Les Belles Soeurs

même pas joué à la cour. C'est sur cette pièce, à la quatrième représentation, que Molière va vivre ses derniers instant avant de mourir chez lui, le 17 février 1673. Résumé « Les Femmes Savantes » Dans une famille de « bon bourgeois », deux soeurs se querellent au sujet du mariage de la cadette, Henriette. Sa soeur Armande, convertie entièrement à la philosophie, refuse totalement d'être en faveur d'Henriette qui lui à pris le coeur de Clitandre. Elle fera tout pour empêcher cette union. Les

de Chrystale, sœur d’Henriette, nièce d’Ariste et de Bélise. Ariste : frère de Chrystale et de Bélise, oncle d’Armande et d’Henriette. Bélise : sœur de Chrystale et d’Ariste, tante d’Armande et d’Henriette. Clitandre : amant d’Henriette. Trissotin : bel esprit. Vadius : savant. Martine : servant de cuisine. Lépine : laquais. Julien : valet de Vadius. Le Notaire : s’occupe des mariages. Analyse de l’oeuvre : Les femmes savantes, de Molière, est une pièce de théâtre écrite en 5 actes. Elle appartient

préface de sa pièce Les Bonnes dont la première mise en scène par Louis Jouvet en 1947 provoque un scandale. Probablement inspiré d’un fait divers survenu le 2 février 1933, un crime atroce qui a longtemps défié la chronique : deux domestiques les sœurs Papin assassinent de façon sauvage leur maîtresse et sa fille. La source d’inspiration de Genet peut aussi être la chanson qu’a créée Jean Cocteau Anna la bonne. On peut penser que ces deux éléments ont joué un rôle dans la création de la pièce Les

frères, ses deux soeurs, et une tante dont la fortune 20. consistait en pensions, vivaient sur la petite terre de Rastignac. Ce domaine d'un 21. revenu d'environ trois mille francs était soumis à l'incertitude qui régit le produit tout 22. industriel de la vigne, et néanmoins il fallait en extraire chaque année douze cents 23. francs pour lui. L'aspect de cette constante détresse qui lui était généreusement cachée, 24. la comparaison qu'il fut forcé d'établir entre ses soeurs, qui lui semblaient

Colombe envers Marin Marais puisqu’il lui fait entendre des compositions qu’il ne jouait jusqu’alors que pour lui-même. Mais ce n’est pas seulement entre le maître et son disciple que s’exerce une véritable compétition mais également entre les deux sœurs, Toinette et Madeleine, au nom de la musique en premier lieu. Quand l’aînée obtient en effet le privilège d’apprendre la viole avec son père, l’autre réclame ardemment des leçons. Mais on observe également une rivalité sentimentale : quand l’une est

se reconnaissent donc à la couleur de leurs rubans. 4 Le mot « masque » signifie ici « danseur masqué ». TEXTE 4 – Charles PERRAULT, « Cendrillon », Histoires ou contes du temps passé, 1696 Cendrillon est maltraitée par sa marâtre et ses deux sœurs, qui lui interdisent de se rendre au bal donné par le fils du roi ; elle s’y rend tout de même, grâce à l’aide de sa marraine, une fée, qui la dote pour la soirée d’un carrosse, d’une robe et de chaussures magnifiques. Il se fit alors un grand

Deux femmes richement vêtues me sont apparues. L’une portait la robe des Perses, l’autre celle des Dôriens, Elles étaient plus irréprochables par la majesté de leurs corps et beaucoup plus belles que les femmes qui vivent maintenant. C’étaient deux sœurs d’une même race. Elles habitaient, l’une la terre de Hellas, qui était son partage, l’autre la terre des barbares. Elles se querellaient, à ce qu’il me sembla. Mon fils, voyant cela, les retenait et les apaisait. Il les mit toutes deux sous le même

regarder » et à la « protéger ». Cendrillon reste solidaire à sa mère (« reste bonne et pieuse ») en acceptant l’avilissement induit par ses nouvelles belles-sœurs et belle-mère. Elles l’obligent à travailler (« il lui fallut faire […] de durs travaux »), l’humilient (« voyez un peu la fière princesse, comme elle est accoutrée ! », « les deux sœurs lui faisaient toutes les misères imaginables, se moquaient d’elle ») et la font dormir dans l’âtre (« [Cendrillon] devait s’étendre près du foyer dans

Adieux de l'hôtesse arabe Puisque rien ne t'arrête en cet heureux pays, Ni l'ombre du palmier, ni le jaune maïs, Ni le repos, ni l'abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeune sein De nos sœurs, dont, les soirs, le tournoyant essaim Couronne un coteau de sa danse, Adieu, voyageur blanc ! J'ai sellé de ma main, De peur qu'il ne te jette aux pierres du chemin, Ton cheval à l'œil intrépide ; Ses pieds fouillent le sol, sa croupe est belle à voir, Ferme, ronde et luisante ainsi qu'un

la comparaison qu'il fut forcé → modalisation, verbe « sembler » d'établir entre ses sœurs, qui lui s'oppose au verbe « réaliser », semblaient si belles dans son apparence /réalité enfance, et les femmes de Paris, qui lui avaient réalisé le type d'une beauté rêvée » (l. 25) → Le narrateur montre par l'emploi des verbes que la perception d'Eugène a évolué, la beauté provinciale et simple de ses sœurs vient s'opposer à la beauté idéale des parisienne. Déception, rejet de son milieu d'origine