Les Guêpes

Tirez_pas_sur_le_scarabee2fiche réalisée par Géraldine Gerlier LITTERATURE niveau 3 Tirez pas sur le scarabée ! Paul Shipton (roman) Collection : Livre de Poche Jeunesse « Policier » Editeur : Hachette Jeunesse 1. Renseignements divers : Longueur : 184 pages 20 chapitres une dizaine d’illustrations Personnages : ce sont tous des insectes personnifiés. Narrateur : Bug Muldoon, le scarabée détective privé Ambiance : des films polard

le théâtre selon les mouvements     1. Le théâtre antiqueLes grecs créent le théâtre. On trouve chez eux des auteurs de comédies (Aristophane avec les guêpes) et de tragédies ( Sophocle, le plus connu, avec Antigone, mais aussi Eschyle, et Euripide). Les tragédies ont pour but de provoquer chez le spectateur la catharsis c'est à dire qu'elles doivent le purger de tout mauvais sentiment.      2.Le théâtre élisabéthainle théâtre disparait à peu près au moyen age, mais resurgit à la Renaissance, avec

volonté de provoquer son adversaire : « un barbare », « comment peut on être si laid ! », « sans moi, que serais tu ? » répliques rythmées par un jeu de reprises et d'invectives : « un bonjour.. »/ « bonjour. Mais un bonjour autant que possible de guêpes, de crapauds, de pustules.. » , « un vieux vautour/ un vieux vautour au cou pelé », « tu me trouve laid, mais moi je ne te trouve pas beau du tout ! » . Le mépris du maître qui affiche sa supériorité et l'insolence de l'esclave sont révélés au cours

erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vêtements d’indulgence À la croire toute nue. Les guêpes fleurissent vert L’aube se passe autour du cou Un collier de fenêtres Des ailes couvrent les feuilles Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de ta beauté. Paul Eluard, L’amour la poésie, 1929

scène un débat entre Thésée, le fondateur d’Athènes et un messager envoyé par la cité de Thèbes où chacun défend le régime qu’il considère comme le meilleur. Le second texte est un extrait d’une comédie d’Aristophane datant de 422 avant J.-C., Les Guêpes. Ici, Philocléon, un juge de l’Héliée, raconte avec désinvolture à quel point il est corrompu. Le dernier texte est aussi un extrait d’une comédie d’Aristophane, Les Cavaliers, datant de 424 avant J.-C. Dans l’extrait, un serviteur essaie de convaincre

le dégoût du lecteur, qui comprend que les cadavres ne sont plus que des carcasses d'animaux. La guerre ôte à ceux qui la font leur caractère humain. L'agressivité du monde guerrier est aussi exprimée par la métaphore de « l'essaim de balles ». Les guêpes sont en effet mortelles quand leurs piqûres sont nombreuses, et le champ lexical de la mort qui imprègne le texte, ainsi que les allusions à l'Enfer ( les références au « charbon » , les expressions « allumer la guerre » et « à présent ça brûlait

en vain de se suicider, en janvier 1898, peu de temps après avoir terminé sa peinture murale taille " D'où venons-nous? Que sommes-nous? Où allons-nous? ". En 1899, il a défendu la cause des colons français à Tahiti dans un journal politique, Les Guêpes, et fonde sa propre revue, Le Sourire. En 1901, l'artiste se déplacé aux Marquises, où il mourut le 8 mai 1903 à l'âge de 57 ans. Relation entre : la nouvelle "J'ai soif d'innocence " de Romain Gary et les tableaux de l'artiste Paul Gauguin. « Elle

évident dans la comédie ancienne[1]. Elle se caractérise par des intrigues ayant toujours trait à la vie de la cité. Dans les Acharniens, la Paix ou Lysistrata, Aristophane prend parti pour la paix pour mettre fin à la guerre du Péloponnèse ; dans les Guêpes, il dénonce les effets pervers des institutions judiciaires athéniennes. On évoque (souvent pour les brocarder) des personnalités contemporaines, qui peuvent même apparaître sur scène. Ainsi, le démagogue Cléon est ridiculise à longueur de pièce par

appellent les confessions. Ils se font un crime, il est vrai, d'en trahir le secret, à moins toutefois qu'ils n'aient bu et se veuillent divertir d'histoires plaisantes; ils laissent alors le champ aux suppositions, sans livrer les noms. N'irritez pas ces guêpes; ils se vengeraient dans leurs sermons où ils désignent un ennemi par des allusions indirectes, mais que tout le monde saisit pour peu qu'on sache comprendre. Ils ne cesseront d'aboyer que si on leur met la pâtée dans la bouche. Quel comédien, quel

Phérécrate ou encore Phrynichos. Elle se caractérise par des intrigues ayant toujours trait à la vie de la cité. Dans les Acharniens, la Paix ou Lysistrata, Aristophane prend parti pour la paix pour mettre fin à la guerre du Péloponnèse ; dans les Guêpes, il dénonce les effets pervers des institutions judiciaires athéniennes. On évoque (souvent pour les brocarder) des personnalités contemporaines, qui peuvent même apparaître sur scène. Ainsi, le démagogue Cléon est ridiculisé à longueur de pièce par