Les Arbres Victoo

par un habile appel à la mythologie grecque. On relève " La Parque t’a tuée"(v11).Pour finir, dans ce sonnet, la mort et la nature sont sans cesse évoquées. On relève "branche"(v1),"la rose"(v1),"fleur"(v2),"feuille"(v5), "les jardins"(v6), "les arbres","feuille à feuille"(v8), "lait"(v13), "fleurs"(v13)et "roses"(v14) et le champ lexical de la mort. Or on sait que la nature, elle ne meurt pas, elle renaît au printemps "au loi de mai"(v1).Cela donne encore une sorte d’immortalité à la défunte, une

et que ton cœur adore ! Rome, enfin, que je hais parce qu'elle t'honore ! » — Pierre Corneille, Horace, acte IV scène 5 L’épiphore [Poétique] répétition d'un mot ou d'un vers en fin de strophe « ... Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom Sur toutes pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom... » — Éluard, Liberté La gradation Accumulation de termes ou d'expressions dont l'intensité s'accentue dans

| | | | | Histoire des arts « Le but de l'art est presque divin : ressusciter s'il fait l'histoire ; créer, s'il fait de la poésie. » Victor Hugo | Tanguy HergiboTES | Table of Contents Lorem Ipsum Dolor Erreur ! Signet non défini. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Erreur ! Signet non défini. Aliquam erat volutpat. Erreur ! Signet non défini. Morbi ultrices gravida accumsan. Erreur ! Signet non défini. Mauris suscipit pretium aliquet. Erreur 

;Je les entends chanter, je songe, et je me disQu’ils sont inattentifs, dans leurs charmants tapages,Au bruit sombre que font en se tournant les pagesDu mystérieux livre où le sort est écrit,Et qu’ils sont loin du prêtre et près de Jésus-Christ. Victor Hugo ( 1802-1885 ) Les contemplations , 1856 4 À Aurore La nature est tout ce qu’on voit,Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime.Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit,Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit,Elle

Victor Hugo: Odes et ballades A M. Alexandre Soumet. ODE PREMIÈRE Dictus ob hoc lenire tigres, rabidosque leones. HORAT. AD PISON ES. Mourir sans vider mon carquois ! Sans percer, sans fouler, sans pétrir dans leur fange Ces bourreaux barbouilleurs de lois ! ANDRÉ CH ÉNIER, ÏAMBES. «Le vent chasse loin des campagnes Le gland tombé des rameaux verts ; Chêne, il le bat sur les montagnes ; Esquif, il le bat sur les mers. Jeune homme, ainsi le sort nous presse. Ne joins pas, dans ta folle ivresse

manière de dire à la fois que Sganarelle est bien prétentieux de penser qu’il va le convertir et d’autre part de critiquer violemment les superstitions. En tous les cas, Dom Juan dévalorise clairement le point de vue de Sganarelle. Ph. Campet / Lycée Victor Hugo / Marseille / 2012-2013 - Ensuite vient la célèbre réplique par laquelle il va répondre à la question ouverte de Sganarelle « qu’est-ce donc que vous croyez ». C’est la formule : je crois que deux et deux sont quatre Sganarelle et que quatre

jusqu’à une fenêtre, à la hauteur d’une lance. Il nageait en eau profonde […] il gravissait tout droit une montagne […] pour s’exercer la poitrine et les poumons, il criait comme tous les diables […] entendu jusqu’à Montmartre […] depuis la porte Saint-Victor […] pour fortifier ses muscles, on lui avait fait de gros saumons de plomb, pesant chacun huit mille sept cents quintaux […] il les tenait ainsi, sans bouger, trois quarts d’heure et plus […] ». En comparaison, Rabelais se moque de la méthode moyenâgeuse

« Bâtir dans la nuit mes féeriques palais… » Documents A – Victor Hugo, « Rêverie », Les Orientales, 1829. B – Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, « Tableaux parisiens », 1857. C – Jules Supervielle, « San Bernardino », Débarcadères, 1922. D – Saint-John Perse, « Le mur », Éloges, « Images à Crusoé », 1911. m Vous répondrez d’abord à la question. ■ Question (4 points) Comment s’exprime, dans chaque poème, le désir d’ailleurs ? m Vous traiterez ensuite un de ces trois

François de Montcorbier dit Villon, né en 1431 à Paris, disparu en 1463, est un poète français de la fin du Moyen Âge. Il est probablement l'auteur français le plus connu de cette période. Les romantiques en firent le précurseur des poètes maudits. Victor HUGO (1802-1885) Ce que c'est que la mort Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez.On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On est l'homme mauvais que je suis, que vous êtes ;On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ;On

est, ou encore avec qui je suis ne sont que secondaires dans ma quête à la vie car vivre ne suffit pas, il faut survivre pour vivre. « La vie est la plus belle des fêtes » (Julia Child) Samedi 20 octobre 1998: Je désirais un avocat tel que Victor Hugo. Un avocat qui me défendrait en chanson. Un avocat qui rythmerait ces phrases. Un avocat qui utiliserait des rimes, des émotions, des sensations, qui susciterait le rire, l’émerveillement… Je ne veux pas d’un avocat qui fait appel à la pitié