Les Enfants du silence

semaine de sa sortie à l’été 2002 aux Etats-Unis. A Bucks County, en Pennsylvanie, une petite famille découvre l’apparition dans ses champs de gigantesques signes et cercles étranges. Graham Hess, ancien pasteur, qui tente d’élever au mieux ses deux enfants, Morgan et Bo, et son frère Mérill, ancienne gloire du base-ball, vont s’efforcer de percer le mystère qui entoure ces dessins. Dans cet extrait, Graham Hess, qui a été témoin de d’évènements étranges dans sa ferme après la découverte de cercles

fut debout sur le bord de la voiture, et passa ses bras autour du cou de son guide, qui la posa sur le trottoir, sans avoir chiffonné la garniture de sa robe en reps vert. Un amant n’aurait pas eu tant de soin. L’inconnu devait être le père de cette enfant qui, sans le remercier, lui prit familièrement le bras et l’entraîna brusquement dans le jardin. Le vieux père remarqua les regards émerveillés de quelques jeunes gens, et la tristesse empreinte sur son visage s’effaça pour un moment. Quoiqu’il fût

renforcée est en effet mal ressentie par Madame A. car vécue comme une mesure intrusive et infantilisante, pour résumer ses dires. Madame A. est alors âgée de 39 ans, elle est mère d'une fille de 9 ans et d'un garçon de 5 ans. La garde de ses deux enfants est alors remise en question, ils sont en effet sur le point d'intégrer une MECS, dans le cadre d'une mesure d'ASE.(ce sera le cas de l'aînée peu de temps après, le cadet restant au domicile mais sous surveillance) Déjà en contact, avant sa propre

ALTOVITI, oncle de Lorenzo. VENTURI, bourgeois.TEBALDEO, peintre. SCORONCONCOLO, spadassin. LES HUIT.GIOMO LE HONGROIS, écuyer du duc. MAFFIO, bourgeois.DEUX DAMES DE LA COUR ET UN OFFICIER ALLEMAND.UN ORFÈVRE, UN MARCHAND, DEUX PRÉCEPTEURS ET DEUX ENFANTS, PAGES, SOLDATS, MOINES, COURTISANS, BANNIS, ÉCOLIERS, DOMESTIQUES, BOURGEOIS, etc., etc.MARIE SODERINI, mère de Lorenzo. CATHERINE GINORI, sa tante.LA MARQUISE CIBO. LOUISE STROZZI.[Lorenzo, fils d’Alexandre de Médicis, est un jeune homme lâche,

champ lexical du plaisir. Tout est fait pour son confort, rien n’est laissé au hasard. Le bonheur des enfants passe avant tout. Mais c’est nouveau pour lui. Il n’est pas habitué au confort et à tous ces jeux. • Champ lexical de la soif d’apprendre/de la découverte : « nourrissait » l.30, « une faim » l.31, « la faim de la découverte » l.32 ce qui montre une soif d’apprendre. Rien ne rassasie les enfants, tout est bon à prendre. « découvrir le monde » l.40, pour la première fois ils ont l’impression de

quitte munie d’un diplôme d’enseignement en 1947. Après douze ans durant lesquelles elle exerce sa profession, elle demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement, sa santé étant devenue fragile. Ayant donné naissance à neuf enfants, elle obtient le divorce de son mari, le député Obèye Diop. Suite à son expérience du mariage, Mariama Bâ s’engage pour nombre d’associations féminines en propageant l’éducation et les droits des femmes. À cette fin, elle prononce des discours et

l’annonce de la mort de Léopoldine. Le deuxième mouvement (v.7 au v.16) exprime l’instant de déni et de colère vécu par le poète. Puis, le troisième mouvement (v.17 au v.20) fait état des hallucinations et de la folie du poète qui refuse la perte de son enfant. Aussi, nous nous demanderons comment le poète exprime ses sentiments face à la mort de sa fille. I) Mouvement 1 : La tristesse et le désespoir. a) L’expression d’un deuil indicible. - Tout d’abord, nous observons que les premiers vers

fait qu’il ne formé qu’un avec son épouse et sa mort entraine lentement la sienne. Il s’adresse a sa femme et l’appelle en lui confiant ce qu’il n’a pu lui dire auparavant afin de lui montrer que sans elle sa vie n’est que silence mort «  Mon passé se dissout je fais place au silence » En effet certains poètes montrent comme il est difficile de se relever d’une tragédie lorsque l’on perd sa vie, son sang … Le poème de Victor Hugo «  demain dés l’aube » deuxième poèmes du recueil, montre le courage

cygnes, les hommes seuls bâtissent leur solitude. (57) Punta Arenas! Je m’adosse contre une fontaine. Des vieilles viennent y puiser; de leur drame je ne connaîtrai que ce mouvement de servantes. Un enfant, la nuque au mur, pleure en silence; il ne subsistera de lui, dans mon souvenir, qu’un bel enfant à jamais inconsolable. Je suis un étranger. Je ne sais rien. Je n’entre pas dans leurs Empires. (58) Il était, quelque part, un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls, et une vieille maison

par un frisson modulé la voix tremblante des aïeules. A mesure qu'elle chantait, l'ombre descendait des grands arbres, et le clair de lune naissant tombait sur elle seule, isolée de notre cercle attentif. Elle se tut, et personne n'osa rompre le silence. La pelouse était couverte de faibles vapeurs condensées, qui déroulaient leurs blancs flocons sur les pointes des herbes. Nous pensions être en paradis. Je me levai enfin, courant au parterre du château, où se trouvaient des lauriers, plantés dans