Les Armes De La Douleur

contexte historique : Le 26 avril 1937 la petite ville de Guernica a été bombardée à cause d’un raid aérien allemand envoyé par Hitler qui soutenait le général Franco qui, à cette époque voulait prendre le pouvoir en Espagne. Il voulait tester ses armes dans un seul but de tuer tous les civiles constituer essentiellement de femmes, enfants et de vieillards. Pourquoi Picasso a voulu peindre Guernica ? : Picasso a été horrifié par l’événement. Il se met donc pendant deux mois à la réalisation

Ce poème écrit par Louis Aragon est l'un de mes préférés. Il a également été chanté par plusieurs artistes, dont Françoise Hardy. J'aime le fait que le poète ne cache pas qu'il n'y a pas d'amour sans tristesse et douleur. Une tristesse à laquelle chacun doit faire face. L'amour n'est pas un combat gagné d'avance, je pense que c'est cette idée là qu'Aragon a voulu exprimé dans son poème. " Et quand il croit serrer son bonheur et le broie - Sa vie est un étrange et douloureux divorce - Il n'y a pas

Somalie, Soudan, Sri Lanka, Tadjikistan, Tchad, Timor oriental, Turquie et Yougoslavie. Que fait cet enfant pauvre à qui l'on promet le paradis s'il donne sa vie pour son pays ? Que fait-il si on lui promet de belles bottes, des vêtements, de belles armes pour se sentir en sécurité et une famille remplie d'enfants ? A-t-il la possibilité de refuser l'enrôlement alors qu'à son âge il est totalement naïf et inconscient du danger qui le menace ? Les armées savent manœuvrer efficacement pour recruter

voici venir l'Infante. L'INFANTE, CHIMENE, LEONOR, ELVIRE L'INFANTE Je ne viens pas ici consoler tes douleurs; Je viens plutôt mêler mes soupirs à tes pleurs. CHIMENE Prenez bien plutôt part à la commune joie, Et goûtez le bonheur que le ciel vous envoie, Madame: autre que moi n'a droit de soupirer. Le péril dont Rodrigue a su nous retirer, Et le salut public que vous rendent ses armes, A moi seule aujourd'hui souffrent encor les larmes: Il a sauvé la ville, il a sauvé son roi; Et son

faiblesse même. En effet, les autres animaux ont des forces suffisantes pour se défendre; tous ceux qui doivent être vagabonds, et à qui leur férocité ne permet pas de vivre en troupes, naissent pour ainsi dire armés, au lieu que l'homme est de toute part environné de faiblesse, n'ayant pour armes ni dents ni griffes; mais les forces qui lui manquent quand il se trouve seul, il les trouve en s'unissant avec ses semblables; la raison, pour le dédommager, lui a donné deux choses qui lui rendent sa supériorité

déshumanisés, comme des animaux Champs de bataille présentée comme un carnage Champs lexical de la mort-putréfaction(« consommés »,« carcasses », « squelettes », « boucheries ») Champs lexical de la mort des hommes + destruction (accumulation : « armes rompues, tambours défoncés, lambeaux de cuirasses et d'uniformes, étendards déchirés, dispersés entre des troncs d'arbres coupés à quelques pieds du sol par les boulets ») Accumulation de participe passé (ils sont soulignés) , déchires, défoncés

appris la nouvelle de ce massacre par les journaux. On trouve aussi un peu de bleu foncé qui traduit le deuil. Ce tableau est constitué de figure humaine et animale : L’expression : toutes les bouchent sont ouvertes et expriment la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel Le soldat : au sol, ce trouvent un soldat démembré, dont le corps est morcelé. Ses bras en croix évoquent un crucifié, mort pour avoir pris la défense de la liberté. Il nous fait penser à Jésus

par millions). → Leur but est de chercher de l’or Indiens tués par brochette de 13 (=> pour honorer le Christ qui avait 12 disciples + lui-même) / des fois on les pendait par les pieds / on les brûle, on les noie. * Les Indiens étaient sans armes * Les indigènes (description) : beaux, intelligents, pacifiques (selon le dominicain Bartolomé de Las Casas) Le peuple (Indiens) agonise. → sont tués à cause de leur péchés La terre est « faite » pour être chrétienne → « tout les peuples sont

amaigris, creusé par la douleur, mains et pieds abimés, chairs grises et meurtries par les clous… Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format gigantesque pour susciter l’émotion Description Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par

de son Livre I, en 1668. Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé marchait à pas pesants, Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée. Enfin, n'en pouvant plus d'effort et de douleur, Il met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir a-t-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le