Les Hommes Sont Ils Des Etres à Part Dans La Nature

ce n’est pas « croire en Dieu » puisqu’il y a des religions sans Dieu. Et prenez toujours grand soin de ne pas confondre religion et fanatisme, superstition et fondamentalisme. L’étymologie est ici particulièrement instructive. Le mot « religio » serait dérivé de « religare » qui signifie « relier » et peut-être aussi de « relegere » qui veut dire à la fois « respecter » et « recueillir ». Or la religion, c’est à la fois ce qui relie les hommes à une puissance qui les dépasse, tout en les reliant

primitive, la plus simple que l’observation puisse nous faire connaitre, il faut procéder a une opération préliminaire, celle de définir ce que l’on entend par religion. Il faut donc pour cela, libérer notre esprit de toute idée préconçues (chercher dans la réalité même, laissant de côté tout conceptions formées sans méthode). La religion ne peut se definir qu’en fonction des caractères qui se retrouvent partout où il y a religion (caractères communs). Dans cette comparaison, nous ferons entrer tous les

Dans la vie de tous les jours, il est vrai que l’homme à toujours tendu à la superstition. Le texte que nous allons étudier est un extrait de la préface du Traité théologico-politique de Baruch Spinoza ( 1632 - 1677 ), un philosophe hollandais. Dans ce texte, le thème primordial du sujet est la superstition. Avant d’énoncer le plan, nous allons définir ce terme; «  la superstition consiste toujours, sans doute, à expliquer des effets véritables par des causes surnaturelles » ( Alain ). Il désigne

lumière, s’est penché sur les vices et les défauts des êtres humains, à travers ces maximes. Nous avons ici une formulation qui représente tout à fait son intérêt pour la critique sociale. Pour bien comprendre le sens premier de cet énoncé, il est nécessaire de clarifier certains termes afin de comprendre l’enjeu de la thèse soutenue par l’auteur, dégageons tout d’abord le thème de celle-ci. Dans cette formulation, il est question de nature des rapports de l’Homme sous l’angle de la moral. Côté

que l’homme est « dé-naturé », c’est dire à la fois qu’il s’est arraché à la nature et, plus encore, qu’il a changé de nature. Que faut-il entendre par là ? Qu’est-ce que cela implique quant à sa relation au monde, aux autres hommes et à lui-même ? C’est la spécificité de l’activité humaine que nous devons interroger. Si la culture nous engage nécessairement à dépasser la nature, faut-il penser que l’homme ne possède pas une identité établie à l’avance comme les autres êtres ? Faut-il admettre

s'explique par le fait qu'un homme, Douglas a tué son enfant, mais ce meurtre aura permis à l'Angleterre d'éviter l'exploitation des tropis par leurs concurrents australiens. On peut donc dire que Douglas est un assassin philanthrope car il a aidé l'Angleterre et sauvé l'espèce des tropis sans vouloir en tirer aucun profit pour lui. 2) Dans la scène 1, les éléments qui font penser à une histoire policière sont d'une part l'arrivée de l'inspecteur de police suite à l'appel du docteur Figgins qui lui annonce

opinions et des horizons d’attente de chacun, et relativistes car il nous paraît impossible de définir de manière universelle et absolue ce qui mène à une telle expérience. Ainsi certains pensent-ils trouver le bonheur

COURS N°3. APPARTIENT-ON A SA CULTURE ? Notions : la culture, le langage, l’art et la technique, le travail, la religion, l’histoire. Présentation du problème : Culture | Nature | LIBERTE(mais condamné à créer ses propres lois) * Langue * Echanges * Interdits * Représentation des lois | DETERMINISME (chaque cause produit toujours le même effet)Lois de la nature : * Loi de l’attraction universelle (1686) * Photosynthèse * Evolution * Astronomie/minéralogie/biologie (non vivant)

Dans ce texte Russell aborde le thème de la différence entre l'homme et l'animal. La question à laquelle il répond à la fin du texte est celle de savoir en quoi consiste cette différence. Cette question pose problème dans la mesure où s'il est évident que l'homme se distingue des autres êtres vivants par un certain nombre de capacités, il n'est pas évident de déterminer le statut qu'on doit reconnaître à l'être humain par rapport aux animaux. L'homme est-il seulement un animal doué de capacités plus

description de la terre), qui devient scientifique. * Annonce du sujet /Résumé : La géographie allemande du XIXème siècle répond à de nouvelles problématiques (questionnements qui visent le réel) associées à de nouvelles pratiques (à des méthodes de recherche spécifiées qui intègrent des modes de communication comme la cartographie par exemple), et à de nouvelles théories, à ce que Kuhn appelle de nouveaux paradigmes. * Problématique : Sur quelles bases conceptuelleset sur quelles nouvelles pratiques