Les Fables D Anouilh Esope Et La Fontaine

n’exclut donc pas création et originalité. La réécriture n’est pas forcément simple imitation, reproduction selon des « recettes ». Il y a toujours un écart entre le texte et son modèle. Déjà au XVIIe siècle, La Fontaine, tout en revendiquant de nombreux emprunts aux fabulistes grecs et latins, Esope et Phèdre, avertit ses lecteurs : « Mon imitation n’est point un esclavage » (Epître à Huet). Par quels moyens peut-on faire preuve d’originalité ? Comment peut-on se démarquer de son « modèle » ? Plusieurs

|2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. | |- La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII |Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII | |- Hugo, « Chanson », Les Châtiments |Dissertation :

vieillissement ? • Les transpositions génériques peuvent aussi être l’occasion de travailler sur le genre poétique : on peut ainsi partir du modèle de La Fontaine, c’est-à-dire l’adaptation d’un court apologue en prose. Les fables d’Ésope, du fait de leur brièveté, offrent un terrain d’expérimentation idéal. Après avoir identifié les enjeux de l’une de ses fables, on s’efforcerait de la versifier, en conservant ses personnages et son intrigue, en tenant compte de la structure du récit, mais aussi de son rythme

C L E • Les transpositions génériques peuvent aussi être l’occasion de travailler sur le genre poétique : on peut ainsi partir du modèle de La Fontaine, c’est-à-dire l’adaptation d’un court apologue en prose. Les fables d’Ésope, du fait de leur brièveté, offrent un terrain d’expérimentation idéal. Après avoir identifié les enjeux de l’une de ses fables, on s’efforcerait de la versifier, en conservant ses personnages et son intrigue, en tenant compte de la structure du récit, mais aussi de son rythme

d’entre vous trouvera cet usage légitime, l’autre non. Rédigez ce dialogue. Questions : 1) Quelle image se dessine dans ces quatre poèmes ? 2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII Dissertation : Paul Eluard affirme que « le poète s’engage dans son temps et mène les hommes au combat ». Vous discuterez cette affirmation…. Invention : Vous êtes un des Parisiens, contemporain de Victor Hugo, à qui s’adresse

d’entre vous trouvera cet usage légitime, l’autre non. Rédigez ce dialogue. Questions : 1) Quelle image se dessine dans ces quatre poèmes ? 2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII Dissertation : Paul Eluard affirme que « le poète s’engage dans son temps et mène les hommes au combat ». Vous discuterez cette affirmation…. Invention : Vous êtes un des Parisiens, contemporain de Victor Hugo, à qui s’adresse

Convaincre, persuader, délibérer Etude d’autres formes de l’argumentation Découvrir les différentes stratégies argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 2 : Œuvre intégrale Les Fables de La Fontaines, 1668 - 1694 : des apologues Texte 1 : Les deux Coqs, VII, 13, 1668-1694 Texte 2 : Le Héron, Livre VII, fable 4 Texte 3 : L’huître et les Plaideurs,  Livre IX, fable 9    Lectures cursives : En complément de la fable Le héron : La fille :

élèves de la série L. Objet d’étude : Les réécritures, du XVIe siècle jusqu’à nos jours Corpus Texte A - Ésope : « De l’arbre et du roseau ». Texte B - Jean de La Fontaine : « Le chêne et le roseau », Fables, I, 22 (1668-1694). Texte C - Raymond Queneau : « Le peuplier et le roseau », Battre la campagne (1968). Texte D - Jean Anouilh : « Le chêne et le roseau », Fables (1967). Texte A : Ésope, « De l’arbre et du roseau » Un Olivier et un Roseau disputaient ensemble sur leur force et sur leur

élèves de la série L. Objet d’étude : Les réécritures, du XVIe siècle jusqu’à nos jours Corpus Texte A - Ésope : « De l’arbre et du roseau ». Texte B - Jean de La Fontaine : « Le chêne et le roseau », Fables, I, 22 (1668-1694). Texte C - Raymond Queneau : « Le peuplier et le roseau », Battre la campagne (1968). Texte D - Jean Anouilh : « Le chêne et le roseau », Fables (1967). Texte A : Ésope, « De l’arbre et du roseau » Un Olivier et un Roseau disputaient ensemble sur leur force et sur leur

né à cette époque », répondit l'agneau. Alors le loup reprit : « Quelle que soit ta facilité à te justifier, je ne t'en mangerai pas moins. » Cette fable montre qu'auprès des gens décidés à faire le mal la plus juste défense reste sans effet. Ésope, Fables, VIe siècle av. J.-C. « Ouvrage qui dit plus qu'il ne semble dire. » Voltaire, Zadig, 1747 L'apologue est défini comme un court récit à visée argumentative . Le récit s'organise autour d'animaux, de végétaux, ou d'hommes. Il a sa propre cohérence