice des hommes, mais il ne peut cependant pas y échapper pour

inspiré par la commedia dell'arte, écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire : La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique des inégalités sociales.

 La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique des inégalités sociales. Parallèlement à sa carrière de dramaturge, Marivaux travaille dans la banque puis comme journaliste au Spectateur français, journal qu'il fonde en 1721. Les Personnages : - Iphicrate, un général athénien. En

l’instruire en l’amusant. » Qu’en pensez-vous ? ( 3 ) Théorie classique d « instruire et plaire » qui place le roman sur le même plan qu’une tragédie dans laquelle les héros sont condamnés par leur destin. Les personnages ont choisi la passion contre la société et ce choix est tragique puisqu’il conduira à la mort de Manon interprétée comme une sanction divine. Le lecteur éprouve de la sympathie pour les deux jeunes amoureux, les suit dans leur immoralité qu’il pardonne

œuvres qui traitent « la métaphysique du cœur », le style se fait vite appeler le marivaudage : La surprise de l’amour (1722), La double inconstance (1723), et ses deux pièces les plus connues : Le jeu de l’amour et du hasard (1730) et Les fausses confidences (1737). Marivaux dit avoir « guetté dans le cœur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l’amour lorsqu’il craint de se montrer ». Marivaux partage avec Voltaire la place de l’auteur le plus joué de la première moitié du XVIIIème

, Laclos Le paratexte L’avertissement de l'éditeur A) Paragraphe 1 : Avertissement de l'authenticité de l’œuvre publié ( Possibilité que sa ne soit q'un roman) Paragraphe 2 : Éditeur parle du manque de vraisemblance des personnages et de l’époque évoquées dans l'histoire, ainsi que des mœurs Paragraphe 3 : Possible correspondance des événements a une autre époque, accusation contre l'auteur d'avoir blâmer son époque et voulu vendre plus son œuvre Paragraphe 4 : Justification

clairement sociales (L’île des esclaves, La Colonie…), voire philosophiques ou même moralisantes. Mais le thème préféré de Marivaux demeure avec évidence l’amour naissant, comme en témoignent La Double inconstance, La Fausse suivante, Le Jeu de l’amour et du hasard, Les Fausses confidences, La Surprise de l’amour, Le Triomphe de l’amour et bien d’autres. ♣ L’Île des esclaves (1725)  Cette comédie aborde les relations maîtres-valets, sur fond d’utopie morale et sociale. Après un naufrage, Iphicrate et

ou encore MarivauxMarivaux reprend dans ses pièces, influencées du théâtre italien ou de Molière, les thèmes de l'amour, de l'argent et du mariage. Il met davantage l'accent sur la psychologie des personnages et l'ambiguïté des sentiments, c'est ce qu'on appelle le marivaudage.Dans le Fausses Confidences, l'intrigue se développe autour d'un jeune homme désargenté, Dorante, que son ancien valet Dubois veut aider à épouser Araminte, une jeune et richeveuve.Dans la scène 2 de l'Acte I, nous sommes plongés

libération. Après la lecture les élèves ont l’impression que le texte est dégoûtant, choquant. L’étude va s’attacher à démonter les raisons pour lesquelles le lecteur est si touché. 1- Des choix d’écriture particuliers. a. Le narrateur est le personnage, « Je ». Le récit est donc fait en point de vue interne. Nous avons le ressenti de Bardamu qui mène une narration au passé-simple et à l’imparfait : « Sa mère m’entrouvrit(…) . Elle chuchotait (…). Le narrateur communique donc au lecteur ses

LES FAUSSES CONFIDENCES, Marivaux, 1837Analyse linéaire Acte III scène 12 de la ligne 27 : « ARAMINTE. Il n’y a pas moyen » jusqu’à la ligne 71 : « DORANTE. Quoi !... »→Faites l’analyse linéaire du passage après avoir répondu aux questions. 1) Quelle image Dorante donne-t-il de lui-même à travers le type de langage qu’il utilise (l. 27 à 38) ? Dorante donne une certaine image de lui-même à travers le type de langage qu’il utilise : – langage du cœur et de