Les Belles Soeurs

souviens de cette vieille maison située au fin fond du Cher, dans un petit village prénommé « la Celle » logé près de la colonne du centre de la France, ou nous allions, mes sœurs et moi avec nos parents passer des vacances. Cette maison sentait bon la campagne, Elle avait pour moi, un parfum d’aventure, et avec mes sœurs, nous allions nous replonger en plein 19 siècles, vivre d’une manière nouvelle et ce en toute liberté. Ma grand-mère, nous attendait sur le pas de la porte, emplie d’un

d’une galerie de portraits : David a en effet représenté de nombreux personnages de l’époque comme le cardinal-légat Caprara, l’architrésorier Lebrun, Eugène de Beauharnais ou encore la famille de Bonaparte comme Joseph ou Louis Bonaparte et les belles sœurs de Napoléon. Le jeu de lumière organise et rythme la composition ainsi que l’accord vert-rouge des velours. David distribue les masses grâce à un éclairage contrasté, une fine orientation de la lumière, concentrée sur les premiers rôles, s’atténuant

extrait, le maître à beau être socialement supérieur, c’est ici la servante qui fait preuve de plus d’intelligence. Jeu de l’amour et du hasard : Scène 1 de l’acte III Dans cette scène du jeu de l’amour et du hasard, Arlequin, le serviteur est bel est bien, soumis face à son maître Dorante. En effet Arlequin parle à son maître d’un air contrit pour s’attirer les bonnes grâces de son maître : « Mon très honoré maître », lorsque son maître est courroucé, il demander pour aller « chercher le bâton »

condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique.  b)présentation du texte : deux domestiques, Claire et Solange qui sont également sœurs jouent une pièce de théâtre dans le théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire.  c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ?  d)Plan : Nous

L1-2 : « les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d’être constituées en Assemblée Nationale » = déclaration d’intention et requête polémique. - phrase se détache visuellement, par la manière dont le texte est présenté, phrase paragraphe . - énumération sur les différents rôles de la femme : « les mères, les filles, les sœurs » elle montre les auteurs : au début

condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique. 
b)présentation du texte : deux domestiques, Claire et Solange qui sont également sœurs jouent une pièce de théâtre dans le théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire. 
c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ? 
d)Plan : Nous

par Boileau, si nous prenons le sens figuré de la tragédie issu du moyen français, à savoir « évènements ou ensemble d’évènements funestes », nous pouvons bien sûr évoquer le crime des Sœurs Papin, crime qui a vraisemblablement inspiré Jean Genet même s’il l’a nié. Je vous le rappelle en quelques mots : deux sœurs travaillaient au service d’une famille bourgeoise, comme Claire et Solange travaillent au service de Madame et Monsieur, elles étaient sans histoire et travaillaient bien et un soir, elles

Avril 1880 : Maupassant participe à la guerre franco-prussienne 1885 : Publication de Bel Ami 13 Novembre 1889 : Mort du frère de Maupassant 6 Juillet 1893 : Mort prématurée Œuvre principales de Guy de Maupassant : La maison Tellier (1881) Mademoiselle Fifi (1882) Le conte de la Bécasse (1883) Une vie (1883) Au soleil (1884) Les sœurs Rondoli (1884) Bel ami (1885) Mont-Oriola (1887) Le Hora (1887) Pierre et Jean (1888) Sur l’eau

son voilier « Le Bel-Ami ». Mais peu à peu, Maupassant éprouve un sentiment de malaise et est victime d’hallucinations (au début de l’année 1891). Il tente de se suicider et est interné dans la maison de santé du Docteur Blanche. Il y meurt en juillet 1893. II : ses œuvres. -Une vie en 1883 -Bel-Ami en 1885 -Pierre et Jean en 1887-88 -Boule de suif en 1880 -Les Contes de la bécasse en 1883 -Le Horla en 1887 -La maison Tellier 1881 -Mademoiselle Fifi 1882 -Les soeurs Rondoli 1884 III :

sienne. De cette union naît très vite une petite fille que Grisélidis veut elle-même nourrir. Mais le prince devient soupçonneux, il ne croit pas à la sincérité de son épouse et pour se protéger il la tient à l’écart de la cour, lui supprime ses belles toilettes, ses bijoux et la retient enfermée dans sa chambre. Grisélidis accepte sans murmurer les décisions de son mari ce qui ne fait qu’accroître ses soupçons. Aussi pour l’éprouver davantage, décide-t-il de lui retirer sa fille, la place dans