Les Aventures de Télémaque

Ulysse est gardé par la nymphe Calypso souhaite rentré dans son île Ithaque ou l’attend sa femme (pour faire patienter les prétendants, Pénélope dit aux prétendants d’attendre qu’elle termine de tisser son linceul, qu’elle défait chaque nuit. Télémaque tente de retrouver son père à l’aide de Ménélas et Nestor (anciens combattants de la Guerre de Troie). Les dieux le soutienne et oblige Calypso à le relâché, mais Poséidon mécontent, le pousse sur plusieurs îles. Il séjourne chez une magicienne qui

de bouchon de cire dans les oreilles. C'est un véritable supplice pour lui mais n'a pas d'autre choix que d'écouter. D'une certaine manière il a su combattre ces sirènes car nous pouvons voir qu'il n'y a pas eu de morts, chose assez rare dans les aventures d'Ulysse. Mais aussi car il a pris plaisir à écouter ce chant sans mourir grâce à ses compagnons, qui sont encore une fois ses muscles, puisqu'Ulysse leur demande de resserrer ses liens. B/ …Aux monstres impitoyables qui laissent Ulysse de glace

mains hardies » (V, v432-435) La présence des récits enchâssés confirme aussi la dimension épique de l’Odyssée. A l’action principale qui est le nostos d’Ulysse s’ajoute le récit qu’il fait de ses aventures et le récit de l’aède Démodocos. Ulysse est grandi grâce au récit qu’il fait de ses aventures aux phéaciens, notamment par l’épisode du Cyclope qu’il arrive à tuer grâce à sa ruse « Or voici le projet que mon cœur jugea le plus sage » (IX, v318). Lorsque Ulysse pleure en écoutant le chant

aristocratie provinciale2, mais surtout annonçant le Figaro de Beaumarchais : « Si le Ciel l'eût voulu, je serais fils d'un prince3. » Candide est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe, un Télémaque d'un genre nouveau. L'onomastique4, en matière d'interprétation des textes voltairiens, se révèle souvent féconde. Le mot « candide » vient du latin candidus qui signifie blanc. Le choix d'un tel nom indiquerait l’innocence du héros, voire sa naïveté

étages (le contenu dépasse le concret) 2. LE ROMAN HISTORIQUE ET GALANT (viteški, udvorni) les conventions et les platitudes (banalnosti, klišeji) les beaux sentiments et les douces émotions (la sentimentalité au lieu de la psychologie) les aventures extraordinaires, enlèvements, disparitions, dégiusements (superficiel) 3. LE ROMANESQUE (suos le couvert de la vérité historique) les (pseudo)mémoires comme la forme la plus convenable (l'invention artistique n'était pas une qualité); l'invention

l’éducation maternelle, et parce que Dieu est indifférent à l’homme. « Le Mal » Seule la nature est épargnée. Elle est le véritable refuge de l’homme et le symbole de l’amour, de la liberté et de la créativité. « Le Bateau Ivre » Poésie hallucinée. Aventure poétique du voyant. Paysage lointain. Néologisme. Univers mystique. PAUL VERLAINE Né à Metz. Poète marginal. Il attribuait son malheur causé en une prédestination, sous l’influence de la planète Saturne. Condamné à l’errance. La personnalité

.......................... …………………………............................................................................................................................. iii. Le baron perché et les Lumières Quels sont les points communs entre les aventures de Côme et les principes défendus par les Lumières ? …………………………......................................................................................................................... .…………………………...............................................

élèves avec le contexte de l’œuvre › Faciliter l’entrée en lecture et la compréhension du texte I. Découverte du livre • Quel est le titre de l’ouvrage ? • En quelle langue a-t-il été écrit ? Et par qui ? • De quel personnage raconte-t-il les aventures ? • Trouvez le nom en grec d’Ulysse. De quoi vous apercevez-vous ? II. Recherche documentaire • Recherchez dans votre livre à quelle époque vivait l’auteur. Que sait-on de lui ? • Ulysse est un des héros d’une guerre célèbre : laquelle

selon l'esprit néo-précieux qui traite de façon « enjouée » les « grands sujets »[9], tout ce qui fait le patrimoine culturel des écrivains classiques et le travestit en œuvres originales et décalées par rapport à l’usage. C'est ainsi qu'il écrit un Télémaque travesti en 1714-1715, (où il évoque la misère des huguenots, puis une Iliade Travestie en 1716, sa quatrième œuvre publiée et la première signée « M. de Marivaux en 1718»[1]. Il est considéré comme un brillant moraliste, sorte de nouveau La Bruyère

la portée des enfants, par le biais d’adaptation d’œuvres plus anciennes. La naissance de la littérature de jeunesse n’est pas contemporaine, les spécialistes de l'illustration jeunesse situe généralement sa naissance en 1699, avec le Voyage de Télémaque de Fénelon inspirée de l’Odyssée d’Homère et de figures mythologiques de l’antiquité grecque. Cependant, quelques repères marquants existent dans l’histoire du livre et de l’illustration : Künst und Lehrbüchlein (art et apprentissage) : 1er