Les Courants épistémologique

Les obstacles epistémologiques – Gaston BACHELARD L'expérience première… Le vocabulaire initial utilisé pour la compréhension des phénomènes électriques est emprunté initialement, par analogie, au vocabulaire servant dans la langue courante à désigner les phénomènes hydrauliques. Ce vocabulaire en porte encore la trace comme dans les exemples suivants : courant électrique, condensation électrique, flux, différence de potentiel (par analogie aux vases communicants), capacité du condensateur, ampoule

relavent essentiellement des sciences humaines, les secondes essentiellement des sciences de la nature. Cependant cette partition entre deux groupements de sous disciplines n'aboutit elle pas a une identification parfaitement pure du point de vue épistémologique pour ne reprendre que l'exemple de la psychanalyse , beaucoup d'autres a commencer par Freud considèrent qu'elle relève des sciences de la nature l'ethnologie humaine ne peut être considérée uniquement comme une science de la nature l'aphasiologie

soulève le problème, non seulement de la fonction, mais de la possibilité d'être de la philosophie à l'époque contemporaine. I/ L'opinion: sa nature, son origine 1°) Sa nature: Dans le langage des philosophes, mais aussi dans le langage courant, opinion est un terme plutôt péjoratif, il désigne un point de vue, un avis, un "jugement" qui n'est pas en mesure d'établir la vérité de son propos; le propre de l'opinion est pourtant paradoxalement, de se prendre pour de la pensée, pour une idée;

véritables cristallisations du savoir (cf. nos réflexions précédentes). En faisant prévaloir le contact sur l’analyse, l’impression d’avoir compris sur la construction des connaissances, elles peuvent constituer ce Bachelard appelait des « obstacles épistémologiques ». Nous devons donc aider les élèves à s’en méfier. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’elles sont parties constituantes de la culture moderne et qu’elles transforment la langue d’aujourd’hui, pour le meilleur et pour le pire, en projetant de

été falsifiée III – La démarche du chercheur Le chercheur est avant tout un homme inquiet, qui se pose des questions sur le monde dans lequel il évolue. Cette démarche compte plusieurs étapes. III1- La rupture épistémologique Rompre avec le langage courant, avec les idées courantes et à poser des questions qui dépassent ces idées communes, ces préjugés * Le premier moment c’est la question de départ. Tout chercheur commence par se poser une question (objet d’étude), c’est cette question

reste encore largement une discipline universitaire en France, de nombreux sociologues sont aujourd'hui employés par des institutions publiques, des collectivités territoriales ou des entreprises privées à fin d'expertise ou de consultance. D'autres courants, comme le Mouvement Anti Utilitariste en Sciences Sociales (MAUSS), critiquent au contraire l'utilitarisme ou l'économisme de ces approches institutionnelles et les excluent du champ de la sociologie. Sommaire  [masquer]  1 Origine du terme

consacrée à l’émission 100 Minutes pour convaincre du 20 novembre 2003 : Vainqueur par KO. […] Tandis que la fièvre montait autour de l’émission de télévision qui faisait débat jusque dans les couloirs de l’Assemblée nationale, et que les députés tous courants confondus s’interrogeaient sur le bien-fondé d’un face-à-face Sarkozy versus Ramadan, je misais gros sur Nicolas. Bosseur, endurant, master des médias (avocat de formation), l’homme était prêt à la course de fond qui l’attendait. […] De ces 100 minutes

sociale au sens des Annales, l’histoire des relations internationales de Pierre Renouvin, l’histoire institutionnelle de Roland Mousnier et la polémologie de Gaston Bouthoul» (p. 7). Bref, une école ancienne, peu ouverte aux nouveaux courants épistémologiques, y compris ceux de son propre pays (où sont passés les travaux des Rousseau, Cochet ou plus généralement sur l’histoire culturelle de la guerre?) et surtout très en retrait et en retard par rapport aux War Studies anglo-saxonnes. Dans

Les recherches des néo-grammairiens qui mettent en évidence les lois phonétiques de l évolution des langues ont également subi l influence de cette vocation spéculative, malgré la rigueur incontestable de leur démarche. Face à ces différents courants de la linguistique générale, le CLG s impose par le caractère novateur de sa démarche. Comme le reconnaissent Fuchs et Le Goffic, Saussure a inauguré un important renouvellement de la recherche linguistique en se livrant « à une réflexion théorique

langage ? INTRODUCTION Pour aborder ce sujet nous explorerons l’Histoire de la théorisation et de la Clinique du langage, à savoir comment les hommes en sont venus à s’intéresser à la question du langage, quels théories ont vu le jour, quels courants se sont formés et dans quel contexte. Puis nous nous intéresserons à une collaboration novatrice, celle de Jean Gagnepain et Olivier Sabouraud puis nous nous intéresserons à la relation entre la neurologie et le langage en terminant sur la définition