Les Champs Lexical De La Solitude Sont

mérite plus d'être vécue ( utilisation d'apostrophe « Ô Seigneur, ! ouvrez-moi les portes de la nuit, afin que je m'en aille et que je disparaisse », « Oh ! précaire et provisoire »). Les rythmes des romans sont lent comme pour marqué la solitude, le champs lexical de la mort est omniprésent ainsi que des périphrases renvoyant à la mort (« un beau long voyage », « dans ce pays secret », « les vacances illimitées de la chair des structures et des os »). Ces poèmes sont disposés de façon à ressentir

d'un moment particulier C. Les différents contrastes II) Les différents états d'esprit du poète A. Un poète triste B. Un poète désespéré C. Une envie de mettre fin à ses jours III) L'isolement du poète A. Le champ lexical de l'infini B. Le champ lexical de la solitude C. Un monologue Conclusion Poème étudié: Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant

Zola,1881 ANALYSE DU TEXTE ( BROUILLON) Composition : extrait de roman naturaliste . mort du personnage principal et excipait du roman : fin d'un monde , d'une époque texte narratif ( 3 personnages qui fuient : valorisation de l'horreur et de la solitude de Nana) Rose = témoin de l'horreur" mais part : Nana finit absolument seule Mais paragraphe principal = texte descriptif. Portrait , tableau d'un morte . Aspect pictural Narrateur omniscient, focalisation zéro : Nana vue par Zola . Description

celles de la prison et du tombeau. Une ville abandonnée Champ lexical de la solitude : « Il n’y a personne dans les rues », « les maisons semblent abandonnées », « déserte », « rues silencieuses ». Un paysage livré à « seulement quelques chiens au poil hérissé », qui « grogn[e]nt ». La ville paraît donc hostile à l’étrangère qui nous communique son angoisse au moyen de deux métaphores filées. La prison Champ lexical de l’enfermement : « fermées », « tirés », « grillages »,

perdu dans la nuit », « entre le corps de son ami et ses deux compagnons épouvantés » : il ne peut pas échapper : son isolement reflète sa solitude existentielle : « seul », « abandonné » • Personnification du « sifflet perdu dans la nuit » : contribue à la perte de repères, et reflète sa propre solitude 2. L’histoire, une force qui voue à l’échec et la solitude • Métonymies : fragmentation de l’individu : attaque progressive à la dignité humaine : « Katow le faisait à cette main chaude qui reposait

Vous ferez le commentaire du poème « Plainte » de Charles Cros en vous aidant, par exemple, du parcours de lecture suivant : a) L’opposition de deux mondes incompatibles. b) La désillusion et la solitude du poète. Introduction Le poète, et plus encore le poète amoureux, se console dans l’écriture, sorte d’exutoire de ses désillusions sentimentales. Ainsi, Charles Cros, dont la vie fut une suite de malchances, fait de ses poèmes les confidents

froideur (cruauté) + champ lexical de la douleur en rapport avec la mort. → description décousue, « son oeil », « sa jambe » => elle apparaît irréelle, phantomatique. → description vestimentaire et physique → une femme agile et noble, plaisante à regarder => beauté idéale. → « ciel livide où germe l'ouragan » => désire qu'elle provoque chez le narrateur associé à une idée de mort. 2.allégeance de l'inaccessibilité parallèle à l'idéal. → opposition poète (spleen, solitude)/femme (passe) =>

nature à l’état brut. Avec le terme « brûlant » (l.2) on peut en déduire que la scène se déroule en été, lorsque le soleil est à son Zénith. C’est le soleil qui donne de la lumière, il est à l’origine de la fête de la nature. On peut constater le champ lexical de la lumière : « soleil » (l.2), « lumière » (l.8), « étinceler » (l.9). On a une personnification à la ligne 2 : « l’œil brûlant du soleil » entre l’œil et le soleil. Ceci aboutit sur une métaphore entre l’œil qui est rond et le soleil qui forme

Personnages de hauts rangs : Créon le Roi + Ismène, Antigone des princesses. ~> Omniprésence de la mort : « mort » clôt le prologue. Champs lexical. ~> La fatalité : héros qui ne peut rien contre son destin. + Solitude : Créon Antigone et le messager sont en retrait « pense » « médite » « rêve » = Enfermés les autres personnages ne peuvent rien faire pour eux. Antigone. Solitude perceptible dans sa position et son physique : elle devra mourir. Créon. Impossibilité de lutter contre le destin. Le messager

floué par l'époque qu'il traverse : une époque de désillusion marquée par les échecs comme celui de la Révolution de 1830. En prenant le contre-pied de l’idéal du mouvement des Lumières, Rousseau et Bernardin de St pierre expriment le gout de la solitude et la quête d’un refuge au sein de la nature. De son coté, Diderot réclamait une poésie fondée sur la mélancolie des ruines, l’émotion des ténèbres et le silence de la nuit. Influencée par la littérature allemande ou anglaise, une génération d’écrivain