Les Causes Du Rire

Texte 2. Molière, L’Ecole des femmes , 1662 acte II, scène 5, v. 558-576Texte analysé de manière à revoir la méthode du commentaire composé1ere étape. Lire le texte et le situercomédie classique (faire rire et instruire)situation : Arnolphe a appris qu’en son absence, Agnès avait fait la rencontre d’Horace. Il interroge la jeune fille pour essayer de savoir ce qui s’est passé entre les deux. 2eme étape. Formuler la problématiqueEn quoi cette scène est-elle

JoLIE 2:2 (2009) PEDAGOGIE ET HUMOUR : LE RIRE COMME MOYEN DE CONSTRUCTION D’UN PUBLIC ATTENTIF D’UNE SALLE DE CLASSE Christine Escallier University of Madeira, Portugal Abstract Laughter is a phenomenon which achieves a conversion of the negative cline. By the effect “mirror”, humour thus acts on patterns of behaviour. In a more and more anxiogene society (i.e. anxiety producing), laughter has become a means of reducing its tensions. Can the resource to the pedagogy of humour then

et j'ai ma harpe, mon nécessaire à dessin, et des livres comme au couvent ; si ce n'est que la mère Perpétue n'est pas là pour me gronder, et qu'il ne tiendrait qu'à moi d’être toujours sans rien faire : mais comme je n'ai pas ma Sophie pour causer ou pour rire, j'aime autant m'occuper. Il n'est pas encore cinq heures ; je ne dois aller retrouver maman qu'à sept ; voilà bien du temps, si j'avais quelque chose à te dire ! Mais on ne m'a encore parlé de rien ; et sans les apprêts que je te vois faire

répondre : il crée la beauté, il procure le plaisir esthétique des sens, il permet de réformer la société (engagement de l’artiste pour défendre certaine causes, critique sociale, action du philosophe comme Montesquieu et le thème de l’esclavage, du poète comme Victor Hugo contre Napoléon III, corriger les mœurs par le rire), il provoque en nous une catharsis, une purification des passions c’est ici ce que fais la tragédie classique (réf. Aristote), l’art révèle la personnalité

ma disposition, & j’ai ma harpe, mon dessin, & des livres comme au couvent ; si ce n’est que la mère Perpétue n’est pas là pour me gronder, & qu’il ne tiendrait qu’à moi d’être toujours sans rien faire : mais comme je n’ai pas ma Sophie pour causer ou pour rire, j’aime autant m’occuper. Il n’est pas encore cinq heures ; je ne dois aller retrouver maman qu’à sept ; voilà bien du temps, si j’avais quelque chose à te dire ! Mais on ne m’a encore parlé de rien ; & sans les apprêts que je vois faire

un second temps, cette fonction distractive va s’effacer au profit d’un réflexion que la littérature implique. La littérature est également un moyen de se détendre à travers l’humour et le rire qu’on retrouve dans tous les genres littéraires. En effet, l’humour et le rire sont souvent utilisés pas les auteurs que ce soit pour aborder des thèmes légers ou pour s’exprimer et faire passer des idées plus facilement. Ainsi, en théâtre, on peut citer « le malade imaginaire » et «

je définirais la notion de violence, qu'est-ce que la violence, ensuite j'énoncerais les causes de la violence ainsi que des guerres à travers le monde et pour finir je vous convaincrais de plusieurs moyens de pouvoir éteindre la violence ou au moins de pouvoir la réduire. Alors donc qu'est-ce que la violence ? La violence est l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance. La violence

les conventions sociales nous incitent peu à peu à devenir plus sérieux et à perdre notre capacité de rire spontanément. Dommage, car il est désormais démontré que l’humour et le rire sont excellents pour la santé. Le rire est un comportement réflexe, exprimant généralement un sentiment de gaîté. Il est essentiellement causé par l’humour, le chatouillement ou le rire lui-même. Cette action de rire est presque indispensable à la vie quotidienne. Aujourd’hui une personne rit en moyenne 4 minutes par

description de la bataille d’une manière ironique, puis de la description des souffrances des populations civiles et enfin que l’extrait sert à critiquer à la fois la philosophie optimiste et la guerre. Tout d’abord, Candide utilisait l’ironie pour rire des situations dangereuses. Son savoir encyclopédique et sa philosophie optimiste permettaient de se moquer de la guerre : << Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. (…) environ neuf à dix mille coquins qui

ensuite : « il fait le petit dieu » « il lui faut des maîtresses » « ne veut s’adresser qu’aux filles de bon lieu ». Lise est trompée par l'emploi de Clindor dont l'origine diffère de celle de Lise : « Il se dit riche et noble, et cela me fait rire » est à rapprocher du vers « Je ne suis que servante : et qu’est-il que valet ? ». Le futur du deuxième vers annonce l'action à venir « il sera puni ». Le futur se retrouve encore dans les deux derniers vers : « nous verrons ce soir » dont l'ironie