Les Confessions Rousseau

Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) Sa vie Jean-Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 à Genève (Suisse) dans une famille protestante d’origine française. Sa mère mourut à sa naissance. A l’âge de dix ans, il fut mis en pension à Bossey chez le pasteur Lambercier car son père dut s’exiler à la suite d’une querelle. Il y vécu deux belles années (1722-1724).En 1727, il a été mis en apprentissage chez le graveur Ducommun qui le traitait brutalement. Au mois de mars de l’année suivante, il revint trop

ROUSSEAU Jean-Jacques
(28 juin 1712 - 2 juillet 1778) Ecrivain, philosophe La mère de Jean-Jacques Rousseau meurt en le mettant au monde, à Genève. C'est son père, insouciant, vagabond et fantasque, qui l'élève. Jusqu'au 21 mars 1728, date de sa rencontre avec Mme de Warens, sa vie n'est que velléité entre la géométrie, l'horlogerie, un emploi de greffier, un vague apprentissage chez un graveur. A l'hospice des catéchumènes de Turin où elle l'envoie, il abjure le protestantisme. Jean-Jacques s'enfuit

Essais, œuvre autobiographique qui s’oppose aux Confessions de Rousseau dans le sens où les Essais sont parus de son vivant. « Au lecteur » se situe dans le préambule, 1588. Littéralement, le mot essai signifie l’action de mettre à l’épreuve. Dans cet ouvrage, le sujet essaie de se saisir lui-même dans l’acte d’écrire. Le préambule pose les termes du pacte autobiographique qui présente quelques dénominateurs communs avec les Confessions, même si Rousseau accusait Montaigne d’être «  un faux sincère »

1580 Avis aux lecteurs des Essais de Montaigne Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau Mmoires capitales de Groucho Marx Vie de Henri Brulard de Stendhal Alger, Un enfant dans la tourmente de Line Meller-Sad LEcriture ou la Vie de Jorge Semprun Antimmoires dAndr Malraux Enfance de Nathalie Sarraute  Un groupement dextraits de diffrents genres autobiographiques Extrait des Mots de Jean-Paul Sartre Extrait des Confessions de Jean-Jacques Rousseau Extrait des Mmoires dOutre-Tombe de Chateaubriand Lundi

- Saint-Augustin Les Confessions (livres I et II) - Leibniz Les essais de Théodicée §20-25 et §404-417 - Rousseau Les Confessions (livres I à IV sinon p.48, 165, 178-180, 199 (édition Flammarion) - Kant La critique de la faculté de juger (§46 à 49); Les religions dans les limites de la simple raison - Nietzsche La généalogie de la morale - Finkielkraut La sagesse de l’amour (chap 5 : l’épreuve du prochain) Shakespeare Othello ; Richard III Le mal est-il une réalité qui est familière au

éclaircirons le fait que l'autobiographie favorise la connaissance de soi. D'une part, le dialogue avec soi même, une sorte d'examen de conscience, permet de s'analyser, de dresser son propre portrait, comme par exemple Rousseau à travers son roman autobiographique «  les confessions » prend du recul par rapport à sa vie et pose un regard analytique. Nous nous proposons d’étudier plus particulièrement l’incipit de son roman, l’incipit d’un livre est un terme latin qui signifie le début du livre.

Séquence 1 : lecture analytique de Rousseau, extrait des Confessions «  Je déclare à la face du ciel que j’en étais innocent… » Texte : «  Je déclare à la face du ciel que j’en étais innocent… » J’étudiais un jour seul ma leçon dans la chambre contiguë à la cuisine. La servante avait mis sécher à la plaque les peignes de Mlle Lambercier. Quand elle revint les prendre, il s'en trouva un dont tout un côte de dents était brisé. A qui s'en prendre de ce dégât ? Personne

hommes. En effet, elle mène à une réflexon sur la chute et l'origine du mal. Comme nous pouvons le voir dans les confessions avec une " éxpérience originel de la discordance de l'être et du paraître et de la malfaisance de l'apparence" chez Rousseau. A traver les confessions, Rousseau apprend a se connaitre lui-même, il fait sa propre expérience émotive. Il s'écrit. Ceci nous montre que Rousseau à cette époque là ne se connaissait pas lui-même et que par la méchanceté de ces "maîtres", et de sa connaissance

Quels évènements autobiographiques de Rousseau permettraient d’expliquer sa prise de position vis-à-vis de la nature humaine ? Rousseau n’est pas comme tous les autres philosophes des lumières : il était très optimiste, il croyait en l’homme (qu’il pouvait s’améliorait) et en Dieu. Le naturel chez Rousseau est une notion capitale dans son système. Il a besoin d’elle pour penser le bon, c’est-à-dire ce qui n’est pas perturbé par les relations entre les humains. C’est une position unique dans

Quatre extraits d'autobiographies de Saint Augustin, de Rousseau, de Chateaubriand et de Cohen, respectivement Confessions, Les Confessions, Les Mémoires d'Outre-Tombe, et Le Livre de ma mère sont unis par leur thème commun qui est l'aveu et chacun des auteurs ont défini leurs destinataires. Effectivement, Saint Augustin avoue que "ce n'était pas l'objet convoité par [son] vol [dont il] voulait jouir, mais du vol même et du pêché" (l.5-6). Rousseau, lui, avoue son penchant masochiste qui a "décidé de