Les Coquillages Verlaine

voit voleter la chauve-souris sombre. Tout bruit s'apaise autour. À peine un vague son Dit que la ville est là qui chante sa chanson, Qui lèche ses tyrans et qui mord ses victimes ; Et c'est l'aube des vols, des amours et des crimes. […] Paul Verlaine, « Nocturne parisien » (extrait), Poèmes saturniens, 1866. Texte 4 Ô Paris, ville ouverte(12) Ainsi qu'une blessure, Que n'es-tu devenue De la campagne verte. Te voilà regardée Par des yeux ennemis, De nouvelles oreilles Écoutent nos

car selon lui on se rappelle injustement des gagnants et non des perdants il montre que pour lui la nature est prépondérante pour nous faire passer ses états d'âme. Ce poème est extrait du recueil Poésies  publié en 1872. Chevaux De Bois de Paul Verlaine, extrait du recueil Romances sans paroles  publié en 1874, Il exprime ses sentiments à travers des souvenirs enfantins d’un manège forain et grâce à la description d’un comportement de foule plutôt charmant. Le calligramme de Guillaume Apollinaire

angles obtus. Des bouts de fumée en forme de cinq Sortaient drus et noirs des hauts toits pointus. Le ciel était gris. La bise pleurait Ainsi qu’un basson. Au loin, un matou frileux et discret Miaulait d’étrange et grêle façon. Paul Verlaine, Poèmes saturniens, 1866. Voc : Zinc = métal. Obtus = larges. Bise = vent. Basson = instrument. Grêle = aigu, peu intense. d) Que remarquez-vous au sujet du genre (nature) des rimes ? Comparez-les deux à deux. /1 _______________

Objet d'étude : La poésie. Corpus :  "Impressions, soleils couchants". Texte A - Victor HUGO, "Soleils couchants", poème VI, Les Feuilles d'automne (1831) Texte B - Paul VERLAINE, "Soleils couchants", Poèmes saturniens (1866) Texte C - Jules LAFORGUE, "Soleil couchant", Les Complaintes (1885).   Texte A -   Texte B - Paul VERLAINE, "Soleils couchants", Poèmes saturniens (1866) Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie Berce de doux chants Mon cœur qui

lointaines De pâtres attardés ramenant le bétail. L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre, Ferme les branches d'or de son rouge éventail. José M. de Heredia Paul Verlaine Marine Proposé par Clara Youdale L’océan sonore Palpite sous l’œil De la lune en deuil Et palpite encore, Tandis qu’un éclair Brutal et sinistre Fend le ciel de bistre D’un long zigzag clair, Et que chaque lame En bonds convulsifs

regret autour de sa volupté songeuse ! ». « Sérénités douces », « paradis tendre » « volupté », « enchanteur » d’une part ; « mélancolique », « soupir », regret », « songeur » d’autre part : l’ambivalence de l’œuvre de Watteau est joliment soulignée ; Verlaine l’a vu ainsi, et l’exprime très nettement dans « Clair de Lune », dont les personnages semblent osciller entre joie et mélancolie ; le poète joue également sur d’autres ambivalences qui font la richesse de son « paysage choisi » inspiré de Watteau

des années 1800, le but de cette dernière est d'exprimer son point de vue en usant des mots pour convaincre et pousser à la réflexion et à l'action. Les principaux auteurs de ce courant sont Robert Desnos (1900-1945), Louis Aragon (1897-1982), Paul Verlaine (1844-1896)… Quand la poésie se modernise, elle change de forme et ses mots sont utilisées de façon à faire des jeux : La poésie s'amuse. Guillaume Apollinaire et d’autres poètes ont bouleversés les codes de la poésie et ont contournés les règles

9782081224261 2,70 € • 160 pages. MICHAUX (HENRI) Voir MONSTRES ET CHIMÈRES, p. 49, POÉSIE ET LYRISME, p. 51 MICHELET Voir LA BIOGRAPHIE, p. 46, DES FEMMES, p. 48 L’AVARE ------------------------------- ••• en lien avec ce titre : Les Coquillages de monsieur Chabre, p. 60 Édition de Christian Keime. Texte intégral / Collège 9782081209572 2,80 € • 192 pages. Nouveauté MICHON (PIERRE) Voir LA BIOGRAPHIE, p. 46 34 ÉTONNANTS CLASSIQUES Lazar (2004) et Philippe Car (2009).

poissons frits Francis Ponge L'amiral Jacques Prévert Le gardien de phare aime trop les oiseaux Jacques Prévert Marine Raymond Queneau Marine Arthur Rimbaud Bestiaire du coquillage Claude Roy Le pirate Philippe Soupault LHYPERLINK "s.htm" \l "sullyprudhommelong"e long du quai René-François Sully Prudhomme Marine Paul Verlaine Mer Alain Bosquet Iles Blaise Cendrars Le mousse Tristan Corbière Le Berger et la mer Jean de La Fontaine Vert de mer Madeleine Le Floch Chanson de la marine ancienne

climat enfantin de l’école et de l’école buissonnière à l’exaltation de l’aventure. Vagabond déjà, dans ses fugues vers Paris ou la Belgique, il vit ses poèmes où brille l’innocence d’un regard neuf porté sur le monde. Le temps de sa liaison avec Verlaine sera pour lui le temps de la poésie : celui des espoirs les plus audacieux, celui aussi, pour finir, du désespoir. Une vie et un génie brûlés en trois ans, et issue de ce feu, une oeuvre brève - quelque centaines de pages - mas chargée d’une révolution