Les Confidents Dans Phèdre

Scène 4 Rodrigue arrive chez Chimène avec l’épée qui a servit à tuer son père, elle commence par dire « Va je ne te hais point » puis un dialogue à l’unisson s’installe entre les deux personnages. CF : Irréel du passé retrouvé dans Phèdre lors de l’aveu de Phèdre à Hippolyte 2 scènes qui se retrouvent donc dans la scène d’André Gide. Constatation d’une complicité joyeuse entre Jérôme et Juliette : « en riant » Joie nécessaire à la vie. Leurs imaginaires se répondent parfaitement : échanges

Jean Racine est né en 1639 et mort en 1699. C’était un dramaturge du 17e siècle, époque du classicisme. Entre 1667 et 1677, il écrivit une comédie Les Plaideurs (1668) et sept tragédies dont Andromaque (1667), Bérénice (1670), Phèdre (1677). Puis Jean Racine renonce brutalement au théâtre, devient historiographe du roi et épouse une jeune fille. Après ça, il écrit deux tragédies d’inspiration biblique, une en 1689 Esther et l’autre en 1691 Athalie. L’extrait étudié reprend le

Antigone, (1944) : L.C. Extraits : Racine, Phèdre, (1677), I, 3, tirade de Phèdre à Oenone v 269 à 306 + liste des personnages ; Musset, Lorenzaccio, (1834), IV, 3, monologue de Lorenzo + liste des personnages ; Beckett, En attendant Godot, (1953), extrait de l’acte II : L.A. / Giraudoux, Electre, (1937), I, 8 : tirade d’Electre à Oreste : C.L. Document complémentaire : Musset, De la tragédie, (1838), extrait. / Deux photographies du personnage de Phèdre, acte I, scène 3, dans le cadre de deux

Tartuffe, Dom Juan ou Phèdre ont attirer la désapprobation. Le premier est condamné par le roi et emprisonné, le second meurt châtié par la statue du Commandeur qu’il a outragé, et Phèdre entraîne la mort D’Hippolyte, innocent de l’accusation qu’elle porte sur lui. –Molière, la Fontaine, La Bruyère, Boileau dénoncent les avares, les hypocrites, les ambitieux, les naïfs, les bavards, etc. Racine dénonce les excès de la passion amoureuse: de la mère pour son beau-fils (Phèdre**) ; de la mère

Principales Œuvres : Andromaque : Tragédie en cinq actes et en vers, en 1667. Les Plaideurs : Comédie en trois actes et en vers, en 1668. Britannicus : Tragédie en cinq actes et en vers, en 1669. Bérénice : Tragédie en cinq actes et en vers, en 1670. Phèdre : Tragédie en cinq actes et en vers, en 1677. 4) Andromaque : Andromaque est une tragédie en cinq actes et en vers, écrite en 1667. Elle marque notamment la gloire de Racine. L’argument de la pièce se résume en une phrase : Oreste aime Hermione

l’acte I, scène III de Phèdre de Racine Introduction Je vous propose d’étudier la scène 3 de l’Acte I de Phèdre, la tragédie de Racine. C’est la tirade très très (très très … très) célèbre où Phèdre révèle à sa nourrice Oenone, (mais au spectateur aussi en passant) qu’elle est amoureuse d’Hippolyte ! Ah, le beau Hippolyte, qui malheureusement pour elle est le fils de son mari Thésée… Vous voyez le problème : c’est un amour considéré comme incestueux, contre-nature. Phèdre, c’est une pièce qui obéit

pour toujours. Phèdre de Racine met en scène la malédiction touchant chaque femme de la famille de l'héroïne, Phèdre. Celle ci tombe amoureuse de son beau fils, Hyppolyte, pendant que son mari Thésée est disparue puis ensuite annoncé mort. Un amour impossible et maudit s'installe. Hyppolyte n'aime pas Phèdre. Thésée revient et Œnone la confidente de Phèdre déclare à Thésée qu'Hyppolyte a tenté de séduire sa belle mère en la mennaçant. Elle donne pour preuve l'épée avec laquel Phèdre avait tenté de

conflit favorise l'expression des sentiments et éclaire la psychologie des personnages ; c'est un « ressort » psychologique. D'où l'importance du confident dans la tragédie, du valet ou de la servante dans la comédie : par ses objections, ses questions, il / elle suscite la confidence et l'expression des sentiments. Exemple : Phèdre et Œnone dans Phèdre. Phèdre lui confie son amour pour Hippolyte, Oenone lui conseillera d’avouer à Hippolyte. Lorsqu'il y a conflit, émotions et sentiments n'en sont que

« purger » toutes ses émotions. En 1677, Jean Racine écrit une des plus grandes tragédies : Phèdre et prouve alors que la catharsis est bien présente dans toutes les pièces. Il dresse alors l’histoire d’un amour impossible entre le personnage éponyme pour son beau-fils Hippolyte. Accompagnée par le drame, la passion et la culpabilité, c’est dans la scène 3 de l’acte I que Phèdre révèle ses sentiments à sa confidente, Oenone. Trois mots la suivent tout au long de la scène : fatalité, mort et tristesse ;

1ère L, 1ère S2 – SEQUENCE 2 – Phèdre – Texte 1 : scène d’exposition Analyse linéaire de la scène d’exposition de Phèdre Du début à « je ne la fuirais pas ». Première scène = scène masculine, dans un acte dominé par la figure de Phèdre. C’est curieusement Hippolyte qui ouvre la pièce. Effet de suspens, l’héroïne n’arrivera que plus tard… (à la scène 3). Cependant, il faut se rappeler que le titre de la pièce originale est Phèdre et Hippolyte… Première réplique : « cher Théramène » :