Les Coups De Baton Les Fourberies De Scapin

|Comédie-ballet en cinq actes et en prose[10] |14 octobre 1670 | |Psyché |Tragédie-ballet en cinq actes et en vers |17 janvier 1671 | |Les Fourberies de Scapin |Comédie en trois actes et en prose |24 mai 1671 | |La Comtesse d'Escarbagnas |Comédie en un acte et en prose |2 décembre

Dans les pièces de Molière, les femmes sont plus importantes que dans les pièces latines de l'époque car la condition féminine a évolué tout au long des siècles. C'est sur ce schéma que sont écrites des pièces telles que l'Amour médecin et les Fourberies de Scapin. Le second est celui du contretemps ou du renversement de situation, qui caractérise le Dépit amoureux mais aussi le Misanthrope. Le troisième est celui de la revue, qui se présente comme un défilé de personnages variés: on en trouve des traces

comiques : ►►Le comique de gestes : le langage du corps Le corps a une fonction extrêmement importante au théâtre et on peut véritablement parler de langage du corps lorsqu’il s’agit faire rire le spectateur . →Il consiste en grimaces, maladresses, coups, chutes…. Mouvements divers mais toujours exagérés Ces gestes perceptibles aux spectateurs sont signalés au lecteur grâce aux didascalies Ex : Il veut lui donner un soufflet et il la manque Molière, Le Tartuffe II, 3 →Le comique

du type coups de bâton ou chutes rappelle bien souvent la Commedia Del Arte. En effet, dans ce théâtre populaire italien l'un des personnages prénommé Pierro ne cesse de chuter de sorte que lors de chacune de ses entrées en scène, le public est dans l'attente de cette cascade. Par ailleurs, Molière utilisa régulièrement le comique de gestes dans ses pièces, ainsi dans Les Fourberies de Scapin il nous expose une scène où l'avare Géronte tient dans sa main une bourse à l'attention de Scapin et fait

Français Dissertation : Qui ne se souvient pas des coups de bâtons donnés par Scapin à Géronte dans Les Fourberies de Scapin de Molière ? Le rire et l’amusement étaient alors à leur comble. Il est de la nature humaine d’aimer le conflit or « Le théâtre est un art du conflit, du polémique », affirmait André Steiger. Si bien que sans conflit, le théâtre n’existerait pas et ne ferait pas un tel effet sur nos personnes. Mais on peut se demander par quels moyens arrive-t-il ainsi à mettre particulièrement

ainsi que le comique de geste (des conduites incohérentes), les grimaces et les chutes grotesques. En effet, dans Les Fourberies de Scapin, les coups de bâtons donnés par Scapin à son maître caché dans un sac, durant la scène 2 de l’acte III, provoquent le rire général. Ici les rôles sont inversés ; au lieu que le maître bat son valet, c’est le valet qui roue son maître de coups par traîtrise et ceci déclenche le rire des spectateurs. Aussi, dans la scène 2 de l’acte I de L’école des Femmes de Molière

ailleurs, la comédie se diffusa plus facilement au XVIIème siècle en Italie grâce à la commedia dell’arte. Dans Les Fourberie de Scapin (1671) de Molière, on assiste à un règlement de compte entre Géronte, un maitre de maison et son valet Scapin. Celui-ci enferme son maitre dans un sac à l’aide d’un fin stratagème où il se fait passer pour un spadassin, et le roue de coups de bâton. Scapin se plaint lui aussi de s’être fait frappé en le défendant. Cette scène amuse le public car le maitre se retrouve

ainsi que le comique de geste (des conduites incohérentes), les grimaces et les chutes grotesques. En effet, dans Les Fourberies de Scapin, les coups de bâtons donnés par Scapin à son maître caché dans un sac, durant la scène 2 de l’acte III, provoquent le rire général. Ici les rôles sont inversés ; au lieu que le maître bat son valet, c’est le valet qui roue son maître de coups par traîtrise et ceci déclenche le rire des spectateurs. Aussi, dans la scène 2 de l’acte I de L’école des Femmes de Molière

Heinsius, auteur d’une Dissertation sur Plaute et Térence, écrit : « Susciter le rire n’est pas l’âme de la comédie. » Qu’en pensez-vous ? En vous fondant sur votre compréhension du cours et plus généralement sur votre réflexion et vos lectures personnelles, vous mettrez en perspective cette réflexion.La comédie, parce qu’elle ne faisait pas l’attention des théoriciens, a bénéficié tout au cours de son histoire d’une plus grande liberté d’expression, qui s’est davantage accrue au cours du XVIIIe

Molière lorsque Harpagon répète « sans dot » à Valère. Nous trouvons donc dans ces deux pièces des comiques de mots. On peut également trouver des comiques de gestes. Par exemple dans Les Fourberies de Scapin, le valet fourbe dit à son maître d’aller se cacher dans le sac. Ainsi, Scapin lui donne des coups de bâtons. Ou alors dans l’Avare de Molière, lorsque Harpagon se prend lui-même son bras (acte 4, scène 7) quand il dit : « Rends-moi mon argent, coquin… ». Il y a également des comiques de situation