Les Fables Anouilh

Récapitulez les apologues que vous connaissez : fables de La Fontaine ; contes, notamment contes philosophiques de Voltaire ; romans/apologues (Le Petit Prince de Saint-Exupéry, L'Alchimiste de Coelho) ; utopies (l'abbaye de Thélème dans Gargantua, Les Voyages de Gulliver de Swift...). Pensez aussi à d'autres genres de la fiction : pièces de théâtre à teneur argumentative (Beaumarchais, Le Mariage de Figaro ; Marivaux, L'Île des esclaves, La Colonie ; Anouilh, Antigone ; Ionesco : Rhinocéros) ; romans

tragicomédie) Madame de Lafayette : La princesse de Clèves Honoré d’Urfé : l’Astrée Charles Perrault : Contes Fénelon : les aventures de Télémaque Boileau : art poétique. Malherbe Saint Amant la Bruyère : les Caractères la fontaine : fables la Rochefoucauld : Maximes Descartes : discours de la Méthode « Cogito ergo sum » = je pense donc je suis Pascal : les pensées XVIIIe siècle dit le siècle de lumières (contre l’obscurantisme) Philosophes Théâtre Roman L’encyclopédie :

politiques, morales : Machiavel, Le Prince, La Fontaine, Fables. Ex : « Selon que vous serez puissants ou misérables / Les jugements de cour vous rendront blancs ou noirs », les rapports sociaux et la question de la sincérité dans Le Misanthrope de Molière, les grands problèmes philosophiques (Voltaire : Candide, Diderot, Jacques le fataliste.) D’ailleurs, au XXème siècle, plusieurs artistes se sont inspirés d’œuvres maîtresses plus anciennes : Anouilh de l’Antigone de Sophocle, Picasso, du « Déjeuner

ANOUILH (1910- 1987) Jean Anouilh a composé une œuvre littéraire essentiellement théâtrale, écrivant des pièces de registre variés, mais toujours marquées par le pessimisme. Dans Antigone, il reprend le thème de la pièce de Sophocle pour le transposer à l’époque de l’occupation allemande, en invitant le spectateur à réfléchir sur le sens de la représentation théâtrale. Il est aussi l’auteur de fable, dont certaine reprennent celles de La Fontaine. BALZAC (1799-1850) Balzac met dix ans à

un récit joyeux, attractif, le lecteur ne peut être amusé, c’est souvent grâce à tous ces éléments que l’apologue nous apparaît plaisant. Prenons pour exemple les fables. Celles-ci, qui bien sur cachent toujours une morale importante, sont en général amusantes, attrayantes. Serait-ce pour cela que nous nous souvenons de certaines fables que nous avions lu? Comment ne pas citer dans se domaine Jean de La Fontaine … Dans sa fable La cigale et la fourmi, l’auteur a fait en sorte que tout soit agréable

I- MOYEN-ÂGE, XVIe S. ET XVIIe S. : - Chrétien de Troyes : Yvain ou le chevalier au lion, Perceval ou le roman du Graal - Corneille : Le Cid, Horace - La Fontaine : Fables - Mme de Lafayette : La Princesse de Clèves - Molière : Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes, L’Avare, Les Précieuses ridicules,Georges Dandin, Le Médecin malgré lui, L’Ecole des femmes, Le Malade imaginaire… - Perrault : Histoires ou contes du temps passé - Racine : Andromaque II- XVIIIe S. : - Beaumarchais

Lorette fut raccompagnée chez elle par la police et maintenant, tout le monde à Paris connaît l’histoire de Lorette qui, elle aussi a eu une fille et l’enverra un jour chez sa grand-mère Françoise. FIN Séance 3: Fables et contes : pures affabulations destinées uniquement à nous divertir ? La Cigale et la Fourmi de La fontaine et la Cigale d’Anouilh ** Soit on distribue la fable d’Anouilh en même temps que celle de La Fontaine, soit on demande aux

création originale. III. La réécriture : une source de création originale 1 - La réécriture se veut et se réclame toujours supérieure au modèle imité, il y a cette idée de comparatif qui domine, on le retrouve chez La Fontaine, dans les Fables considéré comme genre majeur avec à la différence d’Esope, une adaptation versifiée et de nombreux dialogues. 2 - Cette nuance apportée nous force à constater que la réécriture devient unique, une œuvre originale, singulière même si elle s’inspire

création originale. III. La réécriture : une source de création originale 1 - La réécriture se veut et se réclame toujours supérieure au modèle imité, il y a cette idée de comparatif qui domine, on le retrouve chez La Fontaine, dans les Fables considéré comme genre majeur avec à la différence d’Esope, une adaptation versifiée et de nombreux dialogues. 2 - Cette nuance apportée nous force à constater que la réécriture devient unique, une œuvre originale, singulière même si elle s’inspire

cet usage légitime, l’autre non. Rédigez ce dialogue. Questions : 1) Quelle image se dessine dans ces quatre poèmes ? 2) Identifiez le registre de chacun des poèmes. Justifiez votre réponse. Commentaire : La Fontaine, « Les Obsèques de la lionne », Fables VIII Dissertation : Paul Eluard affirme que « le poète s’engage dans son temps et mène les hommes au combat ». Vous discuterez cette affirmation…. Invention : Vous êtes un des Parisiens, contemporain de Victor Hugo, à qui s’adresse le poème « Chanson