Les Différents Sens Et Manifestation Du Rire

amour comique? Résumé Si Un amour de Swann de Marcel Proust constitue en quelque sorte une référence de la description des états d’âme de l’amoureux et du jaloux, tout n’est pas seule passion dans ce fragment d’À la recherche du temps perdu. Différents aspects du texte le font glisser du côté du comique et remettent ainsi en question la lecture au premier degré de l’amour. Cet article propose un regard sur ces aspects comiques qui concernent la vision que le grand-père du narrateur a de Swann

oublierait presque le public. Or, qu’est-ce qu’une pièce de théâtre sans spectateur ? Sans lui, elle n’aurait plus de sens, rappelant ainsi les propos de Maurice Descotes dans Histoire de la critique dramatique en France : « Tous ceux, et d’abord les dramaturges, qui ont eu un contact direct avec la scène, ont proclamé […] l’absolue nécessité de tenir compte de ce partenaire aux manifestations imprévisibles : le public […] Car, pour créer une pièce, il faut être deux : l’auteur et la salle. » Apparemment

prit la main du premier aveugle, lui fit toucher une défense et lui dit « Touche, ceci est un éléphant ». Au second il fit toucher l’oreille, au troisième la trompe et ainsi de suite, chaque aveugle ne touchant l’éléphant qu’en un seul endroit, différent a chaque fois. Puis, ayant réuni de nouveau tous les aveugles devant son trône, il leur demanda de se mettre d’accord sur la meilleure définition de l’éléphant. Alors, en quelques minutes, tous les aveugles s’entre-tuèrent. » ► La communication

dialogues, de la musique, de la photographie, du cadrage, du montage… bref, de la mise en scène ! Nous ne nous intéresserons donc aux films que d’un point de vue analytique : nous ferons des allers-retours entre la forme et le fond afin d’en extraire un sens ou un message. Au d é b u t l e s ém o t i o n s é t a i e n t r e i n es a u ci n ém a … Le film devait prendre en charge le spectateur, lui imposer ses émotions, ses idées puisque le spectateur cherchait « l’oubli de soi » comme l’écrivait Ricciotto

font des différents personnages. Alceste : quelle allure ?= séduisant, ridicule, rongé par l’angoisse, vieux avant l'âge, adolescent attardé en pleine crise de la trentaine, Peter Pan qui se laisse au bout du compte mener par les autres (dans la mise en scène de B. Lambert Oronte et Arsinoé l'embrassent sur la bouche, Philinte lui tend un mouchoir) ; quels habits ?= quel équivalent donner aux rubans verts que Molière portait quand il jouait Alceste et qui étaient censés faire rire ?= une écharpe

chacune scructurée en paragraphes: Dans la première partie, nous trouvons ce qu´est le fanatisme (paragraphes 1 à 5), où Voltaire écrit sur le fanatisme et l´enthousiasme (paragraphes 1 à 3); le fanatisme de sang froid (paragraphe 5); et les manifestations du fanatisme (paragraphe 5). Par rapport à la deuxième partie, Voltaire écrit ici sur les remèdes (paragraphe 6 à 11), pour se justifier, l´écrivain et philosophe parle de l´insuffisance de la religion; de l´impuissance des lois; et il mentionne

d’autant plus cruelle, paradoxalement, qu’il est plus proche, dans sa personne sociale, du responsable de ce travail d’objectivation. A moins que l’effet de catharsis que produit la prise de conscience ne s’exprime, comme il arrive parfois, dans un rire libéré et libérateur. Je dois dire d’abord, et ce sera ma seule « confidence », qu’il est probable que si je puis former aujourd’hui, avec quelques chances de succès, le projet de restituer la vision du monde universitaire et du monde intellectuel

un moment donné, de répartir sa matière ? Comment s’explique alors la faible homogénéité apparente de certaines ou — phénomène symétrique mais plus troublant encore — le retour des mêmes thèmes, voire de réflexions similaires, dans des liasses différentes ? Quant au classement de ces premières liasses, il n’instaure point un ordre éclatant. Comment justifier ainsi que la liasse intitulée “Commencement” occupe la douzième position et que le quinzième dossier se présente comme une “Transition de la

mentalité des années des fraîches indépendances, c’est une époque révolue. Alougbine Dine, le metteur en scène de la pièce a su en rendre compte ; il a manifesté un décor concentré et pragmatique, rectiligne tout en ayant en son sein plusieurs tableaux différents s’ouvrant et se fermant au gré de l’évolution de la pièce, grâce à la lumière que le régisseur renforce ou affaiblit pour mettre en valeur ou affaiblir, aux yeux des spectateurs, une séquence de bureau. Et, Alougbine Dine n’est pas allé loin pour

personnage. Dans ce sens, ce qui emporte l’adhésion du spectateur est ce qui copie la réalité. Les acteurs interprètent des sentiments, des passions universelles qui ont déjà été éprouvés par le spectateur. Proximité que l’on retrouve dans toutes les tragédies (analyse de Racine sur la passion amoureuse et ses tourments dans Phèdre par ex.). Le personnage, dès lors, devient humain autrement dit il est perçu, compris comme appartenant à la famille humaine, à travers lui on vient à rire ou à pleurer. Il