Les Mots Nous Trahissent Ils

Le langage humain abonde de mots qui nous permettent de communiquer avec nos semblables, mais aussi d’exprimer nos sentiments et nos passions, sans omettre une fonction très importante, qu’est l’expression de la pensée. Tout cela se traduit par des paroles, par des mots, chaque élément possède un ou plusieurs mots pour le nommer. Nous semblons donc dans la capacité certaine d’user de cette faculté qu’est le langage de façon à toujours nous faire comprendre des autres. Lorsque nous parlons, nous aspirons

désirs qui agissent sur la vie consciente à son insu. Pour l'exemple de la trahisons des paroles, on dit qu'elle ne nous sont plus fidèles. En quel sens peut on dire que nos paroles nous trahissent ? Quand ces paroles reflètent-elles des pensées que nous aurions voulus garder pour nous ? Ces pensées qui nous trahissent reflètent une partie de notre identité que nous aurions voulue cacher à autruie ou même à nous même. La trahison est une sorte d'insconscient comme l'explique Descartes " Avoir des représentations

l’épistolier. La réalité ainsi transfigurée parle d’elle-même. Les mots ainsi choisis trahissent plus que ceux que l’on peut utiliser pour s’exprimer lorsque l’on n’a rien à cacher ou aucune intention de laisser entendre. Le mensonge, le non-dit ou l’omission deviennent dès lors plus explicites que les mots eux-mêmes, l’intention en fait transparait sans que l’épistolier ne s’en rende compte. On peut ainsi affirmer que les lettres trahissent du fait de leur contenu et de leur style les rapports que l’auteur

l’épistolier. La réalité ainsi transfigurée parle d’elle-même. Les mots ainsi choisis trahissent plus que ceux que l’on peut utiliser pour s’exprimer lorsque l’on n’a rien à cacher ou aucune intention de laisser entendre. Le mensonge, le non-dit ou l’omission deviennent dès lors plus explicites que les mots eux-mêmes, l’intention en fait transparait sans que l’épistolier ne s’en rende compte. On peut ainsi affirmer que les lettres trahissent du fait de leur contenu et de leur style les rapports que l’auteur

employé : le décalage) I) La Bataille Le paragraphe semble écrit par un narrateur enthousiaste affirmant la beauté de la guerre. On peut y voir un disciple de Pangloss ( ou une focalisation interne de Candide ), quoique certains trahissent mots trahissent la véritable pensée de l’auteur formant des jugements provoquant un effet de surprise. A) L’exagération Les premières phrases produisent un effet d’accumulation et d’énumération donnant un effet d’exagération. Cette violence dans

d'ailleurs à la fois la pensée rationnelle et le langage. Ainsi, le langage et la pensée sont reliés par cette notion de vérité. Or avoir un langage fidèle à notre pensée, nécessite des mots qui le reflètent réellement : c’est-à-dire capable de transmettre nos sentiments, nos idées, nos souvenirs. Mais si les mots ne sont pas le véritable reflet de notre pensée, on peut dire qu’il nous trahit. Le langage, ne serait-il pas trop superficiel, trop pauvre et limité pour exprimer la pensée ? Ainsi, le

pouvons remarquer la grande habilité de la marquise de Merteuil en tans que manipulatrice. Celle-ci sait parfaitement le comportement à adopter afin de simuler des sentiments, cela est en fait impossible à travers l'écriture du fait que les mots nous "trahissent". L'étude de la lettre XXXIII met par ailleurs, en évidence une relation didactique instaurée entre la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont. En effet, dans cette lettre, la jeune femme donne des conseils au libertin sur sa façon

désespoir. Britannicus est très touché, déconcerté par les pleurs de sa bien-aimée. Les vers 1547 et 1548 en témoignent clairement ; je veux faire allusion ici aux trois points d’exclamation et au point d’interrogation qui trahissent le désarroi de Britannicus. Enfin, la force des mots que Racine prête aux deux protagonistes est assez suggestive pour montrer la profondeur de leur amour. De même, la scène 7 de l’acte III regorge de ces termes porteurs d’intensité. Je relèverai ici que « coeur » et « amour »

269, on trouve « fils d’Egée », tandis qu’au vers 296, on relève l’adjectif « paternels ». Phèdre semble marquée du sceau de l’infamie, c’est pour cette raison qu’elle tente de se disculper en dissociant d’elle-même les parties de son corps qui la trahissent : aux vers 285-286, « ma bouche » s’oppose au pronom personnel « je », tandis qu’aux vers 290-291, la groupe nominal « mes yeux » s’oppose toujours au pronom personnel «  je ». Phèdre n’assume pas l’amour coupable qu’elle nourrit pour Hippolyte

s’assurer de la nature des sentiments de Meursault envers elle : « Elle a voulu savoir alors si je l’aimais ». Ses positions sont conformes à la gravité des circonstances, elle croit au mariage, à l’amour et souhaite être aimée ! 3) Même ses silences trahissent un effort sincère pour comprendre Meursault, comme le soulignent les indices temporels « un moment, puis, après ». Ces silences durent en fonction de ses efforts ! 4) Le regard aussi traduit un effort réel pour déchiffrer le comportement déroutant