Les Immeubles Haussmannien

commerce principal du pays. Dans une volonté de ne pas dénaturer tout en apportant des bénéfices à Casablanca. Sa volonté est de créer la ville par petit bout et non de tout penser d’un bloque. Sa collaboration au nouveau plan de Paris (percées haussmanniennes) et à l’élaboration du 2 plan d’aménagement l’amène à organiser la ville en fonction des nouvelles mobilités (routes), mais aussi d’intégrer des parcs dans la ville avec l’aide du paysagiste Claude- Nicolas Forestier. 2 – L’après-guerre

cathédrale est achevée vingt-huit ans avant l’hôtel de ville. Le document 1 est une carte de Saigon au temps des Français. La ville est profondément remaniée à partir de 1862 dans une inspiration haussmannienne. Des rues et boulevards se coupant à angles droits sont dessinés (plan en damier). On leur donne les noms de conquérants, responsables politiques et/ou militaires et même de navires. Ainsi, l’amiral Louis Adolphe Bonard (1805-1867), premier gouverneur

Marseille ; pour des marchés couverts à Paris (halles de Baltard), à Pernambouc au Brésil et... à Bourges (halles Saint-Bonnet). Le quartier de Mazières aux maisons en bandes sur la rue, souvent jumelées, est une petite cité ouvrière. Un projet haussmannien La grande percée dans l'axe de la cathédrale, dessinée par l'architecte Jullien, n'est qu'en partie réalisée : seule la rue Napoléon III (actuel boulevard de Strasbourg) sera ouverte à la fin du siècle. La décennie 1860-1870 : les "établissements

la ségrégation sociale conduisent à l’émergence d’un urbanisme technicien et réglementaire. La réglementation de l’espace urbain se systématise : alignements, usage des sols, densités, hauteur de bâtiments. Les premiers impacts sont importants : immeubles HBM (Habitat à Bon Marché), premiers lotissements. L’ordonnancement classique, le souci de la monumentalité sont mis au service des logiques industrielles. De grands lotissements apparaissent avec la construction en série. => Riva Bella à Ouistreham

architecturale. -En 1922 Le Corbusier prépare le premier projet de ville idéale : une ville contemporaine de 3 millions d’habitants, les édifices sont de 3 types : des gratte-ciels cruciforme au centre, des immeubles de six étages à redents dans la zone intermédiaire et des immeuble- villas à la périphérie. -En 1925 il profite de l’exposition des arts décoratifs pour construire un élément de l’immeuble villa et explique l’organisation d’ensemble, et présente sa première proposition concrète

que connaît la France sous l'influence de l'industrialisation et de l'urbanisation ? Intro : La gare Saint-Lazare, Claude MONET, 1877 https://www.histoire-image.org/fr/etudes/chemin-fer-symbole-nouvelle-revolution-industrielle 1/Paris Haussmannien • https://www.histoire-image.org/etudes/haussmannisation UN BALCON, BOULEVARD HAUSSMANN, CAILLEBOTTE Gustave (1848 - 1894) • Vidéo « Paris, la ville du baron Haussmann » 12mn LE PARIS D’HAUSSMANN : LA TRANSFORMATION D’UNE VILLE MANUEL

du centre de Paris où le différentiel de loyer (rent gap) leur est profitable sont les quartiers populaires de la capitale, notamment ceux où les opérations de rénovation n’ont pas entraîné une hausse des loyers et surtout n’ont pas détruit les immeubles au bâti ancien. L’intérêt de ces acteurs étant exclusivement spéculatif, ils entreprennent des travaux de réhabilitation afin de rendre ces quartiers attractifs pour ensuite revendre leurs biens immobiliers en réalisant une forte plus-value. Toutefois

industriels dans les cours, fragmentation des hôtels particuliers, forte insalubrité (dans les 1830’s, épidémie de choléra qui fait des ravages dans le quartier). o NB : durant cette période, le quartier est relativement « épargné » des grands travaux haussmanniens. - Le Marais atteint un niveau de délabrement sans doute maximum au début du e XX siècle. Forte insalubrité, notamment sur l’ilot n°16 (là où se trouve le Village Saint Paul) - Après la deuxième guerre mondiale : poursuite de la paupérisation du

de dérogeance : l’Eglise opposait la prière au labeur ; l’ouvrier tentait d’échapper aux dures astreintes du travail régulier en usine. Les bourgeois, au contraire, exaltent le travail (livres pour les enfants, allégories sculptées sur les immeubles haussmanniens, tableaux). Ce travail n’est pas manuel ou physique, mais consiste en un savoir-faire, un savoir-diriger. Pour les livres scolaires de la IIIe République, l’ancêtre du bourgeois est Colbert, qui a mérité son ascension sociale par ses qualités

personne et on l'arrête vers 10  000 euros. En France, environ 80 % de la population souhaite habiter dans une habitation pavillonnaire. L’attirance pour le pavillonnaire réside dans plusieurs raisons : • Ne pas avoir le sentiment d’être enfermé dans un immeuble collectif ; • Ne pas être assujettis à un règlement de copropriété ; • Pouvoir bénéficier d’un jardin ; • Être proche de la nature dans le cadre d’un pavillon périurbain ; • Posséder un patrimoine que l’on pourra redonner à ses enfants ; • Aménager