Les Naufragés

Robinson Crusoé, initialement écrit par Daniel Defoe. Il base cette version sur laGrand Prix du roman de l'Académie française relation entre le naufragé Robinson et le sauvage Vendredi. Michel Tournier reprit en 1971 le thème de ce roman et en fit une adaptation pour la jeunesse, sous le titre de Vendredi ou la Vie sauvage. Résumé Robinson Crusoé, rescapé du naufrage de La Virginie (avec Tenn le chien du commandant de bord) échoue sur une île déserte, qu'il baptise Speranza (Espérance). Épuisé par la

balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots... Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots! Mallarmé I.] Le mal de vivre a) Un constat désabusé« La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres » : la culture a épuisé ses

Journal de bordJour 1:J'ai survécu à un naufrage la nuit dernière, je me sens mal, je ne sais ou je suis, qui je suis, j'ai perdu la mémoire et nous sommes que trois à avoir survécu. Je me suis réveillé ce matin sur la plage d'une île inconnue Je décide donc d'aller explorer ll'île Jour 5: Ce matin le ciel est bleu, pas de nuage à l'horizon, le soleil est bouillant, il y a beaucoup de palmiers et de cocotiers mais aussi de magnifiques coquillages. La mer est calme pas une vague , l'eau est claire

conseillant d’aller laver son linge au fleuve près du palais de son père pour ses futures noces. La princesse se rend donc, comme prévu dans son rêve, au fleuve, y lave son linge puis joue à la balle avec ses servantes l’ayant accompagnée. Ulysse, naufragé s’étant réfugié dans le creux d’un tronc d’arbre pour se reposer, est réveillé par les cris des jeunes femmes. Il se présente à elles nu, sale et affamé ce qui fait fuir les servantes. Seule Nausicaa reste, pas effarouchée par la présence de cet

précipiter la galiote « Virginie » sur laquelle voyage Robinson. Le bateau est dans la région de l’Archipel Juan Fernandez. Le capitaine n’est pas préoccupé pour l’orage et il joue aux cartes avec Robinson quand la galiote naufrage. Robinson se réveille en étant le seul survivant du naufrage, mais il a mal à l’épaule. Et il confirme qu’il est dans une île déserte. Triste et totalement fatigué il mange un ananas et il s’endort dessus une pierre. Robinson est réveillé par les rayons du soleil et il cuit le

(et non de Saint-Valéry-sur-Somme comme il l’a noté par erreur). Le titre, emprunté à Virgile (“Énéïde”, II, vers 250), peut se traduire par «Nuit sur l’océan», nuit matérielle qui ensevelit les corps, nuit morale qui ensevelit les âmes ; double naufrage dans «l’aveugle océan» et dans «le sombre oubli», la nuit, qui s’ajoute à la profondeur de l’océan, devenant le symbole de l’oubli. Ce poème, le premier poème composé pour “Les rayons et les ombres”, d’une facture toute classique, comporte huit

roman de Defoe, Robinson Crusoé, un personnage qui s’était retrouvé seul sur une île déserte suite à un naufrage. « Même matériellement, Robinson dans son île reste en contact avec les autres hommes, car les objets fabriqués […] le maintiennent dans la civilisation… » Bergson nous fait remarquer que malgré sa solitude, Robinson dispose des objets techniques qu’il a pu prendre après le naufrage. Dès lors, du point de vu matériel Robinson n’est plus seul sur l’île malgré l’apparence. Les objets techniques

Friedrich reçoit le grand Duc Nicolas, futur Tsar de Russie, qui lui commande un tableau devant représenter un paysage nordique dans son « effroyable beauté ». Ce tableau, Le naufrage de l'Espoir (1820), aujourd'hui disparu, a longtemps été confondu avec un tableau de 1823/24, La mer de glaces. Ce tableau qui dépeint le naufrage d'un bateau écrasé par des blocs de glaces renoue avec le thème de la mort et de la Nature toute-puissante. C'est en voyant ce tableau lors d'une visite à l'atelier de Friedrich

1722. Le roman tourne autour de la vie et les aventures étranges et surprenantes de Robinson Crusoé de York, marain, qui vécu 28 ans sur une île déserte sur la côte de l’Amérique, près de l’embouchure du grand fleuve Orénoque, à la suite d’un naufrage ou tout périr à l’exception de lui-même, et comment il fut délivré d’une manière tout aussi étrange par des pirates. Écrits par lui-même. De plus, la structure de l’œuvre est un gigantesque monologue qui établit une autobiographique claire et

et la Bête ” de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, un fragment de “ Notre-Dame de Paris ” de Victor Hugo, un passage de “ La Bête humaine ” d’Émile Zola, un morceau de “ Les naufragés et les rascapés ” de Primo Levi et un tableau de Caravage, “ Medusa ”. Cet ensemble de documents permet de s’interroger sur l’attitude des différentes artistes face à ces aspects de la nature humaine et