Les Effets Des Gains De Productivité Sur La Croissance

Fixe). Investissement net Investissement brut – amortissement Investissement de capacité Achats de biens de production destinés à augmenter la capacité de production sans hausse de la productivité. Investissement de productivité Achats de biens de production ayant pour but principal d’augmenter la productivité. Investissement immatériel Dépenses de recherche-développement, logiciels, brevets, formation, publicité, prospection commerciale, notamment. Production moyenne du capital Rapport de la

Chapitre 4 : Croissance, progrès technique et emploi Problématiques : Dans quelle mesure, l’augmentation de la productivité est-elle source de croissance ? Quels sont les effets de la productivité sur l'emploi ? Quels sont les effets du progrès technique sur l'emploi ? Dans quelle mesure la réduction du coût du travail est-elle favorable à l'emploi ? La flexibilité est-elle un instrument efficace pour réduire le chômage ? I) Les effets de la productivité sur la croissance : A) Les effets de la productivité

Le progrès technique Le progrès technique au sens strict est l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer les méthodes de production et d’augmenter la productivité. Le progrès technique se manifeste par des changements de machines, des nouvelles organisations du travail. Le progrès technique est facteur de croissance. Au sens large, on étend la notion de progrès technique aux innovations. I – Progrès technique et innovation Le progrès technique résulte directement des innovations, i.

CROISSANCE ET CHOMAGE I. Elle en constitue certainement une condition nécessaire A. Logique de la relation croissance-emploi et chômage keynésien Le volume d’emploi dépend fondamentalement du niveau d’activité. Dans la théorie keynésienne, l’emploi dépend directement de la croissance, qui dépend de l’intensité de la demande globale. Le chômage « keynésien » est toujours involontaire, et résulte seulement d’un ralentissement de l’activité. Cette définition conjoncturelle du chômage justifie

progression sensible du niveau de vie, en contrepartie de la généralisation en France d’une organisation du travail contraignante pour les salariés, le taylorisme. La seconde période, qui commence au milieu des années 70, voit le ralentissement de la croissance, dans un contexte de concurrence internationale exacerbée, qui se traduit par l’augmentation du chômage. Le maintien de celui-ci à un niveau élevé, à la fin des années 80 en particulier, pose question. Parmi les solutions envisagées pour faire diminuer

féminin, etc.) Application doc 1 p.31 : Les tendances de l’évolution de la structure de la population active sont : - diminution du nombre d’actif des secteurs primaire (agriculture) et secondaire (industrielle) Causes : augmentation de la productivité, concurrence internationale, absence de déboucher, amélioration des techniques de productions, innovation technologique, délégation de responsabilité, etc. - augmentation du nombre d’actif du secteur tertiaire Causes : développement des services

CAPITAL, PROGRES TECHNIQUE ET CROISSANCE Introduction Le haut niveau de chômage notamment en France et la faiblesse de la croissance économique depuis les années 70 amènent les économistes à s’interroger sur un de ses principaux facteurs : l’accumulation du capital, autrement dit l’investissement. L’investissement vise souvent à mettre en œuvre le progrès technique. • Quels sont les mécanismes qui expliquent que les investissements favorisent la croissance ? • Quels sont les éléments

Dans quelle mesure la tertiarisation de l’économie favorise-t-elle la croissance économique ? (INEDIT) (Proposition de correction JFA © 2007) Accroche… On étale science… sa Colin Clark, économiste américain, est un des premiers auteurs à avoir rendu opératoires les notions de secteur primaire, secteur secondaire et secteur tertiaire, dans un ouvrage intitulé Les conditions du progrès économique (1947). Le secteur primaire regroupait l’activité d’extraction de la terre (agriculture, pêche,

La productivité ou l'efficacité de la combinaison productive Pour améliorer l'efficacité productive de l'entreprise, celle-ci peut intégrer dans ses méthodes, différentes formes de progrès technique. L'efficacité d'une combinaison productive se mesure par l'augmentation de la productivité qui permet d'observer le rapport entre un volume de production et les quantités de facteurs de production utilisés (par exemple : heures de travail, nombre de salariés, machines...). Il existe différents

Introduction : * Définir développement, facteurs économiques/non-économiques, croissance. * Problématique : Le développement résulte t-il autant de facteurs économiques que non-économiques ? I Facteurs économiques 1. Travail & capital : les facteurs de productions. Le travail représente l’ensemble des personnes qui sont employées et rémunérées par une entreprise. Il peut être associé à la main-d’œuvre. La croissance résulte d’une augmentation de production entrainée par une hausse de la