Les Enfants Dans Les Camps De Concentration

Steve Reich met en parallèle son expérience de très jeune enfant de parents divorcés - dont le père vit sur la côte est des États-Unis à New York et la mère sur la côte ouest à Los Angeles - qui devait fréquemment de 1939 à 1942, pendant la Seconde Guerre Mondiale, prendre le train pour aller d'une ville à l'autre au cours d'un voyage de deux jours, et avec la mémoire des déportés d'Europe convoyés dans les trains vers les camps de concentration. Steve Reich sous-entend que s'il avait vécu en Europe

républicains Espagnols et les Juifs Allemands sont les premières victimes emprisonnées dans les camps d'internement de la zone Sud et livrés aux Allemands quand ceux-ci les demandent. PERSONNAGES Les personnages principaux sont le narrateur (à l’âge de six ans) et sa petite sœur (âgée de 3 ans au début du récit). On parle aussi de leur parents, surtout de leur mère, qui va tout faire pour retrouver ses enfants dont elle a été séparé. Leur père et leurs oncles, médecins, font partis du début du

compris la manière de s'en servir contre les civils. On ne combat plus pour une victoire mais pour l'anéantissement de l'autre. On compte parmi les civils, ceux qui ne sont pas à l'armée soit les résistants, les femmes, les juifs, les tziganes,les enfants, les immigrés, handicapés... Mais suivant l'origine des hommes( tziganes,slaves juifs...) et suivant le lieu d'habitation, c'est à dire l'Europe de l'Est considéré comme espace vital allemand et le reste de l'Europe considérée comme espace d'exploitation)

qui ont menacé des femmes et asphyxié des enfants, ont fait que cette guerre est aussi l’affaire des femmes. Mais les Allemands et la police de Vichy ne connaissent pas le droit international et cette guerre est aussi l’affaire des femmes. Nous, les femmes de France – je dis « nous » car il y a deux mois seulement que j’ai quitté mon pays, nous les femmes de France, avons dès l’armistice pris notre place dans ce combat. Notre foyer disloqué, nos enfants mal chaussés, mal vêtus, mal nourris ont fait

harcèlement et la destruction de l’état de droit (Lois de Nuremberg 1935), à partir de la « Nuit de cristal » de novembre 1938 les arrestations se font plus systématiques et massives et surtout se traduisent par des déportations massives dans les camps de concentration. Il s’agit d’accélérer la « judenrein, judenfrei » (laver le sol allemand de la souillure que représente la présence juive) et de fait en 1939 au moment de l’entrée en guerre la grande majorité des juifs ont quitté le sol allemand. Avec l’invasion

| | |1’19 : l’hôte parle des camps de regroupement, de concentration. Il cite Brasillac :| | |« Nettoyez-moi tout ça ! Et surtout n’oubliez pas les enfants ! » | | |1’21 : Max dans cuisine. Gros plan sur man de Tania

aryenne. Les enfants sont embrigadés à l’école et dans les organisations de jeunesse. Contrôle de l’économie : autarcie et politique volontariste de l’Etat = construction d’autoroutes, grands travaux (« travail par la joie ») à buts militaires. Violence comme mode de gouvernement : répression menée par les SA, les SS et la Gestapo contre les opposants. Politique raciale contre les juifs, les handicapés mentaux (euthanasie) et les « asociaux ». Développement des camps de concentration où sont déportées

le silence, et même si certains ont témoigné, leurs voix n'avaient pas été très entendues. Les témoignages des résistants rescapés des camps de concentration avaient été nettement privilégiés par le Parti communiste qui, à cette époque, se ventait d'être le premier parti de la résistance française. Les témoignages des résistants rescapés des camps de concentration avaient été nettement privilégiés par le Parti communiste qui, à cette époque, se ventait d'être le premier parti de la résistance française

Le camp de concentration de Ravensbrück fut, après la fermeture de celui de Lichtenburg, le seul camp de concentration nazi presque exclusivement réservé aux femmes. Les premières prisonnières (environ 900) arrivèrent à Ravensbrück le 18 mai 1939. À partir de l'été 1942, les médecins SS soumirent les prisonnières du camp à des pseudo expériences médicales. Les enfants de Ravensbrück Au camp de Ravensbrück il y avait une centaine d'enfants prisonniers. La barbarie nazie fut sans limite

presse, des grèves, des manifestations, et même interdiction des rassemblements de plus de trois personnes (exemple : cinq jeunes discutent devant un lycée de garçon, aujourd’hui cela correspondrait à celui de Fermat, et sont embarqués pour les camps de concentration : deux meurent d’épuisement). C’est malheureux à dire, mais avec Pétain le « ridicule, ça tue ». Tickets de rationnement : Mais malgré tout, les personnes sont contentes : les Français pensent que Pétain va les sauver : parce qu’à cette