Les Coquillages Verlaine

Balzac, Le père Goriot (1835) TEXTE 20 : Zola, La Curée (1871), chapitre III - portrait de Maxime TEXTE 21 : Jarry, Ubu roi TEXTE 22 : Rimbaud, Lettres dites du "Voyant" (1871-1873), "Je est un autre" TEXTE 23 : Verlaine, Romances sans paroles, "Chevaux de bois" TEXTE 24 : Verlaine, "Art poétique" (1874) TEXTE 25 : Marcel Proust, À la recherche du temps perdu. Du côté de chez Swann, 1913. TEXTE 26 : Sarraute, Tropismes, X (1939-1957) TEXTE 27 : Claude Simon, la Route des Flandres TEXTE

communauté des collines. Le monde des hommes dans Marius est celui du monde du commerce, pignon sur rue, tandis que les femmes restent à la maison si elles ont les moyens. Sinon, comme Honorine et Fanny, elles gagnent leur vie en vendant des coquillages. Dans Le Château de ma mère, Marcel Pagnol contraste les chasseurs des collines aux "autres," et surtout aux femmes et aux enfants. Quand les chasseurs s'en vont pour la journée, il y a la mère de Marcel, sa tante, la petite sœur et son jeune

le conduit plutôt à choir. Double-tête n'en a cure. C'est fait. C'est terminé. Si fort que ses intentions aient pu changer, la forme est prise et lui dedans. Il n'a qu'à continuer, malgré l'erreur à présent évidente. Texte J : « Le Monstre » de Verlaine J’ai rêvé d’une bête affreuse et d’un grand nombre De femmes et d’enfants et d’hommes que dans l’ombre D’une nuit sans étoile et sans lune et sans bruit Le monstre dévorait ardemment, et la nuit Était glacée, et les victimes dans la gueule Du monstre

d’événements et de connaissances, dans leur ordre le plus naturel. […] Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique, en un mot tant qu’ils ne s’appliquèrent

courbes. Multiplication des espaces qui sont en lien avec le jardin : éléments caractéristiques de l'architecture art nouveau. Le symbolisme : plus sensible à la question des mythes de la religion : le contraire de la rationalité. Baudelaire, Verlaine et Rimbaud Le symbolisme va se traduire en architecture par des ambiances sombres et feutrées. La lumière est filtrée par les vitraux de couleur. Le japonisme. Arts calligraphique et estampes japonaises (qualifier la nature). C'est une

et aujourd’hui centre très actif d’un quartier en plein essor. La Butte-aux-Cailles est un des quartiers les plus pittoresques de la capitale. Pour assainir les marécages du quartier, le grand physicien François Arago fit creuser, près de la place Verlaine, un puit artésien de plus de 500 m de profondeur, dont l’eau devait chasser la pollution de la vallée de la Bièvre. La notoriété de la Butte-aux-Cailles fut accrue par l’atterrissage, le 21 novembre 1783, de la première Montgolfière pilotée par Pilâtre

de deux points noirs. Adamantin : INE (a-da-man-tin, ti-n'), adj. Qui a la dureté ou l'éclat du diamant. Unis par le plus fort et le plus cher lien, Et d'ailleurs, possédant l'armure adamantine, Nous sourirons à tous et n'aurons peur de rien, VERLAINE. Ad hominem : (a-do-mi-nè-m'), loc. adv. Argument ad hominem, argument attaquant directement la personne à qui l'on s'adresse. Ad honores : (a-do-no-rès), loc. adv. Pour l'honneur, sans fonction ni émolument. C'est une place ad honores. Adextré

Waterloo ! Waterloo ! Morne plaine ! » (Victor Hugo, « L’Expiation », Les Châtiments, 1853) “ Le rythme ternaire repose sur la séparation de l’alexandrin en trois parties égales 4/4/4. Ex. : « Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle » (Paul Verlaine, « Après trois ans », Poèmes saturniens, 1866) “ Le rythme est croissant lorsque les mesures sont de plus en plus longues ou accumulatif quand il existe de nombreux accents. Ex. : « Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. » (Tristan Corbière, « Le

moto jaune flamme. Son magasin était tout près, mais elle voulait éviter d’avoir à repasser par l’atelier lorsqu’elle rejoindrait Raphaël. Cheveux au vent, elle parcourut la petite centaine de mètres de cette rue qu’elle adorait. Ici, Rimbaud et Verlaine avaient composé des vers, Aragon et Elsa s’étaient aimés et Godard avait immortalisé la fin de son premier film : cette scène si triste dans laquelle Jean-Paul Belmondo, « à bout de souffle », s’écroule, une balle dans le dos, sous les yeux de

En 1897, Bonnard illustre de 18 dessins au pinceau un roman du Danois Peter Nansen, Marie, parue dans la Revue Blanche. Il est alors remarqué par Ambroise Vollard et produit, sur sa demande, 109 lithographies pour un ouvrage de poésies libres de Verlaine, Parallèlement. Il renouvelle l'expérience, toujours sur la demande de Vollard, pour Daphnis et Chloé. Bonnard semble trouver sa voie dans un retour à un certain impressionnisme, introduisant le mystère dans l'apparence visible. Il traverse ensuite