Les Fondements Du Multipartisme

n'est définitive qu'après avoir été approuvée par référendum. Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu'il est porté atteinte à l'intégrité du territoire. La forme républicaine et la laïcité de l'Etat ainsi que le multipartisme ne peuvent faire l'objet de révision. TITRE XVII : DES DISPOSITIONS FINALES Article 119 : La législation en vigueur demeure valable dans la mesure où elle n'est pas contraire à la présente Constitution et où elle n'est pas l'objet d'une abrogation

démissionne de la présidence, avant le terme de son cinquième mandat, en décembre 1980. Abdou Diouf, Premier ministre, le remplace à la tête du pouvoir, en vertu de l'article 35 de la Constitution. Sous la présidence de Senghor, le Sénégal a instauré le multipartisme (limité à trois courants : socialiste, communiste et libéral, puis quatre, les trois précédents étant rejoints par le courant conservateur), ainsi qu'un système éducatif performant. Senghor est souvent reconnu pour être un démocrate. Néanmoins

n'est définitive qu'après avoir été approuvée par référendum. Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu'il est porté atteinte à l'intégrité du territoire. La forme républicaine et la laïcité de l'Etat ainsi que le multipartisme ne peuvent faire l'objet de révision. TITRE XVII DES DISPOSITIONS FINALES ARTICLE 119 : La législation en vigueur demeure valable dans la mesure où elle n'est pas contraire à la présente Constitution et où elle n'est pas l'objet d'une abrogation

n’est définitive qu’après avoir été approuvée par référendum. Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu’il est porté atteinte à l’intégrité du territoire. La forme républicaine et la laïcité de l’Etat ainsi que le multipartisme ne peuvent faire l’objet de révision. LA CONSTITUTION ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve pour chaque traité ou accord de son application par l’autre partie. Titre XVII Page 18 Des dispositions

Levine et Scott Mainwaring, « Religion and Popular Protest in Latin America : Contrasting Experiences », dans S. Eckstein (ed.), Power and Popular Protest..., op. cit., p. 203-239. 2. « Le processus de resocialisation engagé par les CEB a servi de fondement à des motivations qui ont promu l'action et la conscience démocratique parmi les dirigeants de quartier » : Paulo Krischke, « Church Base Communities and Democratic Change in Brazilian Society », Comparative Political Studies, 24 (2), juillet 1991

constitutionnelles que les constituants de 58 ont imaginé diverses techniques nouvelles qui constitueront l’esprit de la loi fondamentale nouvelle. L’essentiel des dispositions originales introduites dans la constitution actuelle trouve là leur fondement et leur explication. C’est ce que l’on appelle l’esprit de la constitution de la 5ème république. Les pères fondateurs (De G, Debré) de la 4ème république n’avaient pas trouvé les formules constitutionnelles adéquates afin de réaliser la stabilité

sur sa consistance, c'est à dire sur la place de l'individu dans la Société, sa nature et les formes que prend son action sociale, ce qui ne peut que déterminer la nature et la consistance des normes constitutionnelles.  Le Droit constitutionnel, fondement de tous les droits, est fait pour l'être humain, pour lui permettre de se réaliser pleinement, et non pour permettre aux dirigeants d'imposer leurs intérêts. Chapitre 2. Individu et Société 6. La nature humaine existe, au-delà des différences entre

:ordre e t développement". Doctorat d%tat en dmit public, Univcrsité des Sciences Sociales de Grenoble, 1987, p. 44. 120 DRlSSBEN ALl à un moment de son histoire, il se trouve doté d'une légitimité transhisto- riquement inscrite dans les fondements de cette société et ancrée dans I'imaginaire des masses marocaines qui lui reconnaissent la capacité d'incarner l'unité de la communauté nationale et d'user, en son nom, de certains symboles religieux (le roi étant en même temps commandeur des croyants)

démissionne de la présidence, avant le terme de son cinquième mandat, en décembre 1980. Abdou Diouf, Premier ministre, le remplace à la tête du pouvoir, en vertu de l'article 35 de la Constitution. Sous la présidence de Senghor, le Sénégal a instauré le multipartisme (limité à trois courants : socialiste, communiste et libéral, puis quatre, les trois précédents rejoints par le courant conservateur), ainsi qu'un système éducatif performant. Senghor est souvent reconnu pour être un démocrate. Néanmoins, il a

dégager les lois de fonctionnement de la société entendue comme une entité autonome et non pas comme une addition d’individus. En effet, les faits sociaux apparaissent comme étant extérieurs à l’individu et porteurs de pouvoir de coercition sur le fondement duquel ils s’imposent aux individus. L’émergence de la science politique, comme l’une des dernières sciences sociales à voir le jour, s’explique par certaines évolutions. Au titre de celles-ci, on peut citer le développement d’une bureaucratie nouvelle