Les Effets Pervers Du Libre échange

------------------------------------------------- Introduction Le marché de change est le plus grand marché du monde entier en réalisant des massives transactions chaque jour. Il a vu le jour au Maroc en 1996 suite à la libéralisation des échanges commerciaux Et l’intégration du marché marocain dans le circuit de globalisation et de mondialisation. Avant les transactions de ce marché étaient monopolisées par la banque centrale(BAM), mais aujourd’hui les banques commerciales marocaines sont

vrai que l’école peut effectivement être considérée comme une prison physique et morale, cependant elle peut être envisagée comme un apprentissage social et culturel. L’environnement scolaire impose aux élèves des règles d’éducation sociale. En effet, on peut observer de nombreuses contraintes comportementales à l’école. L’éleve se retrouve physiquement enfermé dans un lieu où sa liberté de mouvement en devient limitée. Sa liberté de déplacement est restreinte par le règlement intèrieur de l’école

la société re-confirme ses valeurs culturelles et se reproduit biologiquement. Les épouses sont un peu la monnaie d'échange. L'échange se fait autour du mariage, c'est l'affaire de tous. Dans la société, la transmission est une valeur première. En échange de la transmission, on offre la sécurité. Dans la société, le l’individu doit en permanence trouver l’accord entre ses désirs personnels et l’intérêt collectif. L’intérêt collectif se confond avec la volonté de se perpétuer sans fin, sans changer

échelons _ l'État, la communauté, l’individu _ trouve son intérêt dans cette relation ? Es-ce que l’individu lui-même n’a pas à gagner de ce sacrifice ? L’impôt est-il réellement cet « impositum », chose imposée, ou s’inscrit-il dans une logique de libre consentement ? L’impôt permet l’enrichissement de la puissance publique. Il constitue la première ressource du budget de l'État. L’impôt finance le budget de l'État et assure par là même son existence. Cependant l’enrichissement des caisses de l'État

inspiré. IV. Les grandes lignes de la pensée économique - Libéralisme qui repose que la product° de biens matériels rendue possible par : ¤ la division du travail ¤ laisser reposer l’éco sur l’intérêt individuel ( main invisible ) ¤ le libre-échange ( théorie des avantages absolus ) ¤ l’Etat doit faciliter l’ordre naturel. L’Etat intervient que pour protéger le territoire, assurer la justice et lutter contre les oppressions et assurer les dépenses d’infrastructures ( minimum d’éducation

l’économie en dehors de la religion et de la morale. premiers penseurs période où les échanges maritimes lointains se sont développés, : premières grandes manufactures. une convergence entre le développement de l’économie, des marchands, et le développement de l’état augmenter la richesse des princesassurer la puissance de l’état pas de séparation entre la sphère éco et politiquel’état doit stimuler les échanges balance commerciale excédentaire, et l’intervention de l’état objectif de balance

- Lois naturelles = équilibre économique spontané - 3 points communs fondamentaux • Valeur travail —> création de richesse, Valeur d’un bien = quantité de travail utilisé pour le produire • « Laisser faire » le marché —> «main invisible» • Libre échange - A. Smith, D. Ricardo, J.B Say, J.S Mill 2.2 L’analyse critique de Marx - Karl Marx (1818- 1883) - Capitalistes / prolétaire Capitalistes = détenteurs des moyens de prod Prolétaires = ouvrier - La théorie de l’exploitation • Capital

contre ROCKFELLER qui contrôle 90% du raffinage et du transport de pétrole aux Etats-Unis. - Si on est situation de monopole naturel, certaines activités fonctionnent en monopole pour faire des économies d’échelles. - Si il y a des externalités : des effets externes, c’est une interdépendance qui ne trouve pas de compensation monétaires sur le marché. L’Etat doit internaliser les externalités. - Si il y a des biens que le marché ne peut pas produire car personne n’est prêt à payer : biens collectifs

colonial sur le continent Africain. Sur le plan international, l’Afrique s’est insérée dans un processus de mondialisation à la complexité croissante. De nouveaux acteurs publics comme la chine redéfinissent les règles du jeu et l’organisation des échanges internationaux avec ce continent. Ainsi le commerce entre la chine et l’Afrique avoisine en 2008 le chiffre de 106,84 milliards de dollars avec une progression de 45,1 % sur un an. Les exportations de la Chine vers l’Afrique ont représenté 50,84

premier lieu, la scène d’exposition qui met en scène Sganarelle et Gusman nous donne un premier aperçu de ce que Dom Juan pourrait être comme type d’homme. En effet, Sganarelle critique le mode de vie de son maître : il le désigne de libertin débauché, qui agit par goût du plaisir et du défi, de « grand seigneur méchant homme », de pervers, cruel, orgueilleux, sadique, lâche, etc… Ce portrait dressé par le valet n’est manifestement pas digne d’un héros. Le public pourrait aisément le croire après