Les Armes De La Douleur

Musset peint le poète en pélican et affirme qu'aux déclarations des poètes "il pend toujours quelques gouttes de sang...; Théophile Gautier décrit le poète comme un pin meurtri dont le "sang ..coule goutte à goutte". Ne célébrer que la poésie de la douleur , c'est s'enfermer dans un règne des gouttes de sang ...Pour moi , la poésie doit au contraire nous conduire à l'inconnu , nous surprendre et nous étonner sans cesse ! Certes , les poèmes d'Henri Michaux sont déroutants : que cachent les points se

un jour de marché à Guernica .La petite ville est la cible d’un bombardement aérien allemand .A la demande de Franco ,quatre escadrilles de la légion Condor bombardent la ville. Un des objectifs de ce bombardement était de tester leurs nouvelles armes .L’objectif n’est pas militaire, le but est bien de tuer un maximum de civils car, dans la ville de Guernica, ne restent que les femmes, les enfants et les vieillards. Picasso, horrifié par l’évènement, se met immédiatement à la réalisation de son

guerre et de la boue. Le rouge représente le sang, le ciel tourmenté ou les soldats partent combattre, le feu, la violence et la mort. -Panneau de gauche Des soldats en armes portant des sacs à dos et des armes tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume Il est possible d'identifier là , malgré la brume, les armes et les casque portés par les soldats de la guerre de 14-18, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d’un même pas vers le

explicite pour l’orage en mer/ en amour peut signifier des tourments, des disputes etc. “Craindre” = l’attente d’un danger “Hasard” = on ne sait pas ce qu’il peut se passer aussi bien en amour que dans un voyage en mer Fournir des armes: se préparer à se battre b. La possibilité du naufrage “L’on s’abîme en l’amour aussi bien qu’en la mer” = fait de couler/de s’abîmer (se faire mal, se blesser) “naufrage” : naufrage dans l’eau (“craindre les eaux”) / naufrage amoureux

femmes et les enfants sont nus sans défense et montrent de l’innocence, de la tendresse, et la terreur. Les couleurs froides des visages (gris et bleu), expriment la douleur, la terreur. Ces civils s’opposent aux soldats dont les visages sont cachés et représentés avec des lignes droites et cassantes. Ils sont casqués, et possèdent des armes très grandes avec des trajectoires variables. Les carapaces symbolisent l’aveuglement idéologique. Le peintre montre la déshumanisation des guerriers. A droite, un

avant sa souffrance 5 : non seulement sa souffrance physique, mais aussi sa souffrance morale. 6 [§ développant l’analyse de détail du premier aspect de l’axe 1] Le poète dresse un portrait de lui qui nous le présente ressentant une très grande douleur physique 7 . En effet, notons qu’il utilise le champ lexical de la souffrance physique, pour susciter la pitié de la Dame : « malaise » (v. 4), « blessé à mort » (v. 8), « mauvais traitements » (v. 28), « supporter » (v. 39). De plus, la question

points communs avec les deux autres œuvres. III)Description du contexte historique Guerre civile Espagne entre les Facistes et les Républicains suite au coup d'état du Général Franco.- Il permit à Mussolini et à Hitler de tester leurs armes sur les villes détenues par les Républicains. Le lundi 26 avril 1937, jour de marché, quatre escadrilles de Junkers Ju 52 de la Légion Condor allemande ainsi que l'escadrille VB 88 de bombardement expérimental (composée de Heinkel He 111 et de Dornier

parfois utilisés en tant que messagers, porteurs ou cuisiniers. De plus, il s’avère qu’ils sont facilement contrôlables et bon marché : ils mangent, boivent et fument peu et n’obtiennent souvent aucun salaire. Ainsi, tous les moyens sont bons pour les armés de rallier de nouveaux soldats à leur cause et d’obtenir leur obéissance. Ils s’appuient simplement sur le chaos social que connait le pays et sur leur fragilité psychologique afin de leur promettent une vie meilleure et héroïque. Dans le cas du petit

renforcement par l'anaphore de « que »). On remarque le champ lexicale de la guerre, du combat (« ennemi », « soldats », « vainqueurs », « généraux », « cadavres »...) ; de la souffrance (« souffrance », « tressailles », « saigne », « douleur », « tortures »...) ; des armes (« couteau », « sabre », « feu », « guillotine », « hache »...). Ces champs lexicaux sont ceux du champ lexical de l'épopée. La succession d'allégories (« l'Idée », « La Concorde », « Liberté »...), d'anaphores (« Du sang dans les

sont souvent recrutés pour effectuer des travaux de cuisinier, porteurs ou encore messager. Ces gens s’y engagent volontairement mais la plupart sont enrôlés et cette situation est présente notamment en Afrique. Les enfants sont kidnappés par les armés qui les manipulent et jouent avec leur naïveté en leur faisant des promesses faites ou encore parce qu’ils sont orphelin afin de les recruter. Pour l’armée, l’âge importe peu, ce qui leur intéresse, c’est leur obéissance, leur courage, le fait qu’ils