Les Coups De Baton Les Fourberies De Scapin

analytique. (présentation du thème)Nombreux sont ceux qui, en parlant d’une pièce de théâtre, se souviennent des émotions éprouvées lors de sa représentation : la foule qui se presse, l’attente dans la salle, l’obscurité qui se fait, les trois coups qui imposent le silence, le rideau qui se lève, la découverte du décor et des acteurs. C’est un instant magique, une expérience particulière, et chaque auteur, chaque dramaturge aspire à voir ses pièces représentées. Mais le texte de leurs œuvres est

Département de Français CSJ ANTOURAClasse de 1re F 1Lycée 1CORPUS POUR LE COMMENTAIRE Texte 1 : Corneille , L’Illusion comique , Acte V, scène 5, 1639. Pridamant cherche son fils Clindor, qu’il n’a pas vu depuis dix ans. Le magicien Alcandre l’amène dans une grotte d’où il peut voir la vie de Cindor se dérouler sous ses yeux. Désespéré de voir son fils mourir sous ses yeux, Pridamant veut mourir à son tour. Comment ce passage illustre-t-il

s’expriment pas comme Figaro ou le Sganarelle de Don Juan. La communication au théâtre passe aussi par les gestes qui sont très souvent exagérés et la font basculer dans le ridicule. La scène du sac des « Fourberies de Scapin » dans laquelle le valet inflige à son maître de nombreux coups bâtons pourrait difficilement exister dans la réalité. L’utilisation du monologue ne reflète pas non plus la réalité. Dans la vie courant, le long monologue de Figaro de l’acte V le ferait passer pour fou

destinait comme mari à sa fille Élise, n'est autre que le père du jeune Valère qu'aime la jeune fille et que son père croyait mort lors d'un naufrage ; voilà qui tombe à pic et résout tous les problèmes : Élise épousera Valère… À la fin des Fourberies de Scapin, le vieil Argante reconnaît en Zerbinette, une Égyptienne inconnue, sa propre fille qu'il avait perdue ; voilà qui tombe à point nommé : c'est justement la fille du seigneur Argante que le vieux Géronte destine à son fils, qui refusait catégoriquement

destinait comme mari à sa fille Élise, n'est autre que le père du jeune Valère qu'aime la jeune fille et que son père croyait mort lors d'un naufrage ; voilà qui tombe à pic et résout tous les problèmes : Élise épousera Valère… À la fin des Fourberies de Scapin, le vieil Argante reconnaît en Zerbinette, une Égyptienne inconnue, sa propre fille qu'il avait perdue ; voilà qui tombe à point nommé : c'est justement la fille du seigneur Argante que le vieux Géronte destine à son fils, qui refusait catégoriquement

une fonction à la fois comique et dramatique. Au XVIème siècle, ce couple théâtral continue d’être mis en scène par de nombreux auteurs influencés par la Comedia dell’Arte. Par exemple, dans Les Fourberies de Scapin de Molière, le valet est le personnage principal de l’intrigue. En effet, Scapin doit, par de hardis stratagèmes, extorquer de l’argent à Géronte et Argante pour que leurs fils puissent se marier. On retrouve bien là le schéma du servus callidus, dont le rôle est de tromper le père

caractéristiques de la farce dans de nombreuses autres pièces (plaisanteries scatologiques dans Monsieur de Pourceaugnac), et même dans ses comédies soutenues (Orgon sous la table et pas loin du cocuage dans Tartuffe, le sac et les coups de bâton dans les Fourberies de Scapin) 2. L'héritier de la comédie italienne: D'autres noms de personnages de Molière sont empruntés visiblement aux auteurs italiens qui reprirent la comédie latine pour l'enrichir des jeux de scène outrés et comiques

Silvestre des Fourberies de Scapin se fait passer devant le vieil Argante pour le frère d’une jeune fille qu’Octave, le fils du vieillard, a épousée sans le consentement de son père, sous cette identité, et il menace de le tuer ; dans cette même scène, Scapin, complice de Silvestre, initiateur de la farce, feint de défendre le vieil Argante, alors même qu’il est en train de lui jouer, en accord avec Silvestre, ce mauvais tour ; mais, pour Silvestre, il est bien toujours Scapin, son complice

Nous verrons que si la comédie s'emploie par susciter le rire, elle vise aussi d'autre but. La comédie joue sur diffèrent procédés : le comique de situation, le comique de geste, de mot et de caractère. Les coups de bâton, donné par Scapin, à son maitre, durant l'une de ses fourberies par exemple, provoquent le rire général, car, Molière, s'est inspiré sur le comique de geste et de mots.

Molière: - Les précieuses ridicules - 1659 - L’école des maris - 1661 - L’école des femmes - 1662 - Tartuffe - 1664 - Dom Juan - 1665 - Le médecin malgré lui - 1666 - Le misanthrope - 1666 - L’avare - 1668 - Le bourgeois gentilhomme - 1670 - Les Fourberies de Scapin - 1671 - Le malade imaginaire - 1673 “Le médecin malgré lui” C’est l’histoire d’un homme (Sganarelle) qui bat sa femme et qui se fait engager par mégarde comme médecin. Le bourgeois (Géronte) qui l’engage veut qu’il guérisse sa fille (Lucinde)