Les Mots Nous Trahissent Ils

LE PORTRAIT DE COSETTE, LES MISERABLES, V.HUGO I) La construction du portrait Le portrait de Cosette se construit autour de deux mots-clés : la laideur et la crainte. C’est donc à la fois un portrait physique et moral du personnage des Misérables qui s’effectue ici. Le narrateur est iextérieur puisqu’il ne semble pas connaître Cosette : il émet des hypothèses. C’est pourquoi, le sentiment de crainte se déduit de ses attitudes. II) Le portrait physique Le personnage est décrit de façon précise

conseils tout au long de ce travail. A l’ensemble de mes professeurs pour leurs aides à l’élaboration de mon sujet de mémoire. A mes parents pour leur soutien quotidien depuis toujours, et particulièrement à ma Maman qui m’a soutenue et a su trouver les mots pour m’aider dans les moments de doute. A mes camarades de DN MADE pour leurs soutiens et particulièrement Louise Ginioux pour sa bienveillance.5 Sommaire Introduction 6 Manquer de confiance en soi 8 Les origines 8 Traduction gestuelle 10 Avoir

Ils caricaturent, parodient le langage et les attitudes de leurs maitres, involontairement puisque ils essayent seulement de les imiter sans vraiment savoir comment faire et engendre des quiproquos. De plus leurs manières de valet et de suivante trahissent leurs appartenance à une classe inférieure, ils ne sont pas raffinés mais impulsifs et assez vulgaires. Ils s’occupent avec le badinage comme leurs maîtres mais quand ils l'utilisent, c'est de façon vulgaire et maladroite. Ils ont une naïveté qui

permet les aveux, parfois au terme d’échanges subtils comme chez Marivaux. A cette première fonction s’ajoute la fonction expressive, qui utilise les mots pour exprimer émotions et sentiments, traduire la sensibilité et les opinions du locuteur. Les mots reflètent les sentiments, les « mouvements du cœur », de manière volontaire ou non. Ils trahissent celui qui parle. La parole reflète aussi l’origine sociale des locuteurs. Mais la parole sert aussi à convaincre : elle est alors l’instrument d’un art

rien à Saumur » (l.14.15) C’est un tyran qui installe un climat très tendu dans sa famille « En entendant ces mots, la mère et la fille rentrèrent dans leurs chambres et se fourrèrent dans leurs lits avec la célérité de souris effrayées qui rentrent dans leurs trous. » (l.21-22) Il n’y a pas de respects de la part de sa famille « l’homme » (l.23), « le bonhomme » (l.10) 3) Ses pensées trahissent son vrai défaut de caractère : l’avarice C’est un homme très calculateur « Il se voyait en perspective huit

la pièce d’à côté pour écouter alors qu’elle l’a elle-même caché sous la table. Plus tard dans la scène, on peut repérer aussi du comique de situation lorsque Tartuffe critique Orgon alors que ce dernier entend tout. On trouve aussi du comique de mots tout au long de la scène ; Elmire répond aux tirades de Tartuffe par des questions et des interjections comme « Quoi ? », on voit aussi une abondance de ponctuation. Cela montre l’embarras d’Elmire, ce qui peut faire rire le lecteur. 2) Quel

à reconquérir sa belle Roxanne. Le voici donc sous son balcon, à lui faire la cour en se faisant passer pour un autre. Son émotion palpable ‘_laisser un peu que l’on profite… De cette occasion qui s’offre… de pouvoir...’ laisse place à un afflux de mots dont il perd le contrôle ‘vous ignorez pour moi ce que sont ces minutes’, ‘si quelque fois je fus éloquent’…_. Cyrano domine entièrement la scène. Les seules phrases que dit Roxanne sont nominales ou pronominales ‘_Pourquoi ?’, ‘Si nouveau ?’…_ Il

utilisé sans le secours du langage et des mots. Ce mode de communication n’est pas négligeale et possède donc une certaine importance, la question que l’on est en droit de se poser est la suivante : quelle importance pouvons nous accorder a la gestuologie ? En premier lieu, nous aborderons la gestuologie involontaire puis ensuite les utilisations de la gestuologie. La gestuologie involontaire est l’ensemble des gestes inconscients qui decrivent ou trahissent nos émotions. Un simple sourir, hochement

lasser comme beaucoup le font Trop vite parfois et qui trahissent cette merveille Qu’est simplement le plaisir de.. Pouvoir se dire tu es mon amie, tu es mon ami… Que trop souvent, cela devient un genre de formalisme du langage... Un tic quoi. Non... l'amitié, la véritable amitié doit être… Le respect de l'autre, le respect de ses convictions si différentes parfois. L’amitié, c'est… de ne pas oublier, Ni se lasser de dire de petits mots gentils et d'encouragements. L’amitié se doit de bannir

mythe, un être par le poète divinisé, dépeind comme une figure de puissance brute. En se cherchant soi-même au travers de la poésie, Roud déploie une prose teintée d’un lyrisme délicat ( « Air de la solitude » ). Caractérisée de même par l’abondance de mots qui la peignent, la poésie de Roud regorgent d’infimes descriptions, qui constituent, à eux tous, un tableau magnifique. Plus le poète est proche de la nature, de lui-même, plus ses sens s’aiguisent, et il lui est donné alors, dans ces instants privilégiés