Les Chocs Pétroliers

Phillips dans les années 50, en l’occurrence la relation négative entre l’inflation et le chômage (une baisse du chômage ne pouvait être réalisée sans générer une hausse de l’inflation). Dans les années 70, cette relation a disparu avec les chocs pétroliers puisque l’on connu alors une période de hausse de l’inflation, et de façon concomitante du taux de chômage. La hausse des coûts de production non salariaux a en effet contraint les entreprises à augmenter leurs prix à salaire donné. Dans le même

explique les variations de l'emploi durant les années 60s et permet de mener des politiques monétaires inflationnistes qui ont fait diminuer le chômage. On parle d'un arbitrage entre inflation et chômage. Ce modèle montrera ses limites avec les chocs pétroliers, l'application des préconisations keynésiennes ne faisant qu'augmenter encore plus le chômage. Cela permettra l'ascension des monétaristes. D'autres modèles néo-keynésiens, plus radicaux dans la remise en cause de l'équilibre général, vont tenter

premières pour importer les mêmes biens de consommation ? Si, lors des chocs pétroliers, les pays du sud de la Méditerranée (Algérie, Libye) membres de l'OPEP ont maintenu la pression, c'est qu'ils avaient le sentiment légitime d'être perdants au sein de l'échange mondial, car payés en dollars dévalués depuis 1971. C'est, selon eux, comme si la décolonisation n'avait jamais eu lieu. Quarante-cinq ans après, en dépit des chocs pétroliers se succédant depuis 1973, et d'une relative raréfaction de la ressource

1970, bien que les chiffres du chômage aient commencé à augmenter dès les années 1940. Le chômage existait auparavant, mais son faible niveau n’en faisait pas un élément important des débats de société et de la vie économique du pays. Avec les chocs pétroliers des années 1970, qui coïncidèrent avec la fin du rattrapage économique vis-à-vis des États-Unis (période des Trente Glorieuses), le chômage reste à un niveau élevé jusqu’au milieu des années 2010 — autour de 10 %. Mesuré au sens du OIT et selon

dérivés du pétrole. Vient ensuite les Trente Glorieuses, de 1945 jusqu’à 1973, où la consommation est multipliée par trois, avec une forte consommation du pétrole, abondant, présent et très bon marché (première énergie la plus utilisée). Le choc pétrolier lié à l’action de l’OPEP y a mis fin. Le pétrole accompagne donc le développement des Trente Glorieuses en garantissant un approvisionnement constant et bon marché en énergie. Le charbon représente 20% de la consommation d’énergie et concerne principalement

à partir du milieu des années 1980 (lors de la création d'Enron), sous l'effet de la diversification des sources d'énergie consécutive aux chocs pétroliers, de la dérégulation des marchés de l'énergie et du développement des télécommunications. Les volumes d'affaires des traders ont bénéficié d'une première phase de développement après les deux chocs pétroliers (1973 et 1979), en raison de: la relance des besoins énergétiques des pays développés (OCDE) - surtout des Etats-Unis - et des nouveaux pays

marché du travail comme sur celui du financement. Ces économies sont plus « réactives » ou plus « instables ». Les comportements sont plus « court-termistes ». La mobilité est encouragée. Les salariés cherchent à maintenir leur employabilité. Les chocs sont absorbés par flexibilité externe. Les États-Unis en sont le modèle type. Économies coordonnées de marchés : Les engagements sont de longue durée, établis en marge du marché. Le rapport salarial est négocié et encadré par des conventions collectives

Générale, qui centralise durant cette période les pouvoirs, prend la décision de se recentrer sur ces domaines d’activités les plus porteurs. En effet, les années 80 marquent une période de fragilité économique, puisque le monde a traversé deux chocs pétroliers. Dans ce contexte incertain, la prudence est de mise, et l’entreprise n’hésite pas à vendre certains de ces DAS les moins rentables tels que l’abatage, la commercialisation de viande fraiche, les conserves, ou encore les salaisons Sèches. Les

prix règlement : rôle de la finance : produire un revenu/ fonction de gestion des risques conclusion du I : la montée de la finance globalisée a été une réponse aux difficultés rencontrées par l'éco mondiale en 1975 (fin de brettonwoods, chocs pétrolier, recession, hyperinflation) la sphère financière a contribuée à gérer le ajustements éco qui ont affecté l'éco mondiale. les innovation fiancière ont permis aux agents de mieux gérer les risques auquelles ils étaient individuellement sousmis mais

laquelle la France jouissait d’une forte croissance, la part des salariés était relativement élevé et stable. Mais cette situation c’est vite dégradée puisqu’, en effet, une décennie plus tard la croissance s’est ralentit nettement à cause des chocs pétroliers mais surtout par l’augmentation des salaires sans gains de productivité correspondants qui a entraîné une déformation du partage de la valeur ajoutée. Ce mouvement ayant provoqué de l’inflation va s’inversé en 1982 mais au profit de la rémunération