Les Impôts Différés En Algerie

statutaire, ordinaire, réglementée) Ecart d'équivalence Capital souscrit non appelé 3 11 Report à nouveau 12 Résultat de l'exercice 13 Produits et charges différés - hors cycle d’exploitation 131 132 133 134 138 Subventions d’équipement Autres subventions d’investissements Impôts différés actif Impôts différés passif Autres produits et charges différés 14 Provisions réglementées (autres que les provisions techniques) 140 Provisions de garantie 141 Provisions pour complément obligatoires aux sinistres

ordinaire, réglementée) Ecart d'équivalence Capital souscrit non appelé 3 11 Report à nouveau 12 Résultat de l'exercice 13 Produits et charges différés - hors cycle d’exploitation 131 132 133 134 138 Subventions d’équipement Autres subventions d’investissements Impôts différés actif Impôts différés passif Autres produits et charges différés 14 Provisions réglementées (autres que les provisions techniques) 140 Provisions de garantie 141 Provisions pour complément obligatoires aux sinistres

des emballages utilisés dans les secteurs économiques L’entreprise ARROUDJ Sid-Ali, est une entreprise créer en 2008, acquis un capital expérience dans le mobilier, décide d’investir dans la transformation du plastique, un marché en plain essor en Algérie, Avec un taux de croissance de 4,5 % en 2009, l’industrie algérienne des plastiques est l’un des secteurs de l’industrie algérienne à l’expansion la plus rapide et aussi l’un des plus importants. Avec une consommation annuelle d’un million de tonnes

BANQUE D ’ALGERIE MEMOIRE DE FIN D’ETUDES En vue de l’obtention du Diplôme Supérieur des Etudes Bancaires THEME Le Capital-Risque Réalités algériennes et perspectives de développement Présenté par : M. Yazid TAALBA Encadré par : M. Abdelkader BOULARDJEM M. Yacine OULD MOUSSA Décembre 2003 5ème promotion A ma famille REMERCIEMENTS Nos remerciements vont tout d’abord au personnel de la FINALEP qui nous a réservé un accueil chaleureux et qui nous a apporté toute l’assistance nécessaire durant

risques inhérents au projet, élaboré par les différents spécialistes en project finance. La deuxième partie sera consacrée à l’appui des données théoriques à travers l’étude d’un cas pratique réel et l’analyse du project finance, qui est apparu en Algérie depuis quelques années suite à un programme d’investissement dans le secteur de l’eau et de l’énergie. Ce programme comporte divers projets, nous traiterons celui de la réalisation d’une centrale thermique de 1227 MW à Hadjret En Nouss située dans

capital-investissement………………………………………………… 153 Section II : Les petites et moyennes entreprises (PME) et leur financement par la finance islamique et le capital-investissement……………. 168 Chapitre II : FINALEP une expérience de capital investissement en Algérie 191 Section I : Présentation de la FINALEP……………………………… 192 Section 2 : Financement d’un cas réel par la FINALEP……………… 199 Conclusion générale………………………………………………………… 223 Introduction générale Introduction générale Introduction générale

……………...76 Conclusion……………………………………………………………………………...88 DEUSIEUME PARTIE : LA BANQUE AL BARAKA D'ALGERIE ET LE PRODUIT DE FINANCEMENT « SALAM ». Introduction………………………………………………………………………………..89 CHAPITRE 03 : LA PRATIQUE BANCAIRE ISLAMIQUE EN ALGERIE SECTION 01 : la pratique bancaire islamique………………………………..90 SECTION 02 : L'environnement bancaire algérien………………….….…...103 SECTION 03 : Place de la banque Al Baraka d'Algérie dans le système bancaire algérien………………………………..108 CHAPITRE 04

financement qui correspond aux besoins à couvrir. Dans cette partie, nous aborderons les techniques de crédit les plus usitées universellement pour combler ces besoins. Certaines de celles-ci ont été traitées, bien qu’elles n’existent pas encore en Algérie, et ce en raison de leur importance. Le présent chapitre a pour but de mettre en vu les crédits octroyés par la banque, ainsi nous optons pour le plan suivant : Section 1 : Notion de base ; Section 2 : Financement de l’exploitation ; Section 3 :

l’inflation à un niveau bas (+0,8% sur les cinq premiers mois de l’année), ce qui a permis de préserver le pouvoir d’achat du consommateur dans un contexte de flambée des cours mondiaux des matières premières. Mais, en réalité, ce mécanisme ne fait que différer l’inflation dans le temps. Car dans l’état actuel des finances publiques, la charge de compensation est entièrement financée par de l’endettement. Et quand on sait que les taux d’intérêt sur le marché monétaire et obligataire subissent déjà une pression

Comptable Financier Loi 07 – 11 du 25 Novembre 2007 SCF 2010 CABINET D’AUDIT COMPTABLE & D’INGENIERIE FINANCIERE ème M. Abdelaziz HATTAB – Diplômé 3 cycle du CNAM-INTEC (Paris) Et certifié en normes comptables internationales CONSTANTINE – ALGERIE NOUVEAU SYSTEME COMPTABLE FINANCIER – SCF Plan comptable normalisé – SCF 2010 SOMMAIRE LES PRINCIPES COMPTABLES …………………………….. : 3 LE PLAN COMPTABLE NORMALISE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . : 6 LES REGLES GENERALES D'EVALUATION