Les Paysans Dans L Occident Médiéval

intellectuelle mais aussi compétition, donc de prestige avec les échanges cadeaux et le pouvoir par la guerre -> culture et reconnaissance (mène à une lutte pour la reconnaissance). .Conditions nécessaires et suffisantes pour l’existence humaine .monde paysan (du néolithique au 20e « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression » Déclaration des droits

compétition et du civisme. Etre athlète olympique= honneur suprême. Interdiction des jeux en 393 par Théodose le Grand à cause de la pression de l’Eglise catholique. * Les jeux médiévaux Moyen-âge= exercices physiques sont d’abord des entraînements militaires. Sport= aussi occupation populaire. Ex : Paysans pratiquent le tir et les jeux de balle (la soule, XIème siècle// jeu de paume) b) Le sport moderne, une invention sociale anglaise ? Outre manche= modèle sportif se diffuse. XVIème :

vont développer un raisonnement juridique. C'est la grande période de la doctrine romaine. Les juris prudens sont ceux qui savent bien faire le droit, ce sont les savants (cela correspond aujourd'hui à notre doctrine). Les Romains sont des paysans, ils ont le sens du concert, les Grecs sont des intellectuels, des philosophes. La législation de l'empereur devient de plus en plus lourde. La doctrine et la jurisprudence s'abaissent. La législation va devenir la seule source du droit.

développer le système de monnaie (d'abord l'Or (-2300)), la Lydie sera le premier pays à utiliser ce système qui est très libérale mais toujours avec des restrictions juridiques (lois: Code Hammourabi). Il y a des régimes de petites propriétés, les paysans sont libres d'exploiter les terres et sont les seuls bénéficiaires de leurs produits. En revanche, ils sont tous obligés de travailler un nombre d'heures à la collectivité (infrastructures). Il y a une relation de marché (pas de monopole): l'échange

deviennent des formes structurées d’acquisition de la connaissance. Ce qui est contesté : La rupture soudaine avec le passé. Plutôt un lent processus complexe qui s’appuie sur le passé médiéval et qui n’a pas un seul point d’aboutissement. Continuité entre philosophie naturmelle du 18e siècle et son passé médiéval. Une « seule science : plutôt un ensemble divers de pratiques culturelles destinées à comprendre et contrôler le monde naturel Le mot science à l’époque ne recouvre pas tout ce que le mot

durant le Moyen Âge central, la population européenne augmenta fortement grâce à des innovations technologiques qui permirent un accroissement des rendements agricoles. La société se réorganisa selon les systèmes de laseigneurie, l'organisation des paysans en communautés cultivant la terre pour le compte des nobles, et de la féodalité, la structure politique par laquelle leschevaliers et la basse-noblesse servaient dans l'armée de leur suzerain en échange du droit d'exploiter leurs fiefs. Cette dernière

l’ « agora » en grec, le « forum » en romain. Les membres de cette assemblée sont les artisans, les paysans et les soldats. Ce peuple ne joue pas un rôle très important, ne s’exprime pas, sauf quand le roi essaye de produire une loi contraire au peuple. A cette époque la société s’organise autour de grands propriétaires fonciers, des nobles, font exploiter leur terre par des esclaves ou des paysans libre, qui vont travailler les terres. Il y a des artisans aussi ainsi que les esclaves, qui ont une

or paradoxalement la coutume romaine était écrite. On parle de droit coutumier à Rome. Attention : il existe une mesure de la durée de l'histoire romaine. • –fondation de Rome : 21 avril 753 av JC (Rémus et Romulus avec la louve). • –Empire romain occident connaît sa chute en 476 après JC. L'histoire juridique romaine est marquée par le recul de la coutume au bénéfice du droit écrit. A la fin de l'empire romain il ne reste que la coutume résiduelle. Il y a eu une codification du droit romain qui est

(1873-1947)3 pense avoir affaire à une « maladie de civilisation »4. Il en appelle à un nouvel effort de « sagesse »5 pour que l’avenir reste ouvert. Hans Müller (1891-1988) considère que les menaces qui pèsent sur l’existence des petits et moyens paysans mettent également en danger la société dans son ensemble. Il en appelle à la sagesse chrétienne, tandis que son collègue H.P. Rusch (1906-1977) travaille sur l’agrobiologie avec l’idée du « Tout vivant », tout en considérant parfois avoir approché

droit romano-canonique » parce qu’il est constitué principalement par le droit romain et le droit canonique. On dit aussi l’utrumque jus, ce qui veut dire l’un et l’autre droit. Cet Utrumque jus est un des caractères principaux de la civilisation médiévale, a-t-on écrit le (J. L. Gay, Mélanges Le Bras, II, p. 1191), mais il dépasse la durée du Moyen Age pour se prolonger dans les derniers siècles de l’Ancien-Régime. Cette période extraordinairement féconde, comparable par son importance à celle qui