Les Armes De La Douleur

mot « homme » dans cette phrase, celle de patient, bien entendu, traduit l’incapacité de l’homme à comprendre son existence et à acquérir son bonheur. Le même effet est rendu par le même procédé au deuxième vers de la deuxième strophe « ces soldats sans armes qu’on avait habillés pour un autre destin ». Par ailleurs, l’anaphore consistant en la répétition du mot « ni » montre que tout échappe à l’homme. La négation, quant à elle, « rien n’est jamais acquis à l’homme » rend absolue cette vision du poète

lignes 35, 42, 51, 53 • « dire » (l. 34, 36, 41) et « dites-la » (l. 38) - Comparaison et métaphores simples (ordinaires) mais éloquentes et chargées de violence : • « comme ces petites bombes » (l. 21) ( qui vient développer « étrangeté des armes » l.20) : une bombe lacrymogène (= qui fait pleurer) utilisée pour se défendre contre un agresseur, simple d’utilisation. Or faire pleurer l’autre signifie le « toucher », toucher sa faille, avoir accès à sa souffrance, provoquer une émotion forte

Nationaliste . Le cheval placé au centre symbolise le peuple opprimé et les Républicains. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur et la douleur . la lance qui transperce son flanc rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux . La mère à gauche est torse nue et tien son enfant mort dans ses bras , la douleur est exprime par la langue pointue comme un couteau . Cette partie du tableau rappelle un événement religieux , Marie tenant Jésus dans ses bras et

travers ce mythe, Pierre de Marbeuf explique que l'amour est crée par la mer. Mais que cet amour devient si fort qu'il s'embrase, comme un feu, mais un feu si puissant, que l'eau ne peut l'éteindre. L'amour est incontrôlable. -champs lexical de la douleur : « craindre », « souffrir » « douloureux » « larmes »... Jeu sur les rimes : « partage »/ « orage » -L'auteur explique néanmoins dans le deuxième quatrain que l'amour est essentiel : Il continue la métaphore filée de la mer et de l'amour en

leurs enfants (vivants et à naître) évoquent Guernica et 2 enfants effrayés, un aux bras de sa mère, l’autre se dissimulant vainement derrière le dos de sa mère. 2) Ce que représentent les titres proposés : a) La douleur : Ce détail du tableau représente bien la douleur car ont peut bien voir que les personnages soufrent car ils vont ce faire tuer. b) L’innocence : Il ya bien de l’innocence dans ce détail de tableau car ils sont dénudée et en plus de l’innocence aussi

méconnaissables, les chairs paraissent déchirées, le chaos est omniprésent... 1 ) Au centre est situé le cheval, il s'agit en réalité plus exactement d'une jument . L'animal est blessé son corps est désarticulé, sa langue à forme de couteau symbolise la douleur, sa robe avec ces poils bien alignés nous rappelle la presse, moyen d'information principale à l'époque, (son flanc est aussi transpercé d'une lance). On pourrait ne pas comprendre pourquoi placé une simple jument au centre de ce tableau, mais cela

confidente de Jocaste. Attale, confident de Créon. Un soldat de l’armée de Polynice. Gardes. La scène est à Thèbes, dans une salle du palais royal. ACTE premier Scène 1 Jocaste, Olympe Jocaste Ils sont sortis, Olympe ? Ah ! mortelles douleurs ! Qu’un moment de repos me va coûter de pleurs ! Mes yeux depuis six mois étaient ouverts aux larmes Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ? Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais, Et m’empêcher de voir le plus noir des forfaits

par Hitler afin de soutenir le général Franco. Le 26 avril 1937, jour de marché, quatre escadrilles de la légion Condor, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L’attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Apres le massacre

travers la faible présence du pronom personnel « vous », tout comme la fonction métalinguistique qui se lit à travers se vouvoiement de politesse. La fonction expressive, ou émotive se révèle dans le champ lexical des sentiments « chagrin, joie, douleurs, plaisir, indignais, amusais ». La fonction conative ou impressive est davantage présente : Merteuil cherche à impressionner Valmont, ce que l’on remarque à travers les deux interrogations oratoires des premières lignes, mais aussi le rappel à l’admiration

il ne fait que de décrire sa douleur. b) Un homme fragile Tout au long du texte le narrateur montre toute la douleur qu'il a en lui « rideau de larme » « mes yeux douloureux ». Mais la partie qui semble le plus décris et donc le plus douloureux semble le visage « yeux » « cils » « paupières » « sourcils ». Mais on voit aussi que le narrateur veut comparer sa souffrance vec des armes similaire au couteau de l'arabe « glaive » «lame » « épée », pour montrer que ces armes la sont supérieurs au couteau