Les Belles Soeurs

bien rôdée, qu’elle obéit à des codes, des étapes ms que les actrices ne peuvent jamais aller « jusqu’au bout » ce que d’ailleurs S reproche à Cl : « Je ne peux pas t’achever » ( dc te tuer par jeu ou véritablement ?). Page 23, on apprend qu’elles st sœurs, que S est l’aînée (p. 30) et p. 24 qu’elles appellent « cérémonie » la sc qu’elles viennent de jouer = terme relevant à la fois du voc sacré ( cérémonie religieuse) et par voie de fait du voc théâtral si l’on considère les origines religieuses du

étonnant car Genet est alors un auteur en marge, peu connu, (les Bonnes est sa première pièce jouée), également par le sujet de la pièce, provocant pr un public bourgeois. En effet les contemporains ont pensé à un fait divers, le meurtre sauvage par les sœurs Papin de leur patronne et de leur fille. Et la pièce a provoqué bcp d’hostilité et de critiques, tout en créant un événement théâtral. Au début de la pièce, l’auteur commence par bousculer les codes du théâtre en brouillant les pistes. En effet, les

contenance et de la diversité des personnages féminins présents, et comme il existe différentes versions de ces mêmes contes, nous avons opté pour les versions suivantes. Cendrillon : une jeune fille est maltraitée par sa belle-mère et ses deux demi-sœurs. Elles lui interdisent de partir au bal, une fée marraine apparaît et la transforme en une somptueuse princesse afin qu’elle puisse rencontrer le prince charmant. La Belle au bois dormant : le roi invite des fées-marraines au baptême de sa fille

conséquences radicales pour les deux sœurs. Premièrement, la mère s’intéresse à sa cadette lorsqu’elle remarque les perles qui lui sortent de la bouche, elle l’appelle pour la première fois « ma fille », quant à l’ainée elle est chassée de chez elle et « va mourir au coin d’un bois ». La fin est donc le jugement des sœurs, l’ainée meurt et la cadette se marie avec le fils du Roi et connait désormais le bonheur. En somme, les événements et les destins des deux sœurs caractérisent la morale de l’histoire

propriétaire, mère d’un petite fille Jeanne. Georges-Alexandre et Berthe sont mes grands parents paternels. Installés à Dives sur mer, ils eurent cinq enfants, dont mon père Georges, son frère aîné Gaston , grand blessé de la guerre 1914, ses trois sœurs, Antoinette, Louise et Andrée, toutes trois devenues restauratrices fortunées. Mon grand père travaillait aux bureaux de l’usine de cuivre et ma grand-mère à l’hostellerie Guillaume. Il mourut en 1907, Berthe se remaria en 1911 à Gaston Lacour. Elle

Maupassant reussit conjointement dans le milieu journaliste dont il fait la stire dans Bel-Ami (1885). Apres Mont-Oriol (1887) et Pierre et Jean (1889), Maupassant depeint la vie mondaine en s'inspirant de ses propres aventures dans Fort comme la mort (1889) et Notre Coeur (1890). Les portes de la haute societe lui sont desormais ouvertes, il frequente les salons, a de nombreuses maitresses et voyage beaucoup sur son yacht Le Bel-Ami, rapportant ses souvenirs dans des nouvelles comme Sur l'eau (1888). Cependant

des jours à jamais beaux » (vers 9). L’emploi de ce procédé a pour effet de comparer les jeunes années à un temps paisible et ravissant. Il attribue une certaine beauté à cette période de la vie. D’autre part, le poète se remémore des voix de ses sœurs dans leur ancienne villa. Plus précisément, il utilise la personnification : « Quelquefois je suis plein de grandes voix anciennes » (vers 1) afin de clarifier ou concrétiser ces voix. En plus de mentionner la jeunesse, Nelligan donne beaucoup de place

s’asseyait dans les cendres : cucendron = cul de cendre, devenu cendrillon, surnom moins péjoratif donné par une de ses sœurs) supporte tout avec patience et sans se plaindre (cf Grisélidis) Un jour, le fils du roi invite à son bal toutes les jeunes filles nobles de la région, et Cendrillon, exclue de part sa situation familiale et non pas sociale, aide avec beaucoup de bonté ses sœurs à se préparer . Mais le jours du bal, elle ne peut s’empêcher d’être triste, aussi, sa marraine la fée, lui offre-t-elle

pantoufle de vair, la citrouille, le carrosse. Restent le conte de Pérault et celui de Grimm, réécrits et réinventés sous la plume insolente de Joël Pommerat. Tout y est pourtant. Cendrillon, le bonne à tout faire s'appelle Sandra, ses affreuses demi-sœurs lui ont trouvé un surnom : Cendrier. Il y a la marâtre, une petite-bourgeoise vulgaire, la fée, marginale, drôle, humaine et le prince, bien sûr ! Porteur d'un lourd secret, il découvre le bonheur à la fin du spectacle magnifique. Intention de

Préjudice » est tiré d’après le roman de Jane Austen. Dans l’Angleterre de la fin du 18ème siècle, les cinq sœurs Bennet- et parmi elles la très volontaire Elizabeth et la jeune Lydia-ont été élevées par leur mère en vue de servir un seul dessein dans l’existence : se trouver un mari. Quand un riche célibataire élit résidence dans une demeure du voisinage, les Bennet se réjouissent : nul ne doute que les sœurs trouveront un bon parti parmi les nombreux amis du nouveau voisin. Mais lorsque Elizabeth fait la