Les Mots Nous éloignent Ils Des Choses

nous apprenant à bien penser, va nous permettre de bien choisir. Cette philosophie nous aidera à nous forger une opinion qui serait le reflet de notre opinion (valeur). Qu'attend t'on de vous le jour du bac ? Qu'on soit capable d'utiliser les choses apprissent en cours à bon escient, de réfléchir, d'évaluer … = pensée vivante. II- Méthodologie, explication de textes : On a lut ensemble un certain nombre de textes, notre but n'est pas d'en faire une lecture poussée mais juste d'en saisir

l'impossible Il est le représentant le plus ocnnu du surréalisme belge influencé par l'artiste italien DE CHIRICO Thème : rêve, folie, féminité -FRANCIS PONGE Le parti pris des choses (1942) recueil Étude de philosophe Il refuse les thèmes de la poésie traditionnelle Refus du lyrisme manque de rigueur dans le choix des mots Il décrit des objets du quotidien mêlant caractérisation objective et considération affective. Il est membre du parti communiste 1937 et entre en résistance en 1941 -GUILLAUME

monde Sujet d’explication de texte proposé aux élèves de section S en DST le 21 octobre 2006 Expliquer le texte suivant : Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. Cette tendance, issue du besoin, s’est encore accentuée sous l’influence du langage. Car les mots (à l’exception des noms propres) désignent des genres. Le mot, qui ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal, s’insinue entre

les souffrances. Protarque : C’est parfaitement plausible. Socrate : Et si l’inverse se produit, que l’harmonie est rétablie et que leur nature est ainsi rétablie, alors il faut dire que le plaisir naît, si l’on veut du moins se prononcer en peu de mots et le plus brièvement possible sur une affaire qui compte parmi les plus importantes. Protarque : Je crois que tu dis juste, Socrate, mais essayons d’être encore plus précis sur ce point. _____________________________________________________________________Socrate :

Faut-il préférer lire des ouvrages qui nous éloignent de la réalité ou pas ? Après quelques secondes d’hésitation, je peux dire que deux mots de ce titre me gênent, à savoir les verbes falloir et préférer. Il me semble en effet qu’on peut préférer un genre littéraire à un autre mais qu’il ne faille pas préférer un genre à un autre. La préférence est une liberté et je ne peux concevoir la notion d’obligation associée à la préférence. Je reviendrai plus tard sur ce point. C’est conventionnellement

rendre le mardi 04/11 Dans Qu’est-ce que la littérature , Jean-Paul SARTRE écrit que la poésie ne se sert pas des mots de la même manière que la prose : «   Et même, elle ne s’en sert pas du tout ; je dirais plutôt qu’elle les sert… Le poète s’est retiré d’un seul coup du langage instrument ; il a choisi une fois pour toutes l’attitude poétique qui considère les mots comme des choses et non comme des signes. » Vous commenterez ce jugement de SARTRE et analyserez, en vous appuyant sur des exemples

encore, « Les Mots de Jean-Paul Sartre (1964) », « Rapport Sur Moi de Grégoire Bouillier (2002) », « Balzac et la petite tailleuse chinoise de Daï Sijie (2000) », « Fahrenheit 451 de Bradbury (1953) » et puis, « Les confessions de Rousseau (1782) ». D’après ces extrais de Roman, nous allons pouvoir en déduire de ce que la lecture en elle-même, peut nous apporter. La lecture est avant tout une liberté, elle permet de s’évader, de se distraire, de nous faire oublier la réalité des choses présents au

REPROCHER AU LANGAGE DE MAL EXPRIMER, EST-CE JUSTIFIE ? A un mot ne correspond jamais une chose et une seule. Plusieurs choses sont signifiées et par une même définition et par un seul et même nom. Il s'ensuit que je peux me tromper et que ces erreurs sont imputables à l'ambigüité du langage. Toutefois, le langage est un instrument de communication capable de dire clairement le vrai. Cependant, l'instrument permet aussi de dissimuler et de tromper. Et le reproche n'est pas à faire au langage,

révélatrice des aspects de la réalité. Nous pouvons donc nous demander quel est vraiment le but de l'art ? Si l'art n'était qu'une pure et simple imitation de la réalité, alors il n'aurait aucune utilité pour l'homme. Si l'art permettait de révéler des choses qui peuvent sembler invisible à l'homme, alors il lui permettrait de prendre conscience des éléments qui l'entoure et d'élargir sa connaissance. Première partie: ligne 1 à 9 Cette première partie, introduite par la thèse du texte

puisse embellir la vie et les choses ? Elle a parcouru bien du chemin, la poésie, cette survivante à toutes les époques, depuis Ronsard dans l’hymne de l’automne, qui lui assignait le pouvoir de « bien déguiser la vérité des choses/d’un fabuleux manteau dont elles sont encloses » jusqu’à Cocteau qui dans le Rappel à l’ordre (1926), empruntant quasiment la même métaphore, voit dans la poésie celle qui sera capable de « dévoiler […], de nous montrer nues les choses […] ». Entre les deux, Dieu est