Les Naufragés

servir sa volonté d'Empire. Ce discours blâme les régimes précédents tout en idéalisant l’Empire. Tout d’abord, il utilise la métaphore du naufrage accusant la République de la chute de la France « Il sait qu’en 1852 la société courait à sa perte » (l.13-14). « naufrage général » (l.14), « surnager » (l.15) et « vaisseau » (l.16) évoquant ainsi le naufrage d’un bateau (la France). Mais il fait aussi référence à la guerre en accusant les différents partis politiques de chercher à s’approprier la

la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux, Que

(1967), Le roi des aulnes (1970), les Météores (1975) Le genre Roman d’aventure Le cadre L’histoire se passe au XVIIIe siècle et dure un peu plus de 28 ans. Elle se déroule dans un premier temps sur le navire « La Virginie » qui a fait naufrage le 29 septembre 1759 puis sur une ile près des côtes chiliennes (océan pacifique entre les iles juan Fernandez et la côte orientale du chili). Le récit est au temps du passé (passé simple et imparfait) et le narrateur est extérieur au récit (3ème

Nom de l'artiste : Théodore Géricault ( 1791-1824 ) Titre de l'œuvre étudié : Le radeau du frégate de la Méduse ( 1818-1819 ) ( dimension : 7.10 x 4.91 ) L'artiste se passionne pour les fais divers brutaux et le naufrage du frégate de la Méduse. Ce qui a déclenché l'envie de réalisé ce tableau est que c'est un fais divers très intéressant grâce au livre de deux survivants. T. Géricault procède d'abord à plusieurs croquis avant de peindre l'œuvre finale ( environs soixante croquis ). Description

marchande, mâchonnait nerveusement sa chique tout en marmonnant des prières en latin et me suppliant de rebrousser chemin, le coin étant réputé pour ses naufrages. Billy le disait hanté par les spectres des marins naufragés, il me raconta que son père avait aperçut en 1817 des ombres humaines et des lumières dans la nuit. Ils avaient pensé à des naufragés et quand ils s ’en étaient approchés, les lumières s’étaient enfoncées dans l’océan, sans laisser la moindre trace. Nullement inquiété par ses élucubrations

encore, le verbe « croit » marque le doute de Mallarmé. D’autant plus que ces vers sont suivis du modalisateur « peut-être » ajouté aux points de suspension : « Et peut-être, les mats, invitant les orages / Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages / Perdus, sans mats, ni fertiles îlots ». La synérèse du vers 14 indique que son interrogation dure. De plus, la répétition de « mats » associée au terme « perdus » renforce l’expression de son hésitation. Il semble craindre de perdre ses repères

suite d'une manœuvre, le pétrole est violemment expulsé du puits, puis prend feu. La plate-forme incendiée s'écroule et libère son pétrole pendant 9 mois. Au total ce sont entre 470 000 et 1 500 000 tonnes de pétrole qui se seront échappées. Le naufrage du Torrey Canyon est survenu le 18 mars 1967. Le pétrolier libérien, chargée de 120 000 tonnes de brut, s’échoue entre les îles Sorlingues et la côte britannique. Malgré une mobilisation de tous les moyens de lutte disponibles, plusieurs nappes de

roman la Peste, Albert Camus insiste sur l’impuissance du médecin « il ne pouvait rien contre ce naufrage », « ce furent bien des larmes de l’impuissance qui empêchèrent Rieux de voir Tarrou expirer ». Rieux est faible et impuissant face à la mort Il suscite de la pitié chez le lecteur, de la compassion ce qui donne au texte un registre pathétique. L’auteur utilise des métaphores pour parler du naufrage comme « un mal surhumain tordu par les vents haineux du ciel », ce qui monte une certaine fatalité

d'atome de carbone et d'hydrogène. Il y a des pétroliers qui nettoient leurs cuves en pleine mer. C'est ce qu'on appelle le dégazage. Il y a eu aussi des pétroliers qui ont fait naufrage et leurs cargaisons de pétrole s'est répandue dans la mer en provoquant une marée noire. C'est le cas du pétrolier Erika qui a fait naufrage au large de la Bretagne, le 12 décembre 1999. - Pollution par les métaux lourds: Les métaux lourds sont le plomb, le mercure, l'arsenic, le cuivre, le zinc... Ils proviennent

défavorables, vivant une suite d'échecs, de naufrages. On est cependant tenté de le suivre lorsqu'il appareille au dernier vers pour de nouvelles aventures. CONCLUSION Verlaine se veut païen. La réalité qu'il appréhende et craint ne lui fait entrevoir aucun espoir malgré les belles œuvres. Verlaine apparaît comme un être passif, sans volonté. Son refus de la réalité le fera évoluer dans la rêverie, là où il n'y a rien de violent, de brutal, ou les naufrages sont imaginaires. En se réfugiant dans ce