Les Effets Pervers Du Libre échange

souverain mais c’est aussi un phénomène social. Selon la célèbre formule d’Abraham Lincoln : « La démocratie est le gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple ». Cependant cette définition reste susceptible d’interprétations différentes. En effet, il ne se réfère pas uniquement à des formes de gouvernements mais peut aussi désigner une forme de société ayant pour valeurs la liberté et l’égalité. On peut interpréter le phénomène social comme étant un ensemble d’actes et de comportements homogènes

3 TSM désormais. 4 RN désormais. 5 On dispose également d’une partie des correspondances de Smith, ainsi que de deux volumes de notes d’étudiants, relatifs aux cours professés lorsqu’il était en poste à l’Université de Glasgow. 6 Smith y évoque en effet la prédiction de l’apparition future d’une comète en 1758, qui pourrait venir confirmer les hypothèses astronomiques d’Isaac Newton. 2 1 1 qui conduisent et dirigent l’enquête philosophique, illustrés par l’Histoire de l’Astronomie), l’histoire

feuille I) La mondialisation contemporaine apparait comme la réactualisation d’un processus de multi séculaire. La mondialisation est faite de flux et de reflux. Le grand un s’intéresse aux battements de la mondialisation. A) C’est en effet un processus qui s’inscrit dans une longue histoire. Ce n’est pas du tout un phénomène nouveau. Il s’enracine dans un processus d’inter dépendance entre les territoires qui composent la planète. On cite souvent un historien grec du 2ème siècle avant

ses comportements, ce qui rendrait difficiles les modèles mathématiques. Concernant l'étude de l'effort, il y a deux types d'effort en économie : → Le travail : pour améliorer sa condition, s'enrichir, il faut fournir l'effort « travail ». En effet, dans la mesure où on ne vit pas dans une société d'abondance, il faut faire un effort. À l'inverse, dans une société d'abondance, il n'y aurait pas d'économie. → L'épargne : c'est effort que l'on fait puisqu'elle consiste à remettre une consommation

l'environnement. 1. C'est quoi un bien commun? Un bien commun n'appartient à personne, il n'y a pas de droit de propriété ou de droit d'usage le concernant (biodiversité, qualité de l'air, de l'eau...). Il s'agit de biens publics mondiaux dont les effets de la surexploitation dépassent les frontières et ont un impact sur les générations présentes mais aussi sur les générations futures. La gestion des biens communs doit se faire à l'échelle internationale car un pays n'a pas forcement intérêt à protéger

budget, soit en augmentant les dépenses, soit en diminuant les recettes, les agents économiques bénéficient d’un surcroît de revenu, dont une partie est dépensée, générant d’autres revenus dont une partie sera à son tour dépensée. Le déficit à donc un effet multiplicateur, selon Keynes, ce qui permet plus de croissance et moins de chômage. Mais cette politique comporte des limites: * Les risques inflationnistes: la monnaie "injectée" dans l'économie peut créer de l'inflation à la place de la croissance

l’économie et désigne au sens large les termes de monnaie et de richesse lors de la possession de valeurs monétaires. Monnaie: La monnaie correspond a la manière d'utiliser l'argent. En effet, elle doit répondre à 3 grandes fonctions pour lui permettre son utilisation: elle doit servir d'intermédiaire des échanges, d'unité de compte (pour mesurer la valeur d'un bien ou d'un service), et de réserve des valeurs (elle peut être économisée et utilisée dans le temps). Aussi, elle doit répondre à un certains

assez bien maîtrisé par la construction de grandes infrastructures de transport : aéroports et routes y compris en Amazonie. 1.2 : Ce pays est le pilier du Mercosur qui est un marché commun. Le Mercosur fonctionne comme une zone de libre-échange depuis 1991 et le Brésil le complète par des accords préférentiels comme avec l’Argentine depuis le 1 février 2006. Avec plus de 200 millions d’habitants, un produit brut global d’environ 1000 milliards de $, un vaste territoire (12 millions de

Les caractéristiques du Libéralisme économique 1) Liberté économique Les libéraux prônent une liberté économique qui se traduit par : - La libre entreprise - La libre concurrence (éviter les situations de monopole) La concurrence doit permettre de baisser les prix, d’accroître le choix, d’améliorer la qualité, d’innover et de favoriser le libre-échange (commerce international). « Laisser faire, laisser passer » l’intervention de l’Etat doit être limitée. Les libéraux prônent un Etat gendarme

d’endogénéiser les explications de l’offre de monnaie et de ne plus considérer cette dernière comme une variable exogène. Elle met ainsi l’accent sur le rôle décisif que jouent le banquier et les institutions monétaires (banque centrale ou banque libre) dans l’instabilité des systèmes économiques. Elle se distingue, pour cette raison, des théories exogènes et réelles des cycles où l’erreur d’anticipation est ignorée et où le facteur travail est le seul facteur d’ajustement. Ces divergences ne sont