Les Arbres Victoo

l'conseil fiscal C'est voir deux amants Qui lis'nt le journal C'est voir sa maman Chaqu' fois qu'on s'voit mal LA MELANCOLIE C'est revoir Garbo Dans la rein' Christine C'est revoir Charlot A l'âge de Chaplin C'est Victor Hugo Et Léopoldine LA MELANCOLIE C'est sous la teinture Avoir les ch'veux blancs Et sous la parure Fair' la part des ans C'est sous la blessure Voir passer le temps C'est un chimpanzé Au zoo d'Anvers Qui

peut rien y faire, par exemple dans son poème Elsa (sa femme et en même temps sa muse) veut calmer l’incendie mais elle ne cesse de voir la mort dans son miroir, la mort c’est peut être une issus sans vraiment l’être car on quitte ceux qu’on aime. Victor Hugo dans Mors nous évoque une vie après la mort, car il nomme des anges et des âmes, pour Hugo la mort c’est une issue de la vie donc tout comme Francis Jammes il faut se dire que la mort n’est qu’une scène d’un long scénario peut être sans fin.

S U J E T 15 POLYNÉSIE FRANÇAISE SÉRIE COLLÈGE • JUIN 2006 Victor Hugo « Vieille chanson du jeune temps », dans Les Contemplations 1831 5 J’étais froid comme les marbres ; Je marchais à pas distraits ; Je parlais des fleurs, des arbres ; Son œil semblait dire : « Après ? » La rosée offrait ses perles, Le taillis ses parasols ; J’allais ; j’écoutais les merles, Et Rose les rossignols. Moi, seize ans, et l’air morose. Elle vingt ; ses yeux brillaient. Les rossignols chantaient Rose

rien ne s’était passé » ligne 20, prouvent qu’elle ne veut pas faire y faire attention et qu’elle veut juste rejoindre Steph qui l’attend sur le pont. Au ligne 8, 9 et 10 nous trouvons le champs lexical de l’extérieur avec les groupes nominaux « arbres déracinés », « la chaussée défoncée », « les taches de sang rouillées sur le macadam » ou encore « les rectangles béants et carbonisés des immeubles » relève qu’ou marie s’aventurait, c’était un vrai champ de bataille. Ensuite, nous retrouvons

Luxe, calme et volupté. Les fleurs du mal, 1857 SEQUENCE N°1 : L’hommage a la femme a travers les siècles Victor Hugo : « Vieille chanson du jeune temps » Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ; Je marchais à pas distraits ; Je parlais des fleurs, des arbres Son œil semblait dire : «  Après ? «  La rosée offrait ses perles, Le taillis ses parasols ; J’allais ; j’écoutais

Sonnets, Voyage. Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux ; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués

l'homme, une espèce de maure,Saisit un pistolet qu'il étreignait encore,Et vise au front mon père en criant: "Caramba! "Le coup passa si près que le chapeau tombaEt que le cheval fit un écart en arrière." Donne-lui tout de même à boire ", dit mon père. Victor Hugo,1830 L'affiche Rouge Vous n'aviez demandé ni gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisantsOnze ans déjà que cela passe vite onze ansVous vous étiez servis simplement de vos armesLa mort n'éblouit pas les yeux des

végétation n’apparait presque pas, à part «  de grandes bruyères », une espèce qui fleurit justement à cette saison. Le champ lexical de l’automne est présent dans de nombreux adjectifs : « le jonc flétri », « une feuille séchée », « la cime dépouillée des arbres ». C’est une nature froide ; «  la mousse qui tremblait au souffle du Nord » indique l’absence du soleil. La seule lumière présente , bien faible , est celle de la lune , “ pâle vaisseau “. C’est également une nature hostile , fuie par

l’industrialisaton très forte en Europe et aux Etats unis et les styles traditonnels. • L'Art nouveau se caractérise par l'inventvité, la présence de rythmes, couleurs, ornementatons. Les motfs habituellement représentés sont des fleurs, des plantes, des arbres, des insectes ou des animaux, ce qui permettait non seulement de faire entrer le beau dans les habitatons et la vie quotdienne, mais aussi de faire prendre conscience de l'esthétque dans la nature. Prendre la nature comme référence, c’est alors réagir

celui qui n'y croyait pas », il cherche à montrer la nécessité de l'union de la France pendant la période d'occupation. Ensuite, la poésie nous rapproche du réel quand le poète s'engage pour une cause comme par exemple dans le poème de Mélancholia, Victor Hugo dénonce le travaille des enfants, on perçoit la détermination et la colère du poète à travers les nombreuses exclamations. L'auteur décrit les machines comme des montres, ce qui fait apparaître les enfants comme des êtres innocents, le lecteur