Les Conquérants

Méditerranée et au sud par les Hauts Plateaux. Dénuée d'existence administrative globale, elle tient son nom des Kabyles, population de culture et de traditions berbères, dont elle est le foyer. Son histoire a fait d'elle un pôle de résistance aux conquérants successifs, mais aussi le point d'appui de plusieurs entreprises dynastiques, et l'a placée au premier plan des mouvements pour la reconnaissance de l'identité amazigh (berbère) dans l'Algérie et l'Afrique du Nord contemporaines. La variété de

Introduction 1 Les Conquérants est un poème issu du recueil Les Trophées. Trophée : Témoignage de victoire, aspect esthétique. intro2 José María de Heredia Girard (1842-1905) : homme de lettres d'origine cubaine, naturalisé français en 1893. En tant que poète, c'est un des maîtres du mouvement parnassien, véritable joaillier du vers. Les Trophées : unique recueil de Heredia comprenant 118 sonnets qui retracent l'histoire du monde, comme « Les Conquérants », ou qui dépeignent des moments privilégiés

génie intellectuel, sa guerre sainte. Toutefois, il est des penseurs qui révèlent d’autres traits en lui. II- LA VISION DES VAINCUS : Bien que religieux et mystique, EL HADJ OMAR n’en demeure pas moins pour certains un politique, un conquérant, un économiste. 1-LE POLITIQUE : EL HADJ OMAR était un homme politique. Ses alliances et ses désaccords avec les princes successifs du Khasso montre sa finesse. Selon Bocar CISSE, les causes de son désaccord avec le chef khassonké

l'ignorance et l'innocence comme le nourrisson qui vient de naître. Mais très vite, l’Ancien Monde est considéré comme étant meilleur que le nouveau. L'image donnée du Nouveau Monde est aussi déterminée grâce aux relations établies avec les conquérants c'est-à-dire les colons. L'extrait donne l'impression d'une relation ainée à cadet ou bien encore une relation de parents à enfant. On peut dire que l'Ancien Monde éduque le nouveau comme un père, mais l’éducation donnée est sévère et violente «

idée de « changement » (l.143). Ce qui intéresse Dom Juan c'est de chercher une nouvelle femme, de faire des « conquêtes » (l.155). Mais une fois qu'il a obtenu ce qu'il veut, ce n'est plus une conquête, il n'en veut plus. Il se prend pour un « conquérant » (l.157), ce qui donne une idée d'instabilité, d'inconstance. Il veut voler « de victoire en victoire » (l.158), ce qui donne une impression de mouvement perpétuel (= sans fin). Selon lui, on ne peut pas l'arrêter (l.159-160) : négation devant

que de les nommer (= constatation des indiens qui n’ont pu que se fier à ce qu’ils voyaient, car ils ne connaissaient pas et ne savaient pas nommer) : « des gens barbus, divers en langage, religion, en forme et en contenance » pour désigner les conquérants européens. L.15 (« d’un endroit du monde si éloigné » désigne l’europe, dont ils ignorent jusqu’à l’existence) « des grands monstres inconnus » l'expression désigne les chevaux (l.17) « une peau luisante et dure » désigne les armures des

plus tard, dans les travaux sur l’art. Un voyage en Chine, effectué en 1931, a peut-être suscité en Malraux le désir de composer un roman consacré à un épisode de la révolution nationaliste qui, chronologiquement, suit l’épisode rapporté dans Les conquérants. Ce roman, qui sera La condition humaine, paraîtra d’abord dans la N.R.F. de janvier à juin 1933, 1 puis en volume, la même année chez Gallimard. Il avait été écrit de septembre 1931 à mai 1933. Nous sommes à Shanghai dans la nuit du 12 mars

de réussir. Ce désir s'accompagne d'une bestialité couplée à une violence certaine qui traduit le lexique des lames : « tranchante », « coutelas ». Cette animosité est également renforcée par toutes les allusions à la guerre et à la mort, tel un conquérant sans pitié qui dévaste son adversaire : « une armée de pioches », « coups de sabre », « veines ouvertes ». Cet aspect sanglant du discours de Saccard renforce ce caractère violent et sans limite de sa volonté de réussir. Il considère alors la ville

temps nous livre un caractère conquérant. L’ancien militaire est fière mais brutal comme nous le prouvent les multiples adverbes de manière : Il a gardé son allure, sa prestance, ainsi les expressions lui donne un air de provocation. Celle-ci continue d’ailleurs jusqu'à la gradation finale «  Ils avaient l’air de toujours défier quelqu’un, les passants, les maisons, la ville entière…>> Ce dernier exemple nous montre que George Duroy a toujours son esprit conquérant que lui à enseigner l’armée

ce phénomène nouveau, la colonisation. Nous analyserons d’abord la nature des relations qu’entretiennent les deux civilisations, puis nous nous pencherons sur la manière dont Montaigne prend position à propos du comportement et des jugements des conquérants. I La nature des relations qu’entretiennent les 2 civilisations Montaigne met en évidence une évolution dans les relations qu’entretient le Nouveau Monde avec l’Ancien. a) Un monde enfant - Il commence à mettre en place l’image du